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Heroes
#102 : Découvertes en série

Peter est à l’hôpital à cause de sa chute, et il ne se rappelle pas très bien se qui s’est passé. Nathan pense que son frère commence à perdre la raison. Claire veut en savoir un peu plus sur ses parents biologiques, et son père lui cache certaines choses. Hiro est à New York, et il lit une BD pas ordinaire, dessinée par Isaac : il s’agit de la découverte de son don. Niki ne sait toujours pas ce qui s’est passé dans son garage, et elle se doute que son reflet y est pour quelque chose. Le policier Matt Parkman aide à résoudre une enquête, et il parvient à découvrir une petite fille car il entend ce qu’elle pense. Un mystérieux assassin congèle ses victimes avant de leur ouvrir le crâne, pour leur enlever le cerveau...

 

*** Captures ***

Popularité


4 - 3 votes

Titre VO
Don't Look Back

Titre VF
Découvertes en série

Première diffusion
02.10.2006

Première diffusion en France
30.06.2007

Plus de détails

Réalisé par: Allan Arkush
Ecrit par: Tim Kring

 

HEROES
1X02: DON'T LOOK BACK
ORIGINIAL AIR DATE ON NBC: 10/02/2006
TRANSCRIBED FROM NBC

Starring:
SANTIAGO CABRERA as Isaac Mendez
TAWNY CYPRESS as Simone Deveaux
NOAH GRAY-CABEY as Micah Sanders

GREG GRUNBERG as Matt Parkman
ALI LARTER as Niki Sanders
MASI OKA as Hiro Nakamura
HAYDEN PANETTIERE as Claire Bennet

ADRIAN PASDAR as Nathan Petrelli
SENDHIL RAMAMURTHY as Mohinder Suresh
MILO VENTIMIGLIA as Peter Petrelli

Guest Starring:
CLEA DUVALL as FBI Agent Audrey Hanson
NORA ZEHETNER as Eden McCain
CHRISTINE ROSE as Angela Petrelli 

STACY HAIDUK as FBI Agent
JAMES KYSON LEE as Ando Masahashi
RICHARD STEINMETZ as Detective

MATT LANTER as Body Mitchum
DANIELLE SAVRE as Jackie Wilcox

THOMAS DEKKER as Zach
DEIRDRE QUINN as Tina

and
JACK COLEMAN as Mr. Bennet (HRG)

Music by: WENDY MELVOIN & LISA COLEMAN
with the voice of SHANKAR

Co-Producer: ARON COLEITE
Co-Producer: LORI MOTYER
Produced by: JIM CHORY

Supervising Producer: ADAM ARMUS
Supervising Producer: KAY FOSTER

Consulting Producer: BRYAN FULLER

Co-Executive Producer: MICHAEL GREEN
Co-Executive Producer: NATALIE CHAIDEZ
Co-Executive Producer: JEPH LOEB
Co-Executive Producer: JESSE ALEXANDER
Co-Executive Producer: GREG BEEMAN

Executive Producer: ALLAN ARKUSH
Executive Producer: DENNIS HAMMER
Executive Producer: TIM KRING

Written by: TIM KRING
Directed by: ALLAN ARKUSH

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END CREDITS 
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nbc.com

* Tailwind Productions
* NBC Universal Television Studio

Co-Starring:
BRIAN TARANTINA as Weasel
RUSSELL B. MACKENZIE as Beat Cop
TADAO TOMOMATSU as Detective Furakowa
DENNIS CHAVIS as Newsie
KARL T. WRIGHT as Principal Marks

Co-Starring:
IAN QUINN as Fireman
CARL CIARFALIO as Jumpsuit
JOSH CLARK as Sheriff
ADAIR TISHLER as Molly Walker
JIM DEVOTI as Cop

Casting by: JASON LA PADURA, C.S.A. & NATALIE HART, C.S.A.
Casting by: KERI OWENS

Associate Producer: MIKE KETELSEN

Director of Photography: JOHN ARONSON
Production Designer: RUTH AMMON

Edited by: DONN ARON, A.C.E. 

Unit Production Manager: DANIEL SCHNEIDER

First Assistant Director: TONY GITTELSON
Second Assistant Director: DIANE CALHOUN

Costume Designer: DEBRA McGUIRE
Art Director: MICHAEL BUDGE
Set Decorator: DENA ALLEN
Property Master: ROSS ANDERSON
"A" Camera Operator: NATE GOODMAN
"B" Camera Operator: LOREN YACONELLI
Production Sound Mixer: STEPHEN HALBERT

Costume Supervisor: LAURA GUZIK
Key Makeup Artist: LORI MADRIGAL
Key Hairstylist: VICKY PHILLIPS
Key Grip: CHUCK CRIVER
Chief Lighting Technician: DERRICK KOLUS

Artistic Consultant: TIM SALE
Script Supervisor: VALERIE NORMAN
Production Accountant: LARRY COGAN
Construction Coordinator: DAVE DEGAETANO
Location Manager: ALLEN REID / STEVEN HASSON

Production Coordinator: LISA HACKLER
Transportation Coordinator: BRIAN STEAGALL
Script Coordinator: OLIVER GRIGSBY
Special Makeup Effects: GREG SOLOMAN / GLENN HETRICK
Video Playback Supervisor: MARK MARCUM

Assistant Production Coordinator: ERIC NORMAN
Stunt Coordinator: IAN QUINN
"A’ Camera 1st Assistant: GREG MORRIS
"B" Camera 1st Assistant: SHEREEN SALEH
Special Effects Supervisor: GARY D’AMICO

Post Production Supervisor: DANIEL RODRIGUEZ
Assistant Editor: KRISTOPHER LEASE
Music Editor: JENNIFER BARAN
Music Supervisor: ALICEN CATRON SCHNEIDER

Sound Supervisor: STEPHEN GRUBBS
Re-Recording Mixers: GERRY LENTZ / RICH WEINGART
Visual Effects Supervisors: MARK KOLPACK
Visual Effects Producer: KIM BOYLE

Assistant to Executive producer: ANDREW CHAMBLISS / TIMM KEPPLER / CHAD DARNELL
Assistant to Co-Executive producers: NICOLE CLAUDRONE / PHERLUIGI COTHRAN
Assistant to Producer: FOZ MCDERMOTT

Promotional Consideration Furnished by: NISSAN NORTH AMERICA / APPLE

Peter est sur le toit d’un immeuble, il se jette dans le vide. Nathan vole et le rattrape, mais Peter lâche prise et tombe. Il se réveille à l’hôpital. Son frère est à coté de lui. Peter demande ce qui s’est passé, et Nathan lui dit qu’il a essayé de se suicider. Mais Peter commence à se souvenir, et il se rappelle de son frère entrain de voler. Nathan rigole et il rétorque qu’il n’a pas volé, qu’il divague.

Sur les lieux de l’accident de train, Claire sauve la vie d’un homme. La photo de l’incendie est en première page dans le journal. La jeune fille est dans la cuisine avec son père. Elle voudrait en savoir un peu plus sur ses parents biologiques, comment ils étaient, ce qu’ils pouvaient faire. Il ne lui répond pas vraiment, et se contente de dire qu’ils en reparleront plus tard. Elle part en cours.

Brooklyn, New York. Mohinder arrive dans l’ancien appartement de son père, qui est maintenant le sien. Un homme est à quatre pattes sous un bureau, entrain de trafiquer les lignes téléphoniques. Mohinder prend une statuette, prêt à frapper, mais l’homme se relève et lui dit qu’il est là juste pour un entretient de l’appartement. Mais Mohinder ne le croit pas, alors l’homme l’attaque, le menace avec une arme, et finit par s’en aller. Mohinder le suit et ils se battent dans le couloir. Une jeune femme ramasse alors l’arme que l’homme avait lâchée, mais il parvient quand même à s’enfuir. Mohinder se retrouve avec la jeune femme, qui connaissait son père.

Hiro se téléporte à New York. Il marche dans les rues, en criant « J’aime New York ». Puis il passe devant un kiosque à journaux, dans lequel il trouve un comics le représentant dans les rues de New York juste après sa téléportation. Il donne un billet Japonais au vendeur et s’enfuit en courant, avec la BD. Il se cache pour la lire, et découvre que toute son histoire depuis le jour où il a arrêté l’aiguille de son horloge est dessinée dans la BD. Il cherche alors le nom de l’auteur. Il s’agit de Isaac Mendez.

Isaac est dans son appartement, avec Simone. Il lui parle de ce qu’il a vu, l’explosion de la ville, mais elle pense qu’il ne s’agit que d’un rêve. Il veut prévenir la police, le FBI, tout le monde, mais elle lui dit qu’il ne peut pas peindre le futur, que personne ne le croira. Elle rajoute qu’il a un gros problème avec la drogue et que ça a faillit le tuer la nuit dernière, et qu’il doit faire un choix entre elle et sa drogue.

Claire est à son lycée. Elle discute avec le quarterback de l’équipe du lycée, Brody, et une autre fille cheerleader, Jackie. Zach arrive à ce moment et lui demande s’il peut lui parler mais elle ne veut pas. Le directeur du lycée appelle alors les deux filles, et leur demande de le suivre.

Niki se réveille dans son garage lorsque Micah l’appelle. Elle découvre les corps des deux hommes. Elle prend la caméra et voit son reflet dans le miroir lui faire « chut ». Elle s’en va chercher son fils. A un feu rouge, elle regarde le film de la vidéo, mais il n’y a plus rien à partir du moment où l’homme la frappe, à part des cris. Puis on entend la sonnerie d’un téléphone. Niki est toujours dans sa voiture, mais elle n’est plus habillée pareil, et elle tient son téléphone dans sa main et non plus la caméra. Elle sort de la voiture. Le carrefour a disparu, elle est sur un parking. Elle décroche. C’est Micah qui lui demande pourquoi elle n’est toujours pas arrivée chez Tina. Il s’est écoulé plus de quatre heures.
Chez Tina, elle récupère Micah et parle à son amie de ce qu’elle pense avoir fait: tuer les deux hommes de Linderman.

Mohinder est retourné dans son appartement. Il regarde ce que l’homme a installé. C’est un appareil pour surveiller les communications téléphoniques. La jeune femme, Eden, lui dit de demander à son père qui est après lui, et Mohinder lui apprend alors que son père est mort. C’est un grand choc pour elle. Puis ils discutent du fait qu’elle était proche de lui, qu’il lui parlait de ses recherches, et qu’il se sentait surveillé. Elle demande à Mohinder si lui aussi est en danger. Il veut savoir tout ce que Chandra lui a dit à propos de ses théories, de ses recherches.

Les cheerleaders de l’équipe de Claire sont regroupées au lycée, à la demande de la police. L’homme qu’a sauvé Claire voudrait remercier la personne qui l’a sorti des flammes, et la seule indication qu’il possède, c’est l’uniforme des cheerleaders. Alors que le policier porte son attention sur Claire, Jackie prend la parole et affirme que c’était elle. L’officier la félicite, et toutes les filles la félicitent aussi, excepté Claire qui demande des nouvelles de l’homme.
Sur le terrain de foot, pendant l’entraînement de l’équipe, Claire et Zack sont entrain de discuter, et il lui dit qu’il a perdu les cassettes sur lesquels on la voit essayer de se tuer des dizaines de fois. Alors qu’elle commence à s’énerver contre lui, elle se fait bousculer par Brody, et elle se rompt la nuque. Sa tête se remet en place toute seule, sans que personne d’autre que Zack ne le voit.

Niki est de retour chez elle avec Micah. Elle lui demande de rentrer chez eux préparé sa valise, pendant qu’elle retourne dans le garage. Mais tout est en ordre, les corps ne sont plus là, et il n’y a plus de traces de sang. Devant un miroir sont suspendues des clés. Son reflet lui montre une voiture derrière elle. Elle va à la voiture, vérifie qu’il s’agit bien des bonnes clés, et trouve un papier dans la boite à gants qui indique que la voiture lui appartient. Il y a une note au dos, lui disant d’aller voir dans le coffre, et de suivre la carte. Elle y trouve les corps en mille morceaux des deux hommes. Puis elle regarde la carte qui lui indique où aller.

Peter est toujours à l’hôpital. Il se dessine avec son frère entrain de voler, ainsi qu’un symbole en haut de la feuille. Sa mère arrive, et lui apprend que son père est mort à cause d’un suicide. Elle ne l’avait jamais avoué à Peter. Les médecins avaient découvert des troubles  psychologiques chez lui, et Mme Petrelli pense que son fils en souffre lui aussi. Elle ajoute qu’elle ne veut pas le perdre.

Hiro arrive chez Isaac Mendez. La porte s’ouvre toute seule. Personne ne lui répond, et il découvre des images d’une BD qu’Isaac est entrain de faire, toujours à propos de lui, des choses qui ne se sont pas encore produites. Il y a aussi plusieurs dessins du symbole. Puis il voit des traces de sang par terre. Il découvre une arme, qu’il ramasse, puis le corps de Isaac, a qui on a coupé la tête en deux avant de lui retirer le cerveau. La police arrive à ce moment. Il s’évanouit.

Los Angeles. La police enquête dans une maison. Le policier Matt Parkman est dans la rue, entrain de discuter avec un des ses collègues. Il commence à entendre la voix d’une petite fille dans sa tête. Il regarde autour de lui, puis se dirige dans la maison. A l’intérieur, c’est un véritable carnage. Un corps est suspendu sur la rambarde de l’escalier, des fourchettes, couteaux, ciseaux, plantés dans le corps. L’agent du FBI discute avec une autre personne, l’agent Audrey Hanson. Elle pense qu’il s’agit de l’œuvre de Silar. Une petite a disparu. Un autre corps est assis dans une cuisine, totalement gelé, le crâne ouvert et le cerveau a été retiré. Matt fait le tour des lieux, et il pousse une porte dérobée dans le mur sous l’escalier. Il voit alors la petite fille cachée, et terrorisée.

Mohinder et Eden discutent des recherches de Chandra Suresh. Le vieil homme pensait pouvoir identifier et localiser les personnes ayant un pouvoir, mais Mohinder ne pensait pas cela possible (d’où la mappemonde). Le téléphone sonne et le répondeur se met en route. Eden se rend compte alors qu’il y a déjà des messages enregistrés. Le premier est celui d’un ami à propos du lézard de Chandra, qu’il a appelé Mohinder. Le deuxième est de Nathan Petrelli. Et le dernier est de Silar. A ce moment, on entend Chandra décrocher et les deux hommes ont une conversation assez tendue, et plutôt menaçante. Mohinder parle de la cassette qu’il a trouvée avec le nom de Silar dessus. Il y a un grand bruit derrière eux. C’est Mohinder le lézard. Elle le remet dans sa cage, et découvre une clé USB cachée dedans. Il s’agit des recherches de Chandra, celles qui permettent de retrouver toutes les personnes qui ont des pouvoirs, ce pour quoi son père est mort.

Matt est interrogé par les agents du FBI. Il leur dit qu’il a entendu la petite fille murmurer, mais sa version des faits est plutôt étrange. Matt s’en va, mais l’agent Audrey Hanson lui parle du concours pour devenir inspecteur qu’il a raté plusieurs fois. Elle le soupçonne d’être lié aux meurtres du couple, et d’avoir voulu passer pour un héros en retrouvant la fillette. Il rétorque qu’il n’a rien fait, que le coupable est Silar. Elle lui demande comment il connaît ce nom, et il lui dit qu’il la entendu, grâce à elle. Elle l’arrête.

La nuit, Niki arrive à l’endroit indiqué sur la carte. Elle descend de la voiture, et commence à creuser. C’est alors qu’elle découvre des squelettes enfouis dans la terre.

Mr Bennet est entrain de regarder quelque chose sur son ordinateur. Claire rentre du lycée. Il referme son ordinateur. Il lui dit qu’il a téléphoné à une personne de l’agence d’adoption, et qu’il a demandé qu’elle retrouve les parents biologiques de Claire, et qu’elle leurs arrange un rendez-vous. Claire lui dit qu’elle aime, et lui aussi. Puis elle s’en va. Il réouvre son ordinateur. Il était entrain de regarder les vidéos de Claire entrain d’essayer de se tuer.

Peter est sur le toit d’un immeuble. Nathan arrive à son tour. Ils parlent de la dépression de  leur père, avant qu’il ne se suicide. Puis Peter lui demande de lui dire la vérité, qu’ils ont vraiment volé tous les deux. Nathan prend son air sérieux, et il lui dit qu’ils ont volé. Peter se met en colère, parce qu’il pense qu’il lui ment encore. Il avance vers son frère en lui criant dessus, et Nathan le montre du doigt. Les pieds de Peter ne touchent pas le sol. Quand Peter s’en rend compte, il retombe sur ses pieds. Nathan n’a pas l’air plus surpris que ça.

Un policier interroge Hiro dans l’appartement de Isaac. Il veut savoir comment il est arrivé à New York, et quand. Hiro répond hier, et demande la permission d’appeler Ando pour confirmer ce qu’il dit. Dans le bureau de ce dernier, on voit une affiche pour les personnes disparues, avec la photo de Hiro. Le policier demande à Ando si c’est vrai que les deux amis se sont vus la veille, mais Ando répond qu’ils ne se sont pas vus depuis cinq semaines. Le policier le répète à Hiro, qui regarde sa montre qui indique le 02 Octobre. Mais le policier lui montre le journal du matin, celui du 08 Novembre. Puis ils entendent tous un grand bruit au dehors. Et à travers la vitre, Hiro voit l’explosion (prédite par Isaac) leur arriver droit dessus. Il se concentre et se téléporte dans le métro à Tokyo, cinq semaines en arrière.

102 : DECOUVERTES EN SERIE 

[Ext. Toit d’un immeuble, NY. Jour]


(Peter est sur le toit d’un immeuble, il regarde le ciel). 


VOIX OFF
 : Nous pensons tous être maître de notre destin. D’être capable de décider de notre sort. Mais avons réellement décidé de nous élever ou de chuter ? Ou est-ce qu’une force qui nous dépasse nous montre le chemin ?


(A l’image de l’épisode précédent, Peter ouvre ses bras vers le ciel et tombe). 

VOIX OFF: Est-ce l’évolution qui nous prend par la main ? Est-ce la science qui nous guide ? Ou est-ce Dieu qui intervient, pour nous protéger ?

 

(Peter est rattrapé par Nathan avant d’atteindre le sol. Brusquement, Peter se réveille à l’hôpital, Nathan à ses côtés.)

 

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[Int. Chambre d’hôpital, NY. Jour]

 

(Nathan est au chevet de Peter, qui vient de se réveiller.)


NATHAN : Doucement, doucement, calmes-toi.
PETER : Où on est ?
NATHAN : A l’hôpital.
PETER: Qu’est-ce qui s’est passé?
NATHAN : Tu ne te rappelles pas ?

PETER : Non.

NATHAN : Tu as sauté d’un immeuble…

PETER : J’ai sauté mais…

NATHAN : Tu as plongé d’une tour de 15 étages, sous mes yeux. Tu as fait une tentative de suicide. Tu étais assez remonté hier, mais chez toi c’est un peu une habitude.

PETER : Qu’est-ce que tu me racontes ? Nathan, je n’ai jamais voulu me suicider. Tu étais dans la ruelle en bas, j’ai sauté mais… toi tu, oui, tu as volé !

NATHAN : Euh, quoi ?

PETER : Tu as volé pour me rattraper !

NATHAN : Tu t’es balancé de l’immeuble Peter. Tu es tombé de 8 mètres et c’est l’escalier qui a freiné ta chute. Moi, j’suis monté te chercher et je t’ai descendu par le même chemin. Pour le reste je pense que tu délire, tu me suis.


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[Ext. Accident de train, Odessa, Texas. Jour] (Flash-back de l’accident de train. On voit claire entrer dans le train accidenté et sortir un homme des flammes. Transition avec le journal local, posé sur la table des Bennet, « Explosion d’un train : Une mystérieuse inconnue sauve un homme ».)  


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[Int. Cuisine des Bennet, Odessa, Texas. Jour]

 

(Claire lit le journal, tandis que son père prépare un jus de fruit.)

 

CLAIRE : Papa ? On peut se parler sérieusement s’il te plait ?

 

{Sous-titre : Claire Bennet, Odessa, Texas}

 

MR BENNET : Tu es enceinte ?

CLAIRE : Quoi ?! Non !

 

(Il lui sert à boire, puis retourne se préparer à manger.).

 

MR BENNET : Tu te drogues ?

CLAIRE : Arrêtes !

MR BENNET : Dans ce cas, je sais de quoi tu veux me parler.

CLAIRE : Ah oui ?

MR BENNET : Tu aimerais savoir d’où tu viens. Ta mère m’a dit que tu l’avais questionné sur tes parents biologiques.

CLAIRE : Il est temps que je sache maintenant.

MR BENNET : D’accord, mais il y a une chose que je voudrais bien savoir moi aussi, c’est pourquoi ça deviens si urgent ?

CLAIRE : Je me demande qui ils sont c’est tout. Ce qui peuvent faire, à quoi ils ressemblent.

MR BENNET : Comment ça ce qu’ils peuvent faire ?

CLAIRE : Oui, je voudrais connaître leurs passions, leurs talents.

MR BENNET : Chérie, je ne voudrais pas paraître arrogant, même si je sais que tu vas me traiter d’arrogant dans deux secondes mais je pense que c’est un adulte qui doit décider de cela.

CLAIRE : t’as raison, là je te trouve arrogant.

MR BENNET : Cette décision aura de multiples conséquences sur ta vie et la leur. Ce sera émotionnellement compliqué à gérer.

CLAIRE : Et alors, moi aussi je suis compliqué !

MR BENNET : Ca je ne te le fais pas dire !

 

(Il lui tend son assiette.)

 

MR BENNET : Claire, si tu me permet, laisses-moi te donner un bon conseil. Continue de t’amuser, profites de ta jeunesse comme quand tu fais la cheerleader.

CLAIRE : Tu plaisantes, cheerleader c’est un boulot hyper dur et trop dangereux tu n’imagines même pas !

MR BENNET : Oui je sais, tu as du mérite.

CLAIRE : Bon faut pas que je soit en retard.

MR BENNET : Attends ! (Il l’embrasse). 

MR BENNET: Je t’en pris ne soit pas si pressée de grandir ma chérie, fais-moi confiance, j’ai une longueur d’avance sur toi.

 

(Il la regarde partir et son regard se pose sur le journal).

 
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[Int. Appartement de Mohinder Suresh, NY. Jour/Faible luminosité] 

{Sous-titre : Mohinder Suresh, Brooklyn, New-york} 

(Mohinder entre dans son appartement, il pose ses affaires et voit un homme, sous une table, en train de trafiquer les fils électriques. Il prend une statuette Indienne représentant un éléphant et menace l’homme, qui se retourne brusquement.) 

MOHINDER
 : Qui êtes-vous ?
HOMME : Oh oh, là, doucement mon garçon, on se calme. C’est le gardien qui m’a laissé entrer. On désinfecte tout le bâtiment aujourd’hui.  (Il montre son matériel de désinfection). 
HOMME : J’ai déjà nettoyer l’appartement de la vielle dame avec son chien. J’ai presque finit d’ailleurs. Et ben dites-moi, vous êtes infesté de cafards ici. Ca grouille entre les lattes du plancher, une vraie colonie. 

(Mohinder remarque sous la table du matériel n’ayant rien à voir avec de la désinfection. Il brandit toujours sa statuette vers l’homme, et celui-ci se rue sur lui, mais Mohinder le frappe au genou). 

MOHINDER : Vous êtes qui vous ? qu’est-ce que vous avez fait à mon père ? 

(L’homme lui donne un coup de pied dans le ventre, se relève et sort une arme). 

HOMME
 : Maintenant on va se calmer professeur.
MOHINDER : J’ai l’impression que les cafards c’est pas vraiment votre problème. HOMME : On peut rien vous cacher.
MOHINDER : C’est vous qui avez tué mon père ?
HOMME : On a plus rien à se dire. Ou plutôt si, je vous souhaite une bonne journée. 

(Il reprend rapidement son matériel tandis que Mohinder est toujours à terre, en joue. L’homme sort de l’appartement et rentre dans une jeune femme, Eden. Mohinder saute sur le dos de l’homme et Eden ramasse l’arme, et les tient tous les deux en joue.) 

HOMME
 : Je fais parti de l’équipe de désinfection sanitaire et il a braqué son flingue sur moi !
MOHINDER : Non, c’est faux, il ne chasse pas les cafards.
HOMME : Il est parano ce type, je faisait mon boulot tranquillement et il s’est précipité sur moi comme un malade.
EDEN : Si vous êtes là pour exterminer les cafards pourquoi vous avez un holster ? 

(Elle montre le holster de l’homme avec le bout de son arme et celui-ci pousse Mohinder contre Eden et s’enfuit.) 

MOHINDER
 : Je vous remercie d’être intervenue.
EDEN : Uh, je vous en prie. 

(Mohinder lui tend la main). 

MOHINDER
 : Mohinder Suresh. 

(Elle lui serre la main). 

EDEN
 : Vous êtes le fils du professeur ?  

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[Int. Métro de tokyo. Nuit] 

(Hiro se concentre intensément et se retrouve projeté à New-York). 

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[Ext. Rues de NY. Jour] 

(Hiro regarde autours de lui, ébahit d’avoir réussit à se téléporter à New-York). 

{Sous-titre : Hiro Nakamura, Time Square, New-York} 

(Soudainement, il lève les bras vers le ciel et crie.) 

HIRO
 : Yataa ! Salut New-York ! 

(Il se promène dans les rues bondées de monde.) 

HIRO
 : Salut ! Bonjour tout le monde ! I love New-York ! What’s up? Salut New-York! 

(Il passé devant un kiosque à journaux et se stoppe. Il remarque un BD 9th Wonders, avec un dessin de lui en couverture et commence à le feuilleter). 

VENDEUR
 : Hey, mon pote ? tu te crois à la bibliothèque ? si tu lis la revue tu l’achètes !
HIRO : Je l’achete ! 

(Il lui tend un billet Japonnais et commence à courir). 

VENDEUR
 : Hey ! C’est pas des dollars ! 

{Générique français} 

(Hiro et toujours en train de courir, et quand il se sait à l’abris des regards, il s’arrête et reprend sa lecture. La BD retrace sa vie depuis l’épisode 101, lorsqu’il arrête l’horloge de son bureau et comprend aussi les dialogues qu’il a eu avec Ando. Il tourne les pages jusqu’à la dernière et voit « Isaac Mendez auteur et dessinateur ». Son adresse est marqué à côté d’une photo de Isaac.) 

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[Int. Appartement de Isaac Mendez, NY. Jour] 

(Isaac se réveille, Simone est à son chevet). 

{Sous-titre : Isaac Mendez & Simone Deveaux, Manhattan, Quartier Sud} 

ISAAC
 : Simone…
SIMONE : La nuit a été dure…
ISAAC : Je l’ai vu… Je l’ai vu c’était… une lumière vive, une explosion forte qui a balayé toute la ville, comme Hiroshima.
SIMONE : Chuu, tu as fait un cauchemar, c’est pas grave.
ISAAC : Non, non c’était autre chose. Je me suis piqué hier, j’étais en manque….
SIMONE : Oui je sais.
ISAAC : J’ai peint ce que j’ai vu, regardes les toiles elles sont là !
SIMONE : Je les ai déjà regardé mais tu dois te reposer. 

(Isaac se lève). 

ISAAC
 : Il faut prévenir tout le monde !
SIMONE : Prévenir qui ?
ISAAC : Le FBI, les services secrets, tout le pays…
SIMONE : Isaac, tu ne peux pas peindre l’avenir, personne ne va te croire !
ISAAC
 : Alors toi aussi tu me lâches ?
SIMONE : Tu t’es fait un mauvais délire, la seule chose réelle c’est ton problème avec la drogue. Tu as eu de la chance hier soir, tu aurais pu en crever. Je suis en train de perdre mon père, et je n’ai pas envie que tu le suives dans la tombe. Alors tu choisis, ou c’est moi ou c’est la drogue ! 

(Derrière eux, la caméra se fixe sur la peinture de l’explosion de New-york, sur le sol). 

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[Ext. Lycée de Claire, Odessa, Texas. Jour] 

(Zach cours en fouillant dans son sac, pendant que Claire discute avec Brody et Jackie devant les casiers). 

BRODY 
: Le ballon, il faut lui parler avec amour. La plupart des gars ont la peau des mains rugueuse, genre croco, les miennes c’est carrément du velours. C’est vrai, tu veux toucher ? 

(Il prend la main de Claire dans les siennes.) 

CLAIRE
 : Waouh…
BRODY : Franchement toi aussi t’as les mains très très douce.

(Les voyant se rapprocher, Jackie s’interpose). 

JACKIE
 : C’est ce que maman dit des miennes aussi, qu’elles sont fines et délicates. Ce serait sympa de faire un match ensemble un de ces quatre. 

(Zach arrive dérrière eux). 

ZACH : Excuses-moi Claire, je peux te parler une seconde s’il te plait ?
CLAIRE : Pourquoi ?
JACKIE : Hey Zach, c’est vrai que tu t’es tapé une érection dans les vestiaires ? 

(Il ne relève pas et tire Claire à part.)                       

ZACH
 : S’il te plait, c’est sup…
CLAIRE : Non, tout à l’heure, tout à l’heure ! 

(Ils partent dans des directions opposées mais le principal arrive). 

PRINCIPAL
 : Claire, Jackie. Le shérif et les pompiers aimeraient discuter avec vous.
CLAIRE ET JACKIE : D’accord on arrive. 

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[Int. Maison des Sanders, Las Vegas. Jour) 

{Sous-titre : Niki Sanders, Las Vegas, Nevada} 

(Niki est sur son lit dans le garage, elle se réveille difficilement et regarde autours d’elle, horrifiée par ce qu’elle voit. Elle enlève la caméra de son socle et voit son reflet dans le miroir qui lui fait signe de se taire. Elle sort du garage en vitesse.) 

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[Int. Voiture de Niki. Jour] 

(Niki est dans sa voiture, elle conduit pour aller chercher Micah, avec qui elle est au téléphone). 

NIKI
(au téléphone): Excuses-moi chéri, j’arrive tout de suite. J’en ai à peine pour 5 minutes ne t’en fais pas. Oui, je sais, j’arrive trésor, je t’aime. 

(Elle raccroche et regarde la caméra, posé sur le siège à côté. A un  feu rouge, elle s’arrête, allume la caméra, regarde le film. Sur le film, on la voit commencer son strip-tease, puis se stopper, et lorsque l’homme la frappe, l’écran est brouillé et Niki n’entends que les cris des deux hommes en train de se faire tuer. Soudain, son téléphone sonne. Elle est toujours dans sa voiture mais elle est habillée différemment et dans un autre endroit. Elle sort de la voiture et décroche). 

NIKI
 (au téléphone): Allô ?
MICAH (au téléphone) : Maman ? Qu’est-ce qui s’est passé, ça fait 4 heures que je t’ai eu au téléphone !
NIKI (au téléphone) : Quoi ?! Ca fait 4 heures ?
MICAH (au téléphone) : Oui !
NIKI (au téléphone) : J’arrive tout de suite t’inquiète pas. 

(Ils raccrochent tous les deux). 

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[Ext. Maison de Tina. Jour] 

(Niki arrive chez Tina. Micah et elle sont sur le pas de la porte à l’attendre). 

TINA : Ton petit commençait à trouver le temps long, où étais-tu bon dieu ?! 

(Niki prend Micah dans ses bras). 

NIKI : Oh, excuses-moi mon cœur. Est-ce que tu peux nous laisser un instant ? 

(Il acquiesce et part).

TINA : Bien, maintenant tu peux me dire ce qu’il y a ?
NIKI : Je viens de vivre un vrai cauchemar !
TINA : Comment ça ? Expliques-moi.
NIKI : Tu m’avais dit que Linderman allait m’envoyer des types pour récupérer le fric…
TINA : Oui…
NIKI : Ils sont venus… Ils sont morts… dans mon garage…
TINA : Quoi ?! Et qui les a tué ?
NIKI : J’en sais rien, je les ai trouvé comme ça !
TINA : Ils ne te sont pas tombé dessus quand t’es arrivé ?
NIKI : Si mais ensuite j’ai eu un trou noir et quand j’ai repris mes esprits je les ai vus allongé là, … j’crois que je les ai peut-être…. Il m’arrive de me regarder dans le miroir, et je me reconnaît pas je comprend rien.
TINA : C’est peut-être DL, si ça se trouve il veut te protéger, il t’aimes encore, il adore son fils.
NIKI : DL ne peut pas nous approcher, il a les flics qui lui courent après. Quand Linderman va apprendre ce qui est arrivé, il cherchera pas le responsable, il viendra me voir moi !
TINA : Niki, écoutes-moi, tu dois aller voir les flics et balancer tout ce que tu sais.
NIKI : Non, j’dois…. J’dois tout faire disparaître, et on s’enfuira d’ici. Faut que j’y aille. 

(Elle tourne le dos à Tina et va dans la voiture). 

NIKI : On y va ! 

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[Int. Appartement de Mohinder, NY.Jour/Faible luminosité] 

(Mohinder est en train de regarder les fils électriques que l’homme a trafiqué, Eden arrive derrière lui.) 

EDEN
 : Pourquoi quelqu’un voudrait mettre papa Suresh sur écoute ?
MOHINDER
 : Papa Suresh ?
EDEN : J’écorche toujours son prénom alors il m’a dit que je pouvais l’appeler comme ça.
MOHINDER : Je ne sais pas pourquoi on a voulu le mettre sur écoute, mais déjà à Madras j’ai surpris un homme en train de voler ses dossiers. Et maintenant on découvre ça. 

(Il lui montre un petit objet, qui était installé sur la ligne téléphonique). 

EDEN
 : Le mieux se serait encore de demander à votre père, il a sans doute une idée.
MOHINDER : Mon père est mort depuis 4 jours.
EDEN : Quoi ?! 

(Elle s’assoit sous le choc de la nouvelle). 

MOHINDER
 : Je pensais que… je pensais que vous étiez au courant ! On l’a assassiner dans son taxi.
EDEN : Oh mon dieu, mais c’est affreux.
MOHINDER : Vous étiez proches ?
EDEN : Oui. Comme je déteste faire la cuisine que pour moi, souvent je venais lui apporter ce que j’avais préparer. On déjeunait tous les deux, il me parlait de sa carte de ses théories… C’était mon ami. Il va me manquer.
MOHINDER : On dirait, que vous étiez plus proche de lui que je ne l’étais. Mais ça fait plaisir de voir qu’il avait une confidente.  

(Il se lève). 

MOHINDER 
: Je vais vous chercher un verre d’eau.
EDEN : J’étais loin de me douter qu’il y avait un problème. J’ai frappé à sa porte à plusieurs reprises, je pensais simplement qu’il était sorti et qu’on se ratait à chaque fois. Je voulais lui monter un livre que j’ai chez moi.
MOHINDER : Et ça parle de quoi ?
EDEN : Darwin, l’origine des espèces. C’est l’édition originale. E travaille dans une librairie de livres anciens et en voyant cet exemplaire, j’ai pensé qu’il aurait eu sans doute plaisir à le lire.
MOHINDER : Ouais, je suis sûr qu’il aurait été fou de joie en le découvrant. C’est très gentil à vous.
EDEN : Il se sentait espionner, il me l’a dit plusieurs fois. Je me disais que le personnage était excentrique et qu’il n’y avait pas lieu…
MOHINDER : Je suis content que vous n’ayez pas dit paranoïaque.
EDEN : vous croyez qu’on vous surveille vous aussi ?
MOHINDER : Ils auraient pu m’abattre, ils auraient pu le faire tout à l’heure. Aujourd’hui, visiblement, ces types préfèrent me garder en vie. Vous dites que mon père vous avez parlé de ces théories et d’une carte. Essayez de vous rappeler de vos conversations, je veux savoir tout ce qu’il a dit à ce propos. C’est capital. 

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[Ext. Lycée de Claire. Jour] 

(Les cheerleaders sont toutes réunit dans la cour. Le shérif et un policier arrive avec le principal pour leur parler). 

SHERIF
 : Mesdemoiselles, inutile de vous inquiéter, je suis pas là pour faire une enquête criminelle. Personne ici n’aura de soucis, bien au contraire. Il y a seulement un homme sur son lit d’hôpital qui aimerait remercier la valeureuse demoiselle qui lui a sauver la vie hier.
POLICIER : Et ben alors ? L’intéressée n’a pas envie de devenir un héros ?PRINCIPAL : Vous êtes sûr que c’était l’une de nos filles ?
POLICIER : Oui, d’après l’uniforme elle venait bien de votre établissement. Je crois pouvoir dire que c’était… elle tout au bout. (Il désigne Claire du doigt). 
PRINCIPAL : C’est Claire Bennet.
SHERIF : Claire ! Où êtes vous allez après votre séance d’entraînement hier ?CLAIRE : Euh… 

(Soudain, Jackie s’avance et se met devant Claire). 

JACKIE
 : C’est pas elle, c’était moi. Quand je suis rentré de l’école, j’ai voulu prendre un raccourci et j’ai vu la catastrophe, de ce train, qui venait de dérailler, et… j’ai aider c’est normal.
PRINCIPAL : Pourquoi tu n’en as pas parlé ?
JACKIE : J’ai horreur d’attirer l’attention. 

(Petit sourire en coin de Claire). 

JACKIE
 : Je ne l’ai pas fait pour ça.
POLICIER : Bravo ! Mademoiselle, au nom de la caserne des pompiers, je tiens à vous féliciter et vous déclare membre d’honneur. 

(Il lui sert la main et toutes les pom-pom girls viennent féliciter Jackie, à l’exception de Claire, qui se dirige vers le shérif). 

CLAIRE
 : Comment va-t’il ?
SHERIF : Qui ?
CLAIRE : L’homme que Jackie a pu sortir du train.
SHERIF : De graves brûlures et les poumons touchés, mais il m’a confié qu’il s’estimait heureux, ça aurait pu très mal tourner, il n’est pas mort, c’est l’essentiel. 

(Claire sourit, soulagée). 

CLAIRE : Grâce à Jackie… 

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[Ext. Terrain d’entraînement du lycée de Claire, Odessa, Texas. Jour] 

(Les joueurs de l’équipe de football américain s’entraînent lorsque Claire arrive, Zach lui courant après). 

ZACH
 : Claire ! Claire ! claire écoutes faut que je te parle c’est hyper important.
CLAIRE : Les pompiers ont demandé à Jackie d’être leur capitaine pour leur grande parade, ils vont carrément la faire trôner sur le camion, moi je l’aurai plutôt jetée en dessous…
ZACH : Attends, ok calmes-toi, c’est au sujet de la cassette !
CLAIRE : Laquelle ?
ZACK :  Mais tu le fais exprès ?! La vidéo où tu as faillis te tuer une bonne vingtaine de fois !
CLAIRE : Ok ! Tu la caches et on en parle plus !
ZACH : Non, attends, justement, elle était toujours avec moi et maintenant je l’ai plus, elle est plus dans mon sac.
CLAIRE : Quoi ?!
ZACH : Elle s’est envolée..
CLAIRE : Quoi comment ça envolée ?! 

(A ce moment, Brody arrive en tenue de foot et heurte violemment Claire qui se retrouve projetée plusieurs mètres plus loin, la tête, littéralement à l’envers. Sans que personne d’autre que Zach ne l’a voit, elle replace sa tête dans le bon sens et commence à se relever, alors que les personnes, dont Brody, s’amassent autours d’elle pour voir comment elle va). 

BRODY
 : Merde ! claire, pardon, excuses-moi ça va ?
CLAIRE : Ca va, y’a pas de mal, c’est arriver tellement vite…
BRODY : J’ai entendu comme un craquement…
CLAIRE : Oh non, j’ai rien, ça va, je suis pas morte ça va ! Y’a eu plus de peur que de mal.
BRODY : T’es pas si fragile que ça finalement !
CLAIRE : Non Brody, juste ce qu’il faut. 

(Il part et Claire se tourne vers Zach). 

CLAIRE
 : On doit retrouver cette cassette à tout prix. 

(Elle se retourne et va vers les autres cheerleaders). 

CLAIRE
 : J’arrive ! 

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[Ext. Maison des Sanders. Jour] 

(Micah et Niki arrivent en voiture devant leur maison et descendent). 

MICAH
 : Et si moi j’ai pas envie d’aller en vacances, hein ?
NIKI : Tu n’as pas le choix mon chéri.
MICAH : Pourquoi on doit s’en aller maman ? Pourquoi est-ce que tu veux pas m’expliquer ce qu’il y a ?
NIKI : Je voudrais bien Micah mais je peux pas. Ecoutes-moi, je te demandes de me faire confiance. Vas préparer tes affaires, moi j’ai un truc à faire dasn le garage. 

(Micah arrive sur le pas de la porte). 

MICAH : Maman dis-moi, qu’est-ce qui s’est passé chez nous aujourd’hui ?
NIKI : Micah fais ce que je t’ai demandé de faire s’il te plait ! Vas chercher tes affaires, tout de suite ! 


(Niki enlève le verrou sur la porte de son garage et ouvre la porte. Le garage est impeccablement rangé, sans aucune traces des meurtres de la matinée précédente. Les clefs d’une voiture sont suspendus à un fil, Niki les prend en regardant son reflet, une nouvelle fois indépendant de ses actions. Puis elle se dirige vers une voiture rouge garée devant sa maison, met les clefs dans le contact, et ouvre le rangement à l’avant, où elle trouve les papiers du véhicule à son nom ainsi qu’un post-it « Dans le coffre suivre la carte ». Elle va donc voir dans le coffre, où les corps des deux hommes sont découpés en morceaux. Elle prend rapidement la carte posée sur eux et referme le coffre.)


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[Int. Chambre d’hôpital. Jour] 

(Peter est sur son lit d’hôpital, il dessine au moment où sa mère arrive. Le dessin le représente en train de voler en face de son frère, on remarquera la présence de l’hélix en haut de la feuille). 

ANGELA
 : J’aimerais que tu me dises ce que tu faisais sur le toit de cet immeuble.
PETER : Pas encore, mais un jour je pourrais le faire. Il fait que t’es confiance en moi. 

(Elle s’assoit près de lui et regarde si les vêtements qu’elle a apporté lui vont ). 

ANGELA
 : Maintenant il y a une chose que tu dois savoir sur ton père. Peter, ton père s’est suicidé.
PETER : Quoi ?!
ANGELA : J’ai dit ton père s’est suicidé ! Je l’ai retrouvé mort dans la salle de bain.
PETER : Je croyais que c’était une crise cardiaque…
ANGELA : C’étaient des histoires ! Pour sauver sa réputation j’ai choisit de mentir…
PETER : Mais il avait déjà eu 2 infarctus avant ça…
ANGELA : Non, c’étaient des mensonges encore. Il avait tenté de se supprimer les 2 fois. Et il a fini par y arriver. 

(Elle pose les vêtements). 

ANGELA
 : Il avait 23 ans quand on lui a annoncé qu’il avait tous les symptômes d’une dépression profonde. C’est une maladie bien réelle qui a eu raison de lui.
PETER : Pourquoi est-ce que personne ne m’as jamais tenu au courant ?
ANGELA
 : ton père et moi avons préféré te le cacher étant donné le caractère héréditaire des infections de ce genre. Tu étais d’une nature si sensible. Nous ne souhaitions pas t’inquiéter…
PETER : Pourquoi tu me le dis maintenant ?
ANGELA : Ca se traduit parfois par la folie des grandeurs, le sujet s’imagine qu’il est invincible, ou indestructible. Ce sont des idées totalement irrationnelles qui peuvent conduirent au suicide. Je crois que le moment est venu de te remettre en question. Et si il s’avère que tu dois changer de chemin maintenant, tu peux compter sur moi pour t’aider. Mais je crains ne t’avoir caché encore autre chose… approches… tu as toujours été mon fils préféré. Et je tiens à toi plus que tout. 

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[Int. Appartement de Isaac, NY. Jour/Faible luminosité] 

(Hiro arrive chez Isaac et entre dans le loft. Il regarde les peintures autours de lui). 

HIRO
 : Mr Isaac Mendez ? Allô ? Mr Isaac?  

(Il s’arrête devant une table ou sont poses le début d’un comic mettant en scène Hiro. Puis il continu à traverser le loft et voit sur le sol une traînée de sang, et une arme). 

HIRO
 : Mr Isaac ? Mr Isaac? (Il se penche pour la ramasser, et avance encore un peu. Là, il voit Isaac, le cerveau enlevé, gisant sur le sol. A ce moment, la police arrive dans l’appartement et tienne Hiro en joue). 
POLICIER : Police ! Poses ton arme par terre !
POLICIER 2 : Et lèves tes mains en l’air ! 

(Hiro s’évanouit). 

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[Ext. Scène de crime à Los Angeles. Jour] 

(Matt fait la circulation devant le lieu d’un meurtre.) 

MATT
 : Le tueur frappe en plein cœur de Los Angeles, il enlève un petite fille et moi regarde ce que je fais, autant être en Sibérie. 

{Sous-titre : Matt Parkman, Los Angeles} 

COLLEGUE
 : Pour ce qu’on nous paye, ça vaut pas le coup de risquer ta peau. Et qu’est-ce que tu ferais de plus ?
MATT : Je veux me rendre utile.
COLLEGUE : tu veux être utile ? Passes-moi le ruban adhésif ! 

(Une voiture arrive et des agents en descendent). 

COLLEGUE : D’après toi, CIA ou FBI ?
MATT : Non, elle est trop bien sapée pour le FBI.
COLLEGUE : J’ai vu les résultat des exams ce matin. Allez c’est plus la peine de te prendre la tête avec ça ! Qui a envie d’être lieutenant franchement ? La moitié de ton salaire part dans les costards…. 

(Matt entend une petite fille parler dans sa tête. Il suit le son de la voix et rentre dans la maison. A l’intérieur de nombreuses personnes s’agitent autours des corps des victimes, et Matt passe à côté de l’agent Elisa Thayer de la CIA). 

HOMME
 : J’ai bientôt fini les photos.
ELISA : Nous n’avons aucune idée de ce qui a pu se produire ici.
AUDREY : J’ai une théorie !
ELISA : Le contraire m’aurait étonnée.
AUDREY : C’est l’histoire de Barsto qui se répète, c’est un coup de Sylar.
ELISA : Il n’y a pas de Sylar ! Vous vous basez sur les derniers mots d’une victime, ça n’a aucun sens. 

(Elle regarde le corps accroché sur le mur de l’escalier).  

ELISA
 : Regardez où elle est perchée, ils ont du s’y mettre à trois pour l’empaler là. Et leur fille ?
AUDREY : Aucune trace. On a fouiller toute la maison et on a lancé un avis de recherche. Vous avez vu ce qui est arrivé au père ? 

(Elle montre un corps gelé, le cerveau enlevé). 

ELISA
 : La priorité c’est la petite fille. 

(Matt continu de chercher d’où viennent les voix qu’il entend). 

PETITE FILLE : Je vous en prie ne me faites pas de mal. Pitié, pitié. 

(Elisa se retourne vers Matt). 

ELISA
 : Vous n’avez pas le droit d’être ici. 

(Matt lui fait signe de se taire, il se dirige vers l’escalier, et ouvre une porte. La petite fille, Molly Walker continu de pleurer). 

MATT
 : N’aie pas peur, ça va aller, c’est fini maintenant. Regardes j’suis de la police, j’suis un gentil tu vois.
MOLLY : Il a fait du mal à mon papa et à ma maman.
MATT : Personne ne va te faire du mal, je te jure. Non, non, donnes-moi ta main aller. T’as plus rien à craindre, viens, donnes-moi ta main. 

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[Int. Appartement de Mohinder Suresh, NY. Jour/Faible luminosité] 

(Mohinder est devant sa carte du monde avec Eden, il lui explique sa théorie). 

MOHINDER : Pendant des années, il a travaillé sur un théorème basé sur les génomes humains et les flux migratoires d’échantillons d’ADN. Il pensait trouver le moyen d’identifier cette population, ces gens hors du communs. On se disputaient sans arrêts à ce sujet, je ne croyais pas du tout à sa théorie. Ce conflit nous avez éloigné.

 

(Le téléphone sonne, le répondeur se met en marche).

 

CHANDRA (sur le répondeur) : Chandra Suresh, merci de laisser votre message

 

(Eden se dirige vers le répondeur).

 

EDEN : Il a des messages !

 

(Elle appuie sur Play).

 

HOMME (sur répondeur) : Chandra, c’est Amy, t’a oublié de donner tes feuilles de routes de la semaine, mais où t’as la tête ?!

 

(Eden se retourne vers l’aquarium).

 

EDEN : Oh merde, Mohinder !

MOHINDER : Oui ?

EDEN : Non, pas vous, l’autre Mohinder, le lézard, il doit se balader dans le coin.

 

(Ils se mettent à chercher à quatre pattes dans l’appartement et le répondeur continu de faire défiler les messages).

 

NATHAN (sur le répondeur) : Bonjour, je suis Nathan  Petrelli, se serait un honneur pour moi de représenter le 14ème district de New-York. Quand le moment sera venu, voter Petrelli !

 

HOMME (sur le répondeur) : Bonsoir Chandra. Pourquoi refusez-vous de me parler ? Vous ne pouvez pas m’abandonner comme ça.

CHANDRA (sur le répondeur) : Sylar, je vous ai demandé de ne plus m’appeler ici.

SYLAR (sur le répondeur) : J’ai faim, je n’arrive pas à ma contrôler. Je ne le veux pas mais… vous m’avez fait ainsi.

CHANDRA (sur le répondeur) : c’est moi qui est fait de vous un meurtrier ?

SYLAR (sur le répondeur) : Vous m’avez permis de découvrir mon potentiel. Vous vouliez savoir autant que moi ce dont j’étais capable. Maintenant vous voudriez tout arrêter.

CHANDRA (sur le répondeur) : C’est terminé Sylar.

 

(Le répondeur s’arrête. Mohinder regarde Eden, tous les deux choqués).

 

MOHINDER : J’ai trouvé un enregistrement d’une conversation que mon père avait eu avec se dénommé Sylar. Il le prenait apparemment pou le patient zéro.

 

(Un objet tombe derrière eux et ils se retourne brusquement. Le lézard a fait tombé un livre de la bibliothèque, Eden le prend dans ses mains, le montre à Mohinder et va le remettre dans son aquarium).

 

EDEN : Viens par ici coquin… Mohinder, voici Mohinder ! Un petit bisou?

 

(En le remettant dans son aquarium, elle tombe sur une clé USB).

 

MOHINDER : Qu’est-ce que c’est ?

EDEN : Apparemment une clé USB.

 

(Il prend la clé et la met dans son ordinateur).

 

MOHINDER : c’est pas vrai, il a réussit ! Il a enfin comprit comment on pouvait les repérer ! Vous vous demandiez pourquoi on avait voulu tuer mon père, la réponse la voilà, elle est là ! Et maintenant c’est à moi de finir son travail.

 

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[Ext. Maison des Walker, LA. Jour]

 

(Matt est devant la piscine, il est rejoint par Elisa et Audrey).

 

ELISA : Parkman ? comment avez-vous su qu’elle était là cette petite fille ?

MATT :J’en sais rien, j’ai juste entendu des chuchotements et…

AUDREY : La maison est pleine de policier, vous êtes dehors et vous entendez ces chuchotements ?

MATT : Je pourrais pas expliquer… je croyais que n’importe qui ici pouvait l’entendre.

 

(Il regarde sa montre).

 

ELISA : Vous avez un rendez-vous peut-être ?

MATT : Oui, avec ma femme. J’ai rendez-vous…. On fait une thérapie, pour régler nos petits problèmes de couple.

ELISA (dans sa tête) : Ce type est un tocard.

ELISA : Libérez le, il a de la chance !

 

(Il part).

 

AUDREY : Non restez Parkman ! votre capitaine m’a dit que vous aviez passé trois fois le concours pour être inspecteur ?

MATT : Oui.

AUDREY : vous pensez avoir l’étoffe d’un inspecteur ?

MATT : Oui madame je le crois.

AUDREY : Alors comment on se sent ? Quand on s’est ramassé à l’examen plusieurs fois de suite .

MATT : On est… plutôt déçu… en colère…

AUDREY : En colère vous dites ?

MATT : Oui !

AUDREY : Est-ce que vous l’étiez au point de vouloir vous faire passer pour un héros ?

MATT : Attendez, vous croyez que c’est moi le meurtrier ?! L’assassin c’est pas moi, c’est Sylar !

AUDREY (dans sa tête) : Comment il connaît ce nom ?!

AUDREY : D’où sortez vous ce nom ? Il n’y a que 6 personnes sur l’enquête qui ont entendu parler de Sylar, alors comment connaissez-vous ce nom là ?

MATT : Je l’ai entendu dire…. Par vous…

AUDREY (dans sa tête) : c’est ça, comme tu as entendu la petite chuchoter…

MATT : Oui !

AUDREY : J’ai pas le choix, je vous arrête !

 

(Elle lui passe les menottes).

  

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[Ext. Quelque part dans le désert du Nevada. Nuit] 

(Niki arrive en voiture à l’endroit indiqué par la carte avec Micah qui dort à l’arrière. Elle s’arrête sur le bas côté, descend de la voiture et va prendre la pelle planté dans le sol. Elle commence à creuser, et tombe sur un crâne. Elle regarde autours d’elle et continue de creuser.) 

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[Int. Maison des Bennet. Nuit] 

(Mr Bennet est assis dans le salon, Claire entre). 

MR BENNET
 : Bonsoir mon ange !
CLAIRE : Bonsoir papa !
MR BENNET : Alors, c’était comment l’école ?
CLAIRE : La routine comme d’hab’. Et toi le boulot?
MR BENNET : La routine comme d’hab’. Claire, je me suis occupé de ton cas aujourd’hui…

(Il lui fait signe de venir s’asseoir).

 

MR BENNET : J’ai appelé l’agence d’adoption et j’ai parlé à une charmante dame. Elle m’a dit qu’elle essayerait d’entrer en contact avec tes parents biologiques et comme ça, tu pourra peut-être les rencontrer.

CLAIRE : Je croyais que j’étais trop jeune pour décider de ça ?

MR BENNET : Je t’es trouvé très adulte ce matin, lorsque tu m’as demandé des renseignements sur eux…

CLAIRE : Merci.

MR BENNET : Elle m’a dit que ça risqué de prendre du temps, certainement des semaines. J’espère que ça prendra des années, comme ça je pourrais garder mon trésor, un peu plus longtemps. Je dois encore te protéger contre ce monde cruel.

CLAIRE : Tu es mon père, et ça ça ne pourra jamais changer. Tu resteras mon père, et moi je resterais ta fille quoi qu’il arrive. Mais tu ne pourras pas me protéger toute la vie.

MR BENNET : Je sais, et cette pensée me briser le cœur.

CLAIRE : Je t’aime fort.

MR BENNET : Moi aussi je t’aime mon petit cœur. Va te préparer pour le dîner.

 

(Claire s’en va et Mr Bennet allume son ordinateur, il regarde la vidéo de Zach quand Claire saute du haut de la structure métallique).

 

CLAIRE (sur la cassette) : C’était Claire Bennet, tentative numéro 6.

MR BENNET : Si tu savais à quel point ça me brise le cœur.


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[Ext. Haut d’un immeuble. Nuit] 

(Peter est assis sur le bord du toit, Nathan arrive). 

NATHAN
 : Ca fait trois heures que je te cherche partout.
PETER : Tu savais que papa étais dépressif ?
NATHAN : Oui.
PETER : Pourquoi tu ne m’en as jamais parlé ?
NATHAN : Parce qu’on a tous le droit d’avoir nos secrets.
PETER : Quand j’ai fait le grand saut, j’étais tellement sûr de moi… et maintenant on me dit que je suis fou ! 

(Il se lève, toujours sur le bord du toit). 

NATHAN
 : Ecoutes Peter… on a déjà joué à ce petit jeu s’il te plait, tu ne va pas recommencer… aller arrêtes ! Viens redescend !
PETER : Dis moi ce qui s’est passé ! Quand j’ai sauté, dis moi que tu as volé . Nathan, je veux t’entendre dire, que tu as volé toi aussi. Dis le moi ou je saute une deuxième fois ! Et après bonne chance pour ta campagne ! Ca fera mauvais effet si je m’écrase au pied de la tour ! 

(Il recule petit à petit). 

NATHAN : D’accord… tu veux la vérité ?
PETER : Oui.
NATHAN : On a volé tout les deux. Je t’ai attrapé par la main, tu t’accrochais et je t’ai perdu. Tu étais trop lourd, tu m’entraînais vers le sol et juste au moment… juste avant de toucher le sol tu as volé… tout seul.
PETER : T’es en train de me mentir. Ouais, tu mens ! t’es en train de me balancer ce que je veux entendre ! 


(Il s’avance vers Nathan).

 

PETER : Tu me balades Nathan !

 

(Nathan pointe Peter du doigt, qui est à 50 cm du sol. Il atterrit et se précipite vers son frère).

 

PETER : T’as vu ça ?! J’ai volé là t’as vu ! J’ai volé !

NATHAN : Chut, oui oui j’ai vu, j’ai vu….

 

(Petit flash du dessin de Peter en fil de fer, ù l’on voit u bonhomme voler devant un autre).


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[Int. Appartement de Isaac. Jour] 

(Des policiers enlèvent le corps d Isaac, pendant que d’autre interroge Hiro). 

INSPECTEUR
 : Tu veux que je te dise, toi, t’as pas le gaz à tous les étages.
HIRO : Hiro parler pas très bien langue de toi.
INSPECTEUR : Ce que je voudrais savoir c’est où t’as mis sa cervelle ? Tu l’as balancé dans les toilettes, tu l’as mangé ou quoi ?  

(Un traducteur arrive). 

INSPECTEUR
 : Bon, il comprend rien à ce qu’on lui raconte ! Pas de passeport et uniquement de la monnaie Japonaise. Il a seulement ce truc : Une carte de membre du club des amateurs de BD. Alors pour commencer, il va me dire comment il est entré à New-York. 

(Le traducteur traduit et Hiro répond en Japonais). 

TRADUCTEUR : Il dit qu’il s’est téléporté pour venir ici.
INSPECTEUR : Téléporté, c’est quoi cette histoire ?!
HIRO : Oui, comme Star Trek !
TRADUCTEUR : Il dit qu’il peut courber l’espace-temps.
INSPECTEUR : J’ai regardé toutes les saisons des Star Trek et je ne me rappelle pas t’avoir déjà vu. 

(Hiro lui fait le salut Vulcain de Star Trek). 

INSPECTEUR
 : Depuis combien de temps est-il sur notre sol ? 

(Le traducteur parle à Hiro en Japonais). 

HIRO : Je suis là hier.
INSPECTEUR : Donc, depuis hier.
HIRO (sous-titré) : Si vous m’autorisez à téléphoner, mon ami qui parle votre langue vous expliquera. 

(Discussion entre Ando, à Tokyo, en face de son ordinateur et Hiro à New-York, avec les policier. Ando et Hiro commence leur conversation en Japonnais mais le traducteur lui prend le téléphone des mains). 

TRADUCTEUR
(au téléphone): Je suis l’inspecteur Furatoya des services de police de New-York, votre ami dit qu’il était avec vous hier.
ANDO (au téléphone): Quoi ? hier ?
TRADUCTEUR (au téléphone): Il ne l’était pas ?
ANDO (au téléphone): Non, personne n’a vu Hiro Nakamura depuis 5 semaines. On s’est tous demandé où il était.
TRADUCTEUR : Il dit qu’il ne l’a pas vu depuis 5 semaines
TRADUCTEUR (sous-titré) : Votre ami dit qu’il ne vous a pas vu depuis 5 semaines.
HIRO : Aujourd’hui Octobre 2 ?
INSPECTEUR : Le 2 Octobre ?! Sûrement pas ! 

(Il lui tend le journal avec en couverture « Victoire écrassante de Petrelli », il est daté du 8 Novembre). 

INSPECTEUR
 : Aujourd’hui nous sommes le 8 Novembre.
HIRO : Novembre ?! Non, Octobre ! 

(A ce moment, ils entendent un grand bruit et se lèvent pour aller voir ce qui se passe par la fenêtre. Une bombe vient d’exploser, elle détruit tous sur son passage et se dirige vers Hiro et les policier, mais Hiro ferme les yeux et se concentre. Il atterrit dans un métro de Tokyo). 

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[Int. Métro de Tokyo. Nuit]

 

VOIX OFF : Malgré sa fougue et ses compétences, l’homme ne peut malheureusement pas choisir ses épreuves. Sa seule liberté ? C’est de choisir la manière dont il affrontera le destin le jour venu, en espérant qu’il est le courage de lui faire face.

 

A SUIVRE…


  Ce texte est la propriété de HypnoSeries, si vous voulez le prendre, merci de demander l'autorisation à cette adresse: [email protected].
On ne mord pas et on préfère savoir où se retrouve nos textes plutôt que de tomber dessus par hasard....

Il se peut qu’il y ait des fautes d’orthographe ou de grammaire, si vous en voyez, merci de m’envoyez un message à [email protected] ou par HypnoSMS en précisant bien le nom de la série, le script de quel épisode et à quel endroit se trouve la faute. NE PAS CORRIGER SANS ENVOYER DE MESSAGE, LES CORRECTIONS SERONT AUTOMATIQUEMENT REFUSEES.


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FADE IN:

[TITLE CARD: HEROES]

NARRATOR: (v.o.) Previously on Heroes



VARIOUS CU OF: PETER PETRELLI / NIKI SANDERS / ISAAC MENDEZ / CLAIRE BENNET / HIRO NAKAMURA

NARRATOR: (v.o.) Five strangers across the globe began to discover they have extraordinary abilities.



(Claire Bennet falls off the tall structure as Zach video tapes her.)

NARRATOR: (v.o.) From the cheerleader who realized she’s invincible --

(Claire snaps her dislocated shoulder into place.)

CLAIRE: (v.o.) I have busted, like, every bone in my body--

(Claire talks with Zach.)

CLAIRE: -- and I don’t have a scratch on me.



(Hiro Nakamura concentrates on the second hand on the clock.)

NARRATOR: (v.o.) -- to the office worker who can bend space and time.

(The second hand stops.)

NARRATOR: (v.o.) These strangers are discovering they were meant for something more.



(Peter Petrelli dreams of flying.)

PETER PETRELLI: Do you ever get the feeling that you were meant to do something extraordinary?



[CU: MOHINDER SURESH]

(Dissolve to: The file folder with the label: HUMAN FLIGHT POTENTIAL.)

(Dissolve to: The tape cassette case labeled: TELEPORTATION.)

NARRATOR: (v.o.) And as a son seeks the truth by finishing his father’s work, --

(Mohinder looks at a framed photo of him in graduation garb with his father, Chandra Suresh.)

(Cut to: Mohinder talks with Nirad as he hurries across the street market toward his father’s apartment.)

MOHINDER: I spoke to him two days ago. He was this closer to finding the first of "them."



(Cut to: Mohinder stops the cab he’s driving and runs out into the street as fast as he can – away from the cab and from the man sitting in the backseat.)

NARRATOR: (v.o.) -- he’s forced to run from the man surrounded in mystery.

(Mr. Bennet steps out of the cab.)



(Mr. Bennet is in Chandra Suresh’s apartment.)

MR. BENNET: He left everything behind but his computer.

(Mohinder runs out the open door his arms full of whatever he can carry.)

(Mr. Bennet walks around the large wall map.)

(Dissolve to: Mr. Bennet puts his horn-rimmed glasses on.)

NARRATOR: (v.o.) A man who’s more connected than anyone imagined.

[CU: MR. BENNET]



(Cut to: Claire welcomes her father home.)

CLAIRE: Hi, daddy!

MR. BENNET: Hey, baby!

(Mr. Bennet hugs Claire.)

CUT TO:



[TITLE CARD: HEROES]

NARRATOR: (v.o.) And now, Heroes continues.

FADE OUT TO
END OF (NBC) PREVIOUSLY ON



FADE IN:

[EPISODE TITLE]
      CHAPTER TWO
      "DON’T LOOK BACK"



[EXT. (NEW YORK) ROOFTOP – DAY]

(Peter Petrelli stands on the edge of the rooftop.)

MOHINDER: (v.o.) We all imagine ourselves the agents of our destiny, capable of determining our own fate. But have we truly any choice in when we rise or when we fall? Or does a force larger than ourselves bid us our direction?

(SLOW MOTION: With his arms spread wide, Peter leans forward and falls off the building, gracefully into a swan dive.)

MOHINDER: (v.o.) Is it evolution that takes us by the hand? Does science point our way?

(As he falls head first down to the ground, Nathan flies up to him and grabs his arm. They twist and turn in a spiral as the weight of the two pull them downward.)

MOHINDER: (v.o.) Or is it God who intervenes, keeping us safe?

(Peter slips and falls.)



[INT. HOSPITAL – PETER’S ROOM – DAY]

(Peter gasps as he wakes up. Nathan grabs his shoulder.)

NATHAN: Whoa, whoa. Easy, buddy.

(Peter is in a hospital bed.)

PETER: Where am I?

NATHAN: You're in a hospital.

PETER: What happened?

NATHAN: You don't remember?

CAPTION:
      NATHAN AND PETER PETRELLI
      MID-TOWN, MANHATTAN

PETER: (sighs) No.

NATHAN: You jumped, Pete.

PETER: Jumped?

(He groans and sits up.)

NATHAN: Yeah. Off the roof of a 15-story building. You tried to kill yourself. You were a little wound up yesterday, but I thought you were just being you.

PETER: What are you talking about? I didn't ... I didn't try to kill myself. You were in the alley below. I jumped, and ... you ... you flew.

NATHAN: I what?

PETER: You flew up and you caught me.

NATHAN: You jumped ... Peter. Twenty-five feet to a fire escape. I climbed up and carried you down. That's what happened. The rest is just crazy talk. You understand?

CUT TO:



[EXT. (TEXAS) TRAIN TRACKS – DAY]

(Fireman fight a fire. The entire area is closed off.)

(FAR WIDE SHOT: A train derailed and is on fire. several cars burn as firefighters work on putting the blaze out.)

(Claire runs toward the fire.)

(Zach stands outside the police barriers and video tapes Claire vanishing into the smoke-covered road.)

(Claire runs into the fire-burning train cars. She stops, looks around and sees a man hurt inside. She helps him up.)

FAR WIDE SHOT: BURNING WRECKAGE

(Camera pulls out and the wreckage is the photo on the front page of the ODESSA REGISTER. The headline reads: TRAIN DERAILS, EXPLODES. The article title reads, "Mysterious Good Samaritan Saves Man.")



[INT. BENNET RESIDENCE – KITCHEN – DAY]

(Claire is reading the newspaper.)

CLAIRE: Dad ...

(Mr. Bennet is standing in front of the stove cooking breakfast.)

CLAIRE: ... you mind if I talk to you about something?

CAPTION:
      CLAIRE BENNET
      ODESSA, TEXAS

(He puts the spatula down and picks up the pitcher of orange juice. He grabs a glass.)

MR. BENNET: You pregnant?

CLAIRE: What? No.

(He pours a glass of orange juice.)

MR. BENNET: You doing drugs?

CLAIRE: Dad!

(He puts the glass and the pitcher down on the counter and heads back to the stove.)

MR. BENNET: Actually ... I already know what it's about.

CLAIRE: You do?

MR. BENNET: It's about wanting to know who you really are. Your mother told me that you've been asking about your birth parents.

CLAIRE: Well, I think it's time that I knew.

MR. BENNET: Well, I have a few questions first. Not the least of which is why now?

CLAIRE: I'm just wondering, that's all. You know, what they're like, what they can do.

MR. BENNET: What they can do?

CLAIRE: Yeah, like hobbies and ... skills.

(He picks up the frying pan and walks back to the counter where he fills Claire’s plate.)

MR. BENNET: You know, I don't ... mean this to be condescending. Even though you're gonna say I'm being condescending. But I really do believe that this is an adult decision.

CLAIRE: You're right. That is condescending.

MR. BENNET: Claire, there are gonna be issues. You're going to have issues. They're going to have issues. It's very complex, emotionally.

CLAIRE: Yeah, well, so am I.

MR. BENNET: Well, exactly.

(He offers her the breakfast plate. She takes it from him.)

MR. BENNET: Look, here's my advice, if you'll indulge me. Just ... keep things light and fun as long as you can. Like cheerleading.

CLAIRE: Being a cheerleader is hard work. Hard, treacherous work.

MR. BENNET: Of course it is, sweetheart.

CLAIRE: I don't wanna be late.

MR. BENNET: Hey ... (He kisses her cheek.) I just don't want you to be in such a hurry to grow up, okay? Trust me. I actually know a few things.

(Claire doesn’t say anything. She turns and leaves. We hold on Mr. Bennet. After a moment, he turns and looks at the newspaper on the counter.)

CUT TO:



[INT. (NEW YORK) MOHINDER’S APARTMENT -- DAY]

CAPTION:
      MOHINDER SURESH
      BROOKLYN, NEW YORK

(The door opens and Mohinder walks into the apartment. He removes his satchel as he heads deeper into the apartment. He starts to remove his shirt. He turns around and sees a man in the next room. He’s under the table working on something. The man doesn’t notice Mohinder.)

(Mohinder puts his shirt back on. He picks up a heavy elephant and quietly sneaks up on the man. The man backs out from under the table.)

MOHINDER: (loudly) Who are you?!

(He moves quickly, his hands raised above his head.)

EXTERMINATOR: Whoa, whoa, whoa! Sorry, sorry! Easy, easy. (He stands up.) Your super let us in. We're doing the whole building today. I just got done with the lady with the dog and the cough.

(The man indicates his spray tank next to him.)

EXTERMINATOR: Almost done here.

(The exterminator picks up the spray can and Mohinder looks under the table and sees the open wiring and the electronics keypad in the exterminator’s metal tool box.)

EXTERMINATOR: Uh, listen, it looks like some cockroaches might have infested your, uh, uh ... floorboards.

(Mohinder doesn’t put down the metal elephant. The Exterminator looks at him and shakes his head.)

(Suddenly, he swings the canister at Mohinder’s head. Mohinder ducks and swings the elephant, hitting the exterminator in the knee. The exterminator falls down.)

MOHINDER: Who are you?! What did you do to my father?

(The exterminator kicks Mohinder who goes flying backward across the room. He lands on the floor with a thud. The exterminator gets to his feet and pulls out a gun.)

(Mohinder scrambles backward.)

EXTERMINATOR: Let's take a little breather, huh, Professor?

MOHINDER: I suppose the cockroaches are the least of my problems.

EXTERMINATOR: Yeah, no argument there.

MOHINDER: Did you kill my father?

(The exterminator backs away and picks up his metal tool kit.)

EXTERMINATOR: I think we're done here, don't you? So I'll tell you what. Have a really great day.

(He tucks the tool kit under his arm and backs away. He turns and heads for the door.)

(Mohinder gets to his feet and chases after him.)



[INT. HALLWAY OUTSIDE MOHINDER’S APARTMENT – CONTINUOUS]

(The exterminator exits Mohinder’s apartment just as Eden returns home carrying two grocery packages. He bumps into her. She falls and drops her grocery packages; he drops his metal tool kit.)

(Mohinder runs out of the apartment and grabs the exterminator from behind. The two struggle. The exterminator drops his gun and smashes Mohinder up against the hallway wall.)

MOHINDER: Uhh!

(Eden picks up the gun and cocks it.)

(The exterminator elbows Mohinder. Both men freeze at the sound of the gun and turn to look at Eden.)

(Both men put their hands up.)

EXTERMINATOR: Hey, look, I'm just the exterminator. This guy came in and pulled a gun on me.

MOHINDER: He is not an exterminator.

EXTERMINATOR: He's paranoid. I was just in there spraying bugs in his apartment. He came in and freaked out.

EDEN MCCAIN: If you're the exterminator, why do you have a gun holster?

(The exterminator grabs Mohinder and pushes him into Eden. The two fall. The exterminator runs. Mohinder grabs Eden to stop themselves from falling.)

(Eden and Mohinder turn and look down the hallway. Mohinder releases his hold on Eden. They both look down the hallway.)

MOHINDER: Thanks for coming to my rescue.

EDEN MCCAIN: You're welcome.

MOHINDER: Mohinder Suresh.

(They shake hands.)

EDEN MCCAIN: The professor's son.

WHITE FLASH TO:



[INT. (TOKYO) TRAIN – DAY -- PRESENT]

(Hiro is on the train. His eyes are shut tight as he concentrates. The digital clock behind him speeds rapidly forward, then stops at 01:00. The train stops. Hiro opens his eyes.)

(People move to get off the train.)

(Sounds filter through first.)

MAN: (v.o.) Taxi!

(A car horn honks.)

(One moment he’s on a train in Tokyo –



[EXT. (NEW YORK) TIME’S SQUARE – DAY –CONTINUOUS -- FUTURE]

--the next moment, he’s in New York.)

(Hiro looks around and it slowly sinks in that he’s in New York.)

MAN: (v.o.) Taxi!

CAPTION:
      HIRO NAKAMURA
      TIMES SQUARE, NEW YORK

(He looks around, a smile splits his face. He stretches his arms out wide and yells.)

HIRO: YATTA! HELLO, NEW YORK!



[EXT. SIDEWALK – DAY -- FUTURE]

(Hiro walks down the busy sidewalk, greeting people as they pass.)

HIRO: Hello. Nice to meet you.
HIRO: I love New York!
HIRO: Hello!
HIRO: Whassup?
HIRO: Britney Spears.
HIRO: Go, Yankees!

(He stops in front of a newspaper vendor as something catches his eye.)

(He turns and notices the 9TH WONDERS! comic book. He is on the front cover, his arms stretched out wide and yelling "I DID IT!" The corner caption reads: Hiro Arrives in New York.)

(He’s absolutely stunned. He grabs the comic off the rack and starts reading. The vendor notices.)

VENDOR: Hey! Pal! This isn't a library.

(Hiro looks at the vendor.)

VENDOR: No pay, no read.

HIRO: Uh, uh, touchy, touch --

(Hiro chuckles and digs into his pocket for money. He pulls out some yen. He offers the bills to the vendor.)

(The vendor grabs the bills and Hiro takes off running down the sidewalk.)

VENDOR: Hey, get back here!

HIRO: (shouts in Japanese)

SMASH TO:



[TITLE CARD: HEROES]

FADE OUT
END OF TEASER

(COMMERCIAL SET)



FADE IN:

[EXT. (NEW YORK) SIDEWALK – DAY – FUTURE]

(Hiro runs down the sidewalk, the comic book clutched in his hand.)

VOICE: (o.s.) Hey, hey! Slow down, buddy!

(Hiro runs and runs and runs.)

VOICE: (o.s.) Come on!

(Hiro continues to run. He reaches a closed theatre, stops, turns and ducks behind the ticket booth.)

(He takes a breather, pushes his glasses on his nose and opens the comic book to read.)

(In it he sees panels of himself at his desk, his clock and arriving in New York.)

      PANEL: (Hiro concentrating.)

      PANEL: (Clock.)
            CAPTION: TOKYO, JAPAN
            CAPTION: HIRO NAKAMURA

      PANEL: (Clock.)
            CAPTION: ONE OF ONE THOUSAND CUBICLE DRONES AT YAMAGATO INDUSTRIES.

      PANEL: (Hiro stands up, his arms held high.)
            CAPTION: I DID IT!

(Hiro flips over several pages.)

      PANEL: (Ando talking with Hiro)
            ANDO: Hiro-san, dude. You’re messed up.
            HIRO: Look, c’mon. I’m serious.

      PANEL: Hiro talks with Ando on the escalator.
            HIRO: As I develop my powers, I’ll learn to bend space, too. Then I can teleport myself anywhere on the planet.
            ANDO: Like Star Trek.

(Hiro flips over several pages.)

      PANEL: In front of a soba shop, Ando walks away.
            HIRO: Fine. STAY here. Be like everyone else. I want to boldly go where no man has gone before.

ANDO: (v.o., b.g.) (in Japanese)

            ANDO: (in comic) That’s right. You’re special. You’re "Super Hiro!"

(The more Hiro reads, the more freaked he gets.)

(He flips through the rest of the comic and comes to the last page with a write-up of the author. It reads: PUBLISHED BY WRITER/ARTIST: ISAAC MENDEZ, 215 REED ST. #7, NEW YORK, NEW YORK 10010.)

(Hiro stares at the artist’s name and photo.)

WHITE FLASH TO:



[INT. (NEW YORK) ISAAC’S LOFT – DAY (PRESENT)]

CAPTION:
      ISAAC MENDEZ, SIMONE DEVEAUX
      LOWER MANHATTAN

(Isaac is on the bed. He reaches weakly for Simone as she climbs on the bed beside him.)

ISAAC: Simone --

(She dabs at his forehead with a white towel and proceeds to wipe his face.)

SIMONE: Shh, you had a hard night.

ISAAC: I saw it. There was a ... bright light. Like an explosion. It wiped out the whole city. Like Hiroshima --

(She wipes his chest and arms.)

SIMONE: Shh, shh, shh, it's okay. It was all a dream.

ISAAC: No ... I don't think so.

SIMONE: Yes.

ISAAC: I shot up last night. I had to.

SIMONE: Yes.

ISAAC: I painted what I saw. Is it there? (desperate) Do you see it?

SIMONE: Yes, I see it! But you need to rest.

ISAAC: We have to warn them.

(He gets up and moves to the edge of the bed.)

SIMONE: Uh! Warn who?

ISAAC: FBI, Homeland Security. We need to tell someone.

SIMONE: Isaac, you can't paint the future. No one will believe you.

ISAAC: I'd hoped you would.

SIMONE: None of it is real. What is real is, you got a drug problem. You overdosed on heroin last night. You're lucky to be alive. You know, I'm watching my father die. And I can't watch you die too. So you need to make a choice. Me or this.

(They look at each other.)

(CAMERA pushes forward between them and RISES UP to focus on the floor mural of New York exploding.)

WHITE FLASH TO:



[EXT. (TEXAS) UNION WELLS HIGH SCHOOL -- DAY]

(Zach rushes across the amphitheatre. He’s carrying some books and looking very geek-ish.)

(Meanwhile, the quarterback, Brody Mitchum, talks with Jackie and Claire. He leans against the lockers demonstrating how to hold a football.)

BRODY MITCHUM: It's not about having big hands. Most guy's hands are too rough to pick out the details. Mine are sensitive. Feel how soft they are.

(He takes Claire’s hand.)

CLAIRE: Wow.

BRODY MITCHUM: But you've got dainty hands.

(Jackie giggles.)

JACKIE: My mom says my hands are very dainty. (Brody entwines his fingers with Claire’s.) Maybe I should try out for the football team.

(Zach interrupts.)

ZACH: Claire, may I borrow your ears just for a minute?

(He pulls her aside. Jackie follows them.)

JACKIE: Hey, Zach! Is it true you got an erection in the boys' locker room?

(Zach ignores her. He tugs Claire again.)

ZACH: (whispers) It's really urgent --

(Jackie listens in.)

CLAIRE: Not now. Not now.

(Claire pulls free and heads back to Brody. Zach rolls his eyes and leaves.)

(Principal Marks walks up to Claire and Jackie.

PRINCIPAL MARKS: Claire, Jackie. The sheriff and some firemen would like to have a word with you two.

CLAIRE: Okay.
JACKIE: Okay.

CUT TO:



[EXT. (LAS VEGAS) NIKI’S HOUSE -- DAY]

(Establish.)

(A telephone rings.)

NIKI’S VOICE: (answering machine) (v.o.) Hi, this is Niki. Leave me a message.

(beep)



[INT. NIKI’S WEB BEDROOM – DAY]

CAPTION:
      NIKI SANDERS
      LAS VEGAS, NEVADA

(Niki wakes up. She’s on the bed and still clothed in her white shirt and jeans.)

MICAH: (from phone) Mom ... are you there? When are you coming to get me?

(Niki looks around the room and sees blood spatter on the walls.)

MICAH: (from phone) I hate it here. You said you'd be back soon. Just come pick me up, okay?

(She turns and sees Weasel in the chair, dead, a large piece of glass stuck in his throat. Niki gasps and scrambles to get up. She sees the Big Guy dead on the floor.)

(The next thing she notices is the web camera still on. She grabs the camera, gets up and takes it off the tripod.)

(She hears whispering.)

(She turns and sees her reflection in the broken full-length mirror. The "Niki" in the mirror is wearing blood-stained clothes. She looks at Niki and puts a finger to her lips.)

REFLECTION: Shh.

(Spooked, Niki quickly lifts the garage door and slips outside. She closes the garage door behind her.)

(She puts a lock on the garage door.)



[EXT. NIKI’S HOUSE – DRIVEWAY – DAY]

(Niki starts her car engine and drives away.)



[INT. CAR (TRAVELING) – DAY]

(Niki is on the phone with Micah.)

NIKI: (to phone) Honey, I'm so sorry. I'm on my way. Baby, I'm only five minutes okay? You know I love you.

(She hangs up.)

(As she drives, Niki glances down at the video camera next to her.)

(She comes to a red light and stops. While the car is idling, she picks up the camera and watches the video.)

(She is on screen.)

WEASEL (THUG 1): (o.s.) (from tape) Come on.

(Niki unbuttons her top.)

WEASEL (THUG 1): (o.s.) (from tape) Yeah.

(She lifts her shirt over her midriff and starts to unbutton her jeans.)

WEASEL (THUG 1): (o.s.) (from tape) That's the way I like it. Go ahead, go ahead. Come on.

(Niki hesitates.)

(ON NIKI as she watches the video camera.)

WEASEL (THUG 1): (o.s.) (from tape) What's the problem, baby? Things just started getting good here. I said what's the problem?

(Niki flinches as we hear the sounds of Thug 1 punching her on the tape.)

NIKI: (from tape) Uhh!

(Niki’s defiant.)

NIKI: (from tape) Screw you.

(ON TAPE: Weasel punches Niki.)

(The tape goes black and statics out. Only audio remains. There’s some commotion, then both men scream. Then, sounds of two people being stabbed is heard through the static.)

(The traffic light has since turned green, but Niki doesn’t move. She continues to watch the tape.)

(On the tape, the two men scream.)

CUE SOUND: (PRE-LAP) CELL PHONE RINGING

ABRUPT CUT TO:



[INT. CAR (PARKED) – DAY]

(Niki is holding her cell phone, not the video camera. She’s now dressed in a red top and the video camera is on the passenger seat next to her.)

(She looks at her ringing cell phone, then down to the camera.)

(She glances down at her blouse. Instead of answering the phone, Niki gets out of the car.)

[EXT. PARKING LOT – DAY]

(Niki’s car is parked in an empty parking lot stall. An airplane passes overhead.)

(Niki looks around. Her cell phone continues to ring.)

(She answers the phone.)

NIKI: (to phone) Hello?

INTERCUT WITH:

[INT. TINA’S PLACE – LIVING ROOM – DAY]

(Micah sits on the sofa and looks out the window as he talks on the phone.)

MICAH: (to phone) Mom ... where have you been? I called you, like, four hours ago.

NIKI: What? Four hours?

MICAH: Yeah.

NIKI: I'll be right there, baby.

(She hangs up.)

(Micah hangs up and shakes his head.)

(Niki is confused and scared.)

CUT TO:



[EXT. TINA’S PLACE – DAY]

(Tina and Micah are out on the porch. Off screen, tires screech to a halt. Tina looks out and sighs as Niki runs to Micah.)

TINA: What is the matter with you, making him wait like that?

(Niki hugs Micah.)

NIKI: I'm sorry. Hon, two seconds.

(Micah nods and heads for the car.)

(Tina sighs.)

TINA: Okay. What the hell is going on, Niki?

NIKI: Something terrible has happened.

TINA: What? What is it?

NIKI: Those guys that you said that Linderman would send to get his money back ...

TINA: Yeah?

NIKI: Well, he did. And now they're dead. On the floor of my garage.

TINA: What? How?

NIKI: That's just it. I don't know.

TINA: What do you mean you don't know?

NIKI: I mean I don't know. I just--I woke up, and they were dead and ... I think that I might ... sometimes I look in the mirror ... and I'm not sure it's me that I'm seeing.

TINA: Maybe it was DL, you know? He's trying to protect you because he still loves you and Micah.

NIKI: DL wouldn't risk coming back. The cops are after him. And once Linderman finds out they're dead, it's not gonna matter who killed them. He's gonna come after me.

TINA: Then you need to listen to me. Niki, you have to call the police.

NIKI: No, I gotta ... (She looks at Micah.) I gotta cover my tracks. And then I gotta run. I gotta go.

(Niki hurries to the car. She gets inside, closes the door, puts the car in gear, backs up and leaves.)

FADE OUT.

(COMMERICAL SET)



FADE IN:

[INT. (NEW YORK) MOHINDER’S APARTMENT -- DAY]

(Mohinder is under the table looking at the wiring the exterminator was working on.)

EDEN MCCAIN: Why would anybody wanna tap papa Saresh's phone?

MOHINDER: Papa Saresh?

EDEN MCCAIN: Yeah, he told me to call him that after I butchered his name a couple times.

(Mohinder moves out from under the table.)

MOHINDER: (sighs) I don't know why someone would want to tap his phone. Back in Madras, I found a man in his apartment stealing his research, and now this.

(He hands Eden the bug found in his phone. Eden looks at it.)

EDEN MCCAIN: Why don't you just ask your dad? I mean, he must have some idea who it is.

MOHINDER: My father died four days ago.

EDEN MCCAIN: (surprised) What?

MOHINDER: I'm sorry, I ... you didn't know? (Eden sits down. Mohinder sits down next to her.) He was murdered in his cab.

EDEN MCCAIN: Oh, my God. How awful.

MOHINDER: You were close?

EDEN MCCAIN: Yeah ... I mean, I hate cooking for one. So I used to make extra and bring it over, and we would ... eat together, and he'd tell me about his theories and the map. We were friends.

MOHINDER: Well ... then you were closer to him than I was. I'm happy to hear he had someone to talk to. I'll get you some water.

(He gets up and heads to the kitchen.)

EDEN MCCAIN: I had no idea anything was wrong. I ... I knocked on the door a couple of times. I just ... I thought he was out, and we were missing each other. I had this book I wanted to show him.

MOHINDER: What book?

EDEN MCCAIN: Darwin's Origin of Species.

(He gives her a glass of water.)

MOHINDER: Thank you.

EDEN MCCAIN: It's a true first edition. I work at this antique book store, and I found a copy, and I just ... thought he'd get a kick out of reading it.

MOHINDER: Well, he most definitely would have gotten a kick out of it. That's very thoughtful.

EDEN MCCAIN: You know, he told me he was being watched. I thought that he was just eccentric.

MOHINDER: I like that you didn't use the word "paranoid."

EDEN MCCAIN: Do you think that they're watching you now?

MOHINDER: They could have killed me, if that's what they wanted. For the time being, it seems I'm more important to them alive. You said that he talked to you about his theories and the map. I need you to tell me everything he said to you. Everything you remember. Everything.

CUT TO:



[EXT. (TEXAS) UNION WELLS HIGH SCHOOL – AMPHITHEATRE – DAY]

(The cheerleaders are lined up in a row. Principal Marks, the Sheriff and the Fire Marshall are there.)

SHERIFF: Girls! This isn't a ... criminal investigation. Nobody here is in any kind of trouble. Quite the contrary. There just happens to be a very grateful man lying in the hospital who'd like to thank one of you for ... saving his life yesterday.

PRINCIPAL MARKS: I've never seen anyone so reluctant to be called a hero. You're sure it was one of our cheerleaders?

FIREMAN: The uniform said Union Wells High. (squints and points) I'd have to say it was ... her on the end.

(Jackie turns and looks at Claire.)

PRINCIPAL MARKS: That's Claire Bennet.

SHERIFF: Claire ... where'd you go yesterday after cheerleading practice?

CLAIRE: I, uh ...

JACKIE: (interrupts) It wasn't her. It was me. I was taking a shortcut home from school, and ... I saw the wreckage of the train ... wreck. And ... I just had to help.

PRINCIPAL MARKS: Why didn't you say something?

JACKIE: I guess I didn't want all the attention, you know? That's not why I did it.

FIREMAN: Well, on behalf of the Odessa Fire Department, I'd like to congratulate you as an honorary firefighter.

(He shakes her hand. The other cheerleaders squeal and cheer for Jackie.)

JACKIE: Thank you.

(Claire is quiet. She walks up to the Sheriff.)

CLAIRE: How is he?

SHERIFF: Who?

CLAIRE: The man Jackie pulled out of the train.

SHERIFF: He's got some pretty bad burns. Smoke damage to his lungs, but ... he's alive. Happy to be so.

(Claire smiles and nods.)

CLAIRE: Thanks to Jackie.

(The Sheriff nods. Claire smiles.)

CUT TO:



[EXT. FOOTBALL FIELD -- DAY]

(The football players are practicing.)

(Zach catches up with Claire.)

ZACH: Claire! I'm glad I finally got you alone. Look, we have to talk.

CLAIRE: Did you hear they asked Jackie to be the Grand Marshall of the pioneer day parade? They're gonna put her on the top of the fire truck. They should put her under the fire truck.

ZACH: It's about the videotape.

CLAIRE: What?

ZACH: The videotape! The tape where you're, like, killing yourself like twenty times.

CLAIRE: Oh, yeah, that. Can we just keep it under wraps?

ZACH: That's what I'm trying to tell you. It was in my backpack, and now it's not.

CLAIRE: What?

ZACH: It's gone.

CLAIRE: What do you mean, it's gone?

(Suddenly, a football player tackles Claire. She flies and falls to the ground, her head twisted completely around the back.)

(Zach sees Claire at the awkward angle and his jaw drops. Claire immediately turns her head back facing forward, her bones crunch and mend.)

(The football player gets up. He pulls off his helmet and its Brody Mitchum. He rushes over to help her.)

BRODY MITCHUM: Oh, my God! Claire! I'm so sorry. Are you all right?

(He helps her up.)

CLAIRE: Yeah. I'm okay. I'm all right.

(Zach glances behind him and the other football players are running toward them to watch.)

CLAIRE: (groans) Yeah. You just caught me off guard.

BRODY MITCHUM: I thought I heard something snap.

CLAIRE: Nope. (Claire raises her arm up high to the crowd around them.) I'm okay!

(The crowd sighs with relief and applauds.)

CLAIRE: I'm fine! I'm okay.

COACH: All right, that's it! Show's over!

(The crowd disburses. Claire turns back to Brody.)

CLAIRE: Yeah, no scratch on me.

BRODY MITCHUM: Guess you're not so dainty after all.

CLAIRE: I'm dainty enough.

(Brody leaves. Claire walks over to Zach.)

CLAIRE: (to Zach) We have got to find that tape.

(Claire turns and raises her arms to the other cheerleaders as she runs to join them.)

CLAIRE: Whoo!

(The cheerleaders cheer.)

FADE OUT.

(COMMERCIAL SET)



FADE IN:

[EXT. (LAS VEGAS) NIKI’S HOUSE – FRONT -- DAY]

(Niki drives home. She parks in the driveway. Micah and Niki get out of the car and head for the house.)

MICAH: (grumbling) What if I don't want to go on vacation?

NIKI: You don't have a choice. You have to.

MICAH: Why are we doing this, mom? Why won't you just tell me what's going on?

(Niki stops and looks at Micah.)

NIKI: I wish that I could, baby. But you are just gonna have to trust me, okay? Now go in and pack up your stuff. I have to take care of something in the garage.

(Micah heads for the house. He takes a step up, looks inside and stops.)

MICAH: Mom ... what happened to our house?

NIKI: Mikey, you're just gonna have to trust me, okay? Now go in and grab some stuff. Go.

(Micah goes into the house.)

(Niki heads for the garage. She removes the lock and opens the door. Everything is cleaned up. The bodies are gone.)

(Niki finds car keys hanging from a hook dangling from the ceiling. She wraps her fingers around the keys and looks at the mirror. The image in the mirror looks knowingly back at her. The image nods to something behind Niki. Niki turns around and sees a red convertible parked across the street.)

(She takes the car keys and steps out of the garage. She closes the garage door.)

(Niki heads across the street toward the red convertible. She gets into the car and tries the key. It fits. She checks the registration in the glove compartment. The car is registered to:
      NIKI SANDERS
      37 PARKER STREET
      HENDERSON, NY, 89014

      VALIDATED: 06/15/06
      EXPIRES: 06/15/07

(She flips the registration over and finds a hand-written note:
      IN THE TRUNK
      FOLLOW THE MAP

(Niki gets out of the car and checks the trunk. She pops the hood and gasps at the sight of the two dead bodies inside. On the bodies is a map. She picks up the map, the blood sticking to her fingers. She puts the map down and slams the trunk closed.)

CUT TO:



[INT. (NEW YORK) HOSPITAL – PETER’S ROOM -- DAY]

(Peter sits in bed drawing. He draws two stick figures – one floating in the air, the other not. In the top right corner, he’s also drawn the SYMBOL.)

(His mother, Angela Petrelli, knocks on the glass. Peter looks up. She smiles at him. He quickly puts the drawing aside.)

(Angela enters the room.)

ANGELA PETRELLI: Help me understand what you were doing on that roof.

PETER: I can't. Not yet. But I will. You just have to trust me.

(She sits down on the edge of Peter’s bed and starts taking clothes out of the bag she’s brought with her.)

ANGELA PETRELLI: There's something you need to know about your father's death. He committed suicide.

PETER: What?

ANGELA PETRELLI: He committed suicide. I found him on the floor of the bathroom.

PETER: You said he had a heart attack.

ANGELA PETRELLI: I lied. For his reputation, his heart was fine.

PETER: But he'd had two others before that.

ANGELA PETRELLI: Well, I lied about those too. Suicide attempts, both of them. He finally got what he wanted. When he was 23, he was diagnosed with major depressive disorder. He couldn't help it. It was just who he was.

PETER: Why didn't I know about any of this before?

ANGELA PETRELLI: Your father and I decided not to tell you since the disorder can have a genetic link, and you were always so sensitive. We didn't want you to worry about it.

PETER: But you're telling me now.

ANGELA PETRELLI: It can start with delusions of grandeur. Thinking you're invincible or indestructible. They are irrational thoughts that then turn suicidal. It's time you took a hard look at your life. And if there are changes to be made, I want to be here to help you. Because there's something else I never told you. Come here. You were always my favorite. I cannot lose you.

PETER: Yeah.

CUT TO:



[EXT. (NEW YORK) CORRIDOR OUTSIDE ISAAC’S FRONT DOOR – DAY -- FUTURE]

(Hiro presses the buzzer. He opens the comic book and looks at the writer/artist information about Isaac Mendez on the back inside cover.)

(There’s no answer. Hiro knocks on the glass door. The door swings open.)

HIRO: Mr. Isaac Mendez?

(Hiro looks around, then steps into the studio loft.)

HIRO: Hello? Mr. Isaac?

(Hiro walks down the steps and further into the studio. Hiro tucks the comic into his satchel and looks at the paintings in the studio. The ones he passes by are of the SYMBOL in various forms and colors.)

(Hiro walks over to Isaac’s worktable and finds an incomplete page with three panels all of him.)

HIRO: (softly) Mr. Isaac?

(Hiro turns and finds blood on the floor. He follows the blood to the back of the studio.)

(He sees more blood. A lot more blood. On the floor next to the blood is a gun.)

(Hiro picks up the gun. He continues forward.)

HIRO: (nervously) Mr. Isaac?

(Hiro reaches the back room and finds Isaac Mendez dead on the floor, his head sliced open and emptied. That’s where all the blood came from. He gasps and can’t move.)

(Police enter the studio through the entrance.)

DETECTIVE: Freeze! Drop your weapon.

(Hiro drops the gun.)

(From the second entrance, more officers enter the studio.)

OFFICER: Get your damn hands up.

(Hiro puts his hands up.)

(The detective steps forward. Hiro glances down at the dead body and faints.)

FADE OUT.

(COMMERCIAL SET)



FADE IN:

[EXT. (LOS ANGELES) WALKER RESIDENCE – STREET -- DAY]

CAPTION:
      MATT PARKMAN
      LOS ANGELES

(Officer cars gather around a residential home. Matt Parkman is outside directing traffic.)

MATT PARKMAN: (mutters) Serial killer strikes in the middle of Los Angeles, abducts a little girl, and here I am. A hundred feet away. Might as well be in Siberia.

OFFICER: That's all right. They don't pay us enough to be where the action is. What are you gonna do, anyway?

MATT PARKMAN: What do you mean? I just wanna help.

OFFICER: You wanna help? Help me get more tape.

(Two cars arrive. FBI agents get out and head for the house.)

OFFICER: What do you think -- CIA or FBI?

MATT PARKMAN: Nah, she's dressed too nice for FBI.

OFFICER: I saw the test scores got posted this morning.

(By Matt’s reaction, its clear he didn’t pass.)

OFFICER: Don't worry about it, man. Not everybody's a test taker. Who wants to be a detective, anyway?

MOLLY: (v.o. thoughts) Please don't hurt me.

OFFICER: (b.g.) You gotta spend half your salary buying suits. Nine of out ten of these guys ...

(Matt looks around.)

MOLLY: (v.o. thoughts) He stole them.

OFFICER: (b.g.) Won't live to see their pension plan.

MOLLY: (v.o. thoughts) Please don't hurt me. Please don't hurt me.

(Matt listens to the little girl’s voice and looks around.)

OFFICER: You all right, man?

(Matt doesn’t answer. He turns and follows the little girl’s voice.)

OFFICER: Matt?

(Matt heads for the house and walks past various officers in conversation.)

ND OFFICER: My back is killing me.

MOLLY: (v.o. thoughts) Please don't hurt me.

ND OFFICER: There's a bullet out there with my name on it.
ND OFFICER: Your ass is on the line.

MOLLY: (v.o. thoughts) Please.



[INT. WALKER RESIDENCE – ENTRYWAY – DAY – CONTINUOUS]

(Matt walks into the house. Crime scene personnel are inside taking photos of the body hanging along the stairway banister, stabbed with utensils and other metal objects. The woman’s head is cut open.)

MOLLY: (v.o. thoughts) Please don't hurt me.

(Matt stops and stares for a moment.)

MOLLY: (v.o. thoughts) Please don't hurt me.

(He turns and heads for the living room. He walks past FBI Agents Audrey Hanson talking with a CIA Agent.)

You know, we don't have any idea what happened in here.

FBI AGENT AUDREY HANSON: I've got a theory.

FBI AGENT: You always do.

FBI AGENT AUDREY HANSON: This is Barstow all over again. It's Sylar.

FBI AGENT: There isn't a Sylar. Last words of a dying victim. It didn't mean anything. And look at her. Must have taken three guys to lift her up that high. What about the daughter?

FBI AGENT AUDREY HANSON: No sign. We checked the house and surrounding, issued an amber alert. You've seen what happened to the father.

(James Walker is sitting at the table. He’s frozen solid with the top of his head cut off like the others. He’s holding a spoon half-way to his mouth as if he were caught while eating. Matt walks up to the body and looks at it, but his attention is elsewhere, listening.)

FBI AGENT AUDREY HANSON: Frozen solid, skull sawed off. We need to find out how.

FBI AGENT: The little girl's the priority.

(Matt walks around the body. He’s still listening for the little girl. Matt looks around the room.)

MOLLY: (v.o. thoughts) Please don't hurt me. Please don't -- please don't hurt me.

(The CIA Agent looks up and notices Matt. Audrey Hanson also stops and notices Matt.)

MOLLY: (v.o. thoughts) Please.

FBI AGENT: You are not supposed to be in here.

(Matt motions for her to be quiet as he heads closer and closer to the paneled wall under the stairs. The CIA Agent is quiet. Matt turns and focuses on the cupboard.)

MOLLY: (v.o. thoughts) Please ... please don't hurt me.

(He looks down and sees a hallway table with a lamp on it against the paneling.)

MOLLY: (v.o. thoughts) Please don’t -- Please don't hurt me.

(Matt removes the lamp and moves the table. He puts his hands up against the paneling and pushes. The paneling opens to a small cupboard under the stairs.)

(Inside, Molly Walker is huddled behind a small table and chairs. She stares at him, scared. Matt glances back at the agents before turning back to Molly.)

MATT PARKMAN: It's okay. It's okay. You're safe now. (He glances at his badge.) Look, I'm a cop. I'm one of the good guys, okay?

MOLLY: (v.o. thoughts) He hurt my mom and dad. Please don't hurt me.

(He holds out his hand to her.)

MATT PARKMAN: I'm not gonna let anybody hurt you. No, no, no. Come on, take my hand. It’s okay. Come on. It's okay. Come on.

CUT TO:



[INT. (NEW YORK) MOHINDER’S APARTMENT -- DAY]

(Mohinder points to a spot on the wall map near a post-it with the SYMBOL and two question marks on it. He talks with Eden.)

MOHINDER: For years, he'd been working on a mathematical theorem using human genomes and DNA migration patterns. He thought he could find a way to identify these people, the ones who were special. I never believed it was possible. We fought about it constantly. It's the reason we grew apart.

(The phone rings; the answering machine kicks on.)

CHANDRA SURESH: (answering machine) You've reached Chandra Saresh. Please leave a message.

(The answering machine beeps. Eden checks the machine.)

EDEN MCCAIN: He's got messages.

(She plays it back.)

EMI: (answering machine) Chandra, this is Emi. You forgot to turn in your trip sheet for last week. Where is your head, man?

EDEN MCCAIN: Oh, my god, Mohinder.

MOHINDER: Yes?

EDEN MCCAIN: No ... the other Mohinder. The lizard. He's gotta be around here somewhere.

(Eden and Mohinder crawl on the floor looking for the lizard.)

(The answering machine beeps.)

NATHAN: (answering machine) Hi, I'm Nathan Petrelli. It would be an honor to represent New York's 14th district. When the time comes, vote Petrelli.

(The answering machine beeps.)

SYLAR: (from answering machine) Hello, Chandra. Why won't you talk to me? You can't leave me like this.

(The phone clicks. Chandra picks up.)

CHANDRA SURESH: (from answering machine) Hello, Mr. Sylar. I asked you not to call here anymore.

SYLAR: (from answering machine) The hunger, it's -- I can't control it. I don't want to. You made me this way.

CHANDRA SURESH: (from answering machine) I made you a murderer?

SYLAR: (from answering machine) You helped me to discover my potential. You wanted to see what I could do as much as I did. And now you want it to stop.

CHANDRA SURESH: (from answering machine) It's over. Goodbye.

(The answering machine beeps and clicks off.)

MOHINDER: I found a tape of a conversation my father had with a man nameD Sylar. A man he believed was Patient Zero.

(Something falls. Mohinder and Eden turn sharply to look. Eden finds Mohinder the lizard up on the shelf. She picks up the lizard.)

EDEN MCCAIN: Come here, you. Mohinder, this is Mohinder. You wanna give him a kiss?

(She puts the lizard back in its tank and finds a flash drive.)

MOHINDER: What is it?

EDEN MCCAIN: It's a portable hard drive.

(Mohinder takes it from her and looks at it. He attaches it to the laptop and checks it. A series of letters and dashes appear on the monitor, scrolling sideways. They form a pattern of the SYMBOL.)

MOHINDER: My God, he did it. He actually came up with a way to find them. You wondered why someone would want to kill my father. The reason for his death. It's this! I'm going to finish what he started.

CUT TO:



[EXT. (LOS ANGELES) WALKER RESIDENCE – BACKYARD -- DAY]

(Matt walks along the pool. The Audrey Hanson and the other FBI agent approach him.)

FBI AGENT: Hey, Parkman. How the hell did you know that little girl was in there?

MATT PARKMAN: I don't know. I don't know, I just -- I heard her whispering, and, um ...

AUDREY HANSON: House full of cops, but you're outside, and you just heard her whisper?

MATT PARKMAN: I can't explain it. It was ... I thought everybody could hear her. You guys couldn't hear her?

(Matt glances at his watch.)

AUDREY HANSON: You got someplace better to be?

MATT PARKMAN: It's my wife. I'm, uh ... I'm meeting her at a ... a therapy session. Couples counseling. We're having some problems at home.

(She looks at Matt.)

FBI AGENT: (v.o. thinking) This guy's worthless. Worthless

(Matt looks at her.)

FBI AGENT: ... Cut him loose. He got lucky.

(She turns and leaves. Audrey Hanson’s not convinced. Matt starts to leave.)

AUDREY HANSON: Not yet, Parkman. (He stops.) Your captain says you've taken the exam to advance to detective three times?

MATT PARKMAN: Right.

AUDREY HANSON: You really think you're detective material?

MATT PARKMAN: Yes, ma'am, I do.

AUDREY HANSON: So how does it make you feel? Flunking out so many times.

MATT PARKMAN: I don't know. Embarrassed, I guess. A little angry.

AUDREY HANSON: A little angry?

MATT PARKMAN: Yeah.

AUDREY HANSON: Angry enough to do something about it? Maybe set yourself up to look like a hero?

MATT PARKMAN: Wait, what, you think I killed these people? I didn't kill these people. Sylar did.

(Audrey stops.)

AUDREY HANSON: (v.o. thinking) How did you know that name?

(She looks at him.)

AUDREY HANSON: How did you know that name? Six people assigned to this case know the name of Sylar. How the hell did you know that?

MATT PARKMAN: (shakes his head) I heard it. From you.

AUDREY HANSON: (v.o. thinking) Like you heard the girl whisper.

MATT PARKMAN: Yeah.

AUDREY HANSON: Then hear this one.

(She cuffs him.)

AUDREY HANSON: You're under arrest.

MATT PARKMAN: What? Ow!

(We hold on Matt.)

FADE OUT.

(COMMERCIAL SET)



FADE IN:

[EXT. (LAS VEGAS) ROAD – NIGHT]

(Niki drives to the location on the map. She pulls to the side of the road and finds a shovel upright in the dirt. She parks the car and gets out. She adjusts the blanket over Micah who is sleeping in the back seat. She heads over to the shovel and starts digging.)

(She shovels once – twice – then hits something in the dirt. Using her hands, she finds a skull and gasps.)

(She picks up the shovel again and looks around.)

CUT TO:



[INT. (ODESSA) BENNET RESIDENCE – DEN - DAY]

(Mr. Bennet is watching something on a portable player. The door opens and Claire walks in. Mr. Bennet closes the player and smiles at Claire.)

MR. BENNET: Claire Bear!

CLAIRE: Hi, dad.

MR. BENNET: Hey. How was school?

CLAIRE: Very school-like. How was work?

MR. BENNET: Very work-like. Listen, I, um ... I made a couple of calls today.

(He pats the cushion in front of him. Claire sits down.)

MR. BENNET: I spoke to a very nice woman at the adoption agency and she said they were going to try to get in touch ... with your birth parents and, uh ... and request a meeting.

CLAIRE: I thought that was an adult decision.

MR. BENNET: You seemed pretty adult this morning when you told me you wanted to do it.

CLAIRE: Thanks.

MR. BENNET: She said it was a lengthy process. And it could take weeks. I'm hoping ... years. That way, you'll be my little girl for a while longer. I'm not done protecting you from the world.

CLAIRE: You're my dad. You'll never not be my dad. I promise I'll ... be your little girl for as long as I can. But you can't protect me forever.

MR. BENNET: I know. And it breaks my heart.

(A tear falls down Claire’s cheek.)

CLAIRE: I love you, dad.

MR. BENNET: I love you too, sweetheart. (He wipes the tear from her cheek. Claire smiles.) Go get ready for dinner.

(Claire gets up and leaves. Mr. Bennet opens the player again. On it, he’s been watching Claire’ video.)

CLAIRE: (from video) This is Claire Bennett. And that was attempt number six.

MR. BENNET: It really does break my heart.

(He shuts the player.)

CUT TO:



[EXT. (NEW YORK) HOSPITAL ROOFTOP -- NIGHT]

(Peter sits on the edge of the rooftop. He looks down at the cars below.)

NATHAN: I've been looking all over for you.

PETER: Did you know about dad's depression?

NATHAN: Yeah.

PETER: Why didn't you ever tell me?

NATHAN: Because everyone's entitled to their secrets, Peter.

PETER: I was so sure when it happened. Now it turns out I'm just ... going crazy.

(Peter stands up. He looks down at the cars below.)

NATHAN: Look, hey ... we've been through this before. We've played this game, okay? Let's just ... let's just go.

(Peter looks at Nathan.)

PETER: Tell me what happened, Nathan. When I jumped. Tell me you flew. I wanna hear you say that you flew. Tell me, or I'll jump again. (Peter steps closer to the edge of the platform.) Hey, good luck on your campaign ... when I'm splattered all over the ground below.

NATHAN: All right. You want the truth?

PETER: Yeah.

NATHAN: We both flew. Pete ... I caught you, and I lost control. You're too heavy. We both started falling to the ground and just before we -- just before we hit, you flew. You.

PETER: Are you lying to me?

(Nathan shakes his head. Peter doesn’t believe him.)

PETER: You are.

(He takes a couple of steps toward Nathan.)

PETER: You're trying to tell me what you think I wanna hear. You're lying to me again!

(Nathan doesn’t say anything. He looks at Peter’s feet, then back up at Peter. Nathan points to Peter’s feet.)

(Peter looks down and sees that he’s floating a couple feet above the rooftop. He looks at Nathan, then promptly falters and falls to the ground.)

(Nathan doesn’t say anything. Peter’s thrilled. He hugs Nathan.)

PETER: Did you see that? Did you see that? I flew?

NATHAN: Yeah, I -- I know. I know.

(Peter smiles.)

CUT TO:



[CU: PETER’S DRAWING]

(HOLD on Peter’s stick man drawing of the roof where one man is floating over the air in front of the other.)



[INT. (NEW YORK) ISAAC’S STUDIO – DAY (FUTURE)]]

(The coroners remove Isaac Mendez’s body. They walk over the mural on the floor of New York exploding.)

(The detective talks with Hiro.)

DETECTIVE: You're one sick son of a bitch, you know that?

HIRO: Very sorry. I not speak much English.

DETECTIVE: What I wanna know is what did you do with the man's brain? You flush it down the toilet, you eat it, what?

(The interpreter arrives and puts the folded newspaper on the table in front of Hiro.)

DETECTIVE: (to the interpreter) We got a live one here. No English, no passport, no American money, no ID. (He shows him Hiro’s wallet.) Except for this here. "An honorary member of the merry marvel marching society." Let's start by asking him how he got to New York.

DETECTIVE FURAKOWA: (in Japanese)

HIRO: (in Japanese)

DETECTIVE FURAKOWA: He says he teleported himself here.

DETECTIVE: Teleported? What the hell is that?

HIRO: Like Star Trek.

DETECTIVE FURAKOWA: He says he can bend the space-time continuum.

DETECTIVE: Funny, I've seen all the Star Treks. I don't remember you from the show.

(Hiro makes the "live long and prosper" sign.)

DETECTIVE: How long ago did he do this?

DETECTIVE FURAKOWA: (in Japanese)

HIRO: Yesterday.

DETECTIVE: Yesterday.

HIRO: (subtitled) If you let me make a phone call my English speaking friend will clear everything up.

INTERCUT WITH:



[INT. YAMAGATO INDUSTRIES – ANDO’S OFFICE – DAY]

(The phone rings; Ando answers it.)

ANDO: Moshi-moshi.

HIRO: Ando-kun? (in Japanese)

ANDO: Hiro? Doko? (not subtitled) Where are you?

HIRO: (not subtitled) New York! Teleporto-

(The translator takes the phone from him.)

DETECTIVE FURAKOWA: (in Japanese)

(Ando listens.)

DETECTIVE FURAKOWA: Your friend says he was with you yesterday.

ANDO: Yesterday?

DETECTIVE FURAKOWA: That's not correct?

(On Ando’s office wall is a MISSING PERSONS poster for HIRO.)

ANDO: I have not seen Hiro Nakamura in five weeks. We look for him everywhere.

DETECTIVE FURAKOWA: His buddy hasn't seen him for five weeks. (subtitled) Your friend says he hasn’t seen you in five weeks.

(Hiro looks at his watch:
      MO 10-02
      11:52

HIRO: October 2?

DETECTIVE: October 2? No, pal. Today. November 8th.

(He shows Hiro the early edition of the NEW YORK CHRONICLE. The headline reads, "Petrelli Wins in Landslide." The date is NOVEMBER 8.)

HIRO: November? No ... October.

(Suddenly, there’s an explosion outside. Hiro and the two detectives turn to look out the large windows. There’s a bright flash of light and the glass cracks from the sound. The buildings in front of them explode as a large plume of smoke mushrooms out toward them.)

(Hiro closes his eyes and concentrates on getting back.)

(The rumbling sounds of buildings exploding gives way to the rumbling sounds of the subway train.)



[INT. (TOKYO) SUBWAY – DAY (PRESENT)]

(Hiro opens his eyes and he’s back on the subway. The digital clock behind him reads: 11:43.)

MOHINDER: (v.o.) For all his bluster, it is the sad province of man that he cannot choose his triumph. He can only choose how he will stand when the call of destiny comes.

(Hiro is quiet as he straightens and makes a decision.)

MOHINDER: (v.o.) Hoping that he'll have the courage to answer.

(We hold on Hiro.)

FADE TO BLACK.

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choup37, 15.04.2024 à 10:15

Il manque 3 votes pour valider la nouvelle bannière Kaamelott... Clic clic clic

chrismaz66, 15.04.2024 à 11:46

Oui cliquez;-) et venez jouer à l'animation Kaamelott qui démarre là maintenant et ce jusqu'à la fin du mois ! Bonne chance à tous ^^

Supersympa, Avant-hier à 14:31

Bonjour à tous ! Nouveau survivor sur le quartier Person of Interest ayant pour thème l'équipe de Washington (saison 5) de la Machine.

choup37, Aujourd'hui à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, Aujourd'hui à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

Viens chatter !