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Heroes
#101 : Hors du commun

 

Partout dans le monde, des personnes ordinaires, n’ayant rien en commun, découvrent qu’elles possèdent d’étranges capacités. Il y a Peter Petrelli, persuadé qu’il sait voler ; Claire Bennet, la cheerleader indestructible ; Isaac Mendez, le junky qui peut prédire l’avenir lorsqu’il plane ; Hiro, l’employé de bureau capable de manipuler le temps et de se téléporter ; et Niki, la strip-teaseuse dont le reflet dans les miroirs est autonome. Ils vont devoir apprendre à vivre avec leurs dons, et se rendre compte qu’ils ne sont pas les seuls....

 

 *** Captures ***

Popularité


4 - 4 votes

Titre VO
Genesis

Titre VF
Hors du commun

Première diffusion
25.09.2006

Première diffusion en France
30.06.2007

Photos promo

Photo de l'épisode #1.01

Photo de l'épisode #1.01

Photo de l'épisode #1.01

Photo de l'épisode #1.01

Photo de l'épisode #1.01

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Plus de détails

Réalisé par: David Semel
Ecrit par: Tim Kring

New York. Peter Petrelli est en haut d’un immeuble. Il pense aux questions existentielles de l’homme: que fait-on là, pourquoi rêve-t-on,... Puis il écarte les bras et se laisse tomber dans le vide. Puis il y a des images de building, Peter est entrain de voler (mais on ne le voit pas). Une porte s’ouvre, et Peter se réveille dans une chaise. Simone Deveaux vient d’entrer dans la chambre de son père, mourant, sur lequel veille Peter, car il est infirmier. Ils discutent et Peter laisse entendre qu’il aimerait sortir avec la jeune femme. 
Mais elle a déjà quelqu’un dans sa vie.

Madras, Inde. Le professeur Mohinder Suresh donne un cours, dans lequel il évoque ses théories sur le génome humain. Il exlique que ce projet a découvert des petites mutations dans le code génétique de la race humaine, qui pourrait avoir des effets tels que des capacités de lévitation, de téléportation, la régénérescence des tissus celullaires. Un homme entre discrètement dans la classe, et Mohinder arrête son cours. Il dit à l’homme qu’il sait qu’il commence à parler comme son père, et qu’ils peuvent le renvoyer si ça leur chante. Mais l’autre homme à une expression grave, et il lui annonce que son père est mort. Mohinder est persuadé que son père a été assassiné à cause de ses recherches. On apprend que Chandra Suresh était parti à New York, et qu’il travaillait en tant que chauffeur de taxi, mais qu’il était avant tout un brillant généticien. Les deux hommes arrivent chez Chandra, car Mohinder veut récupérer les recherches de son père, pour finir ce qu’il avait commencé. Il rentre dans l’appartement, trouve un dossier portant le nom de Genesis, et une grande carte du monde. De l’autre coté du mur, un homme est entrain de fouiller dans des papiers. Son téléphone sonne, et il dit à son interlocuteur que Suresh a tout laissé dernière lui, à part son ordinateur. Mohinder se dépêche de prendre une photo de la mappemonde, et il s’en va avant d'être découvert.

Las Vegas, Nevada. Niki Sanders fait un strip-tease devant une caméra reliée à un ordinateur. L’appareil émet un bip et Niki arrête l’enregistrement et elle envoi un message à l’internaute pour dire que c’est fini. Elle passe devant un miroir et entend des chuchotements. C’est comme s’il y avait quelqu’un d’autre dans la pièce.

Elle rentre chez elle et appelle Micah, son fils. Il n’est pas dans sa chambre, alors elle commence à paniquer. Elle sort de la chambre, et on voit son reflet dans un miroir sortir comme elle, mais avec un temps de retard. Micah est en fait entrain de réparer son petit ordinateur. Il lui qu’il est déjà prêt à aller à l’école et qu’il a préparé son déjeuner. Puis il lui demande ce que elle, elle a fait ce matin. Quelqu’un sonne à la porte. Elle lui dit de prendre son sac et d’aller l’attendre à la porte de derrière. Deux hommes attendent devant la porte d’entrée. Niki et Micah font le tour de la maison et s’en vont. Les deux hommes défoncent la porte d’entrée.

Odessa, Texas. Claire Benett est entrain de monter tout en haut d’un escalier. Elle est filmée par un ami, Zach. Elle lui demande si c’est bon, puis elle se lâche et tombe dans le vide, en heurtant le sol dans un bruit sourd. Zach arrive en courant. Elle est allongée par terre et ne bouge plus. Puis elle se redresse, remet son épaule en place, et dit à la caméra: « Je suis Claire Benett, et ça c’était la tentative numéro 6 ». Elle a une grande entaille sur sa joue, qui se referme au fur et à mesure qu’elle parle.

Même image de Peter, qui se laisse tomber du haut de l’immeuble, même image des buildings de New York. Peter tombe, et il voit le visage de son frère avant de toucher le sol. Peter se réveille à l’arrière d’un taxi. Sur un bus à coté de lui, il y a l’affiche de la campagne politique de Nathan Petrelli, son frère aîné. Peter descend du taxi et arrive dans le bureau de Nathan. Il lui raconte ses rêves, mais Nathan est pressé, et il l’écoute à peine. Quand Peter lui dit qu’il pense savoir voler, son frère se moque de lui. Il lui demande de ne pas rabaisser l’image de la famille parce qu’il est en bonne position dans les sondages. Nathan reçoit alors un appel. Sa mère s’est encore faite arrêter.

Claire marche avec Zach, qui vérifie l’enregistrement de sa chute. On apprend qu’elle est l’une des filles les plus populaires de son lycée, et elle porte d’ailleurs son uniforme de cheerleader. Elle se plaint de ce qui lui arrive, alors que lui trouve ça cool. Il remarque alors qu’elle a des os qui ressortent de son ventre. Elle les enfonce et sa peau se referme. Il est le seul au courant des pouvoirs de Claire. Puis elle lui demande l’enregistrement et s’en va.

Tokyo, Japon. Hiro Namakura est assis à son bureau. Il regarde fixement l’horloge devant lui, mais rien ne se passe. Il se concentre plus fort, et l’aiguille de l’horloge arrête d’avancer pendant une seconde. Il se lève, hystérique, et court jusqu’au bureau de son meilleur ami, qui est sur le site internet de Niki Sanders, en lui disant qu’il a réussi à briser le continuum temps. Ando n’a pas l’air plus emballé que ça, et le patron de Hiro arrive à ce moment et le ramène à son travail.

Niki est convoquée chez le directeur de l’école de Micah. Il lui dit que son fils est vraiment très intelligent, mais que ça n’est pas tout, qu’il veut le retirer de l’école parce que Niki ne peut pas payer (c’est une école privée). Elle lui demande qu’on lui rende l’argent dont elle a fait donnation à l’école, mais il refuse et Niki s’énerve. On apprend que le père de Micah est parti de chez eux. Puis elle s’en va, dépitée. Mais en passant devant l’aquarium à coté de la porte, elle voit son reflet lui faire un hochement de tête, alors qu’elle-même ne bouge pas.

Au commissariat, Nathan se met en colère contre sa mère, parce que son attitude peut lui coûter sa place dans les élections. On apprend pourtant qu’elle possède une grande fortune, et aussi que Mr Petrelli est mort. Peter prend la défense de sa mère, et Nathan s’en va. Peter discute avec Mme Petrelli du fait qu’il soigne les gens. Elle lui dit qu’il devrait d’abord s’occuper de lui, avant de penser aux autres, que c’est pour ça qu’il a toujours été dans l’ombre de son frère. Peter reproche alors à sa mère d’avoir toujours fait passer Nathan en premier. Il lui raconte aussi que Nathan et lui sont très connectés, parce que quand Nathan a eu son accident, il l’a immédiatement ressenti, alors qu’ils étaient très éloignés géographiquement.

Niki a emmené Micah chez une amie, Tina, qui connaît ses problèmes d’argents. Son fils lui dit qu’ils devraient demander de l’aide à son père, mais elle refuse. Puis il lui demande pourquoi elle s’est regardé comme ça dans l’aquarium, mais elle ne répond pas.
Niki parle des problèmes de dettes qu’elle a avec Linderman, et Tina s’inquiète pour elle. Elle lui dit aussi qu’elle a l’impression d’être suivie par quelqu’un qu’elle ne peut pas voir.

Sur les lieux d’un accident de train. Les pompiers tentent d’arrêter l’incendie. Claire et Zach  arrivent à leur tour. Elle lui redonne la cassette et lui dit d’allumer la caméra. Puis elle passe la barrière et courre au milieu des flammes. Elle aperçoit un homme allongé par terre, qui bouge encore, et elle l’aide à sortir du wagon en feu. Sa jupe et son bras sont en feu. Les pompiers se précipitent vers eux, mais elle leur dit qu’elle va bien. Et en effet, elle n’a pas la moindre brûlure. Elle s’enfuit en courant.

Mohinder est arrivé à Brooklyn, New York. Le propriétaire lui ouvre l’appartement de son père, dans lequel il va s’installer. L’homme lui demande comment il va payer, et il lui dit qu’il a un travail: chauffeur de taxi. Sur le mur, il recrée la mappemonde de chez Chandra, en Indes. Il découvre aussi une cassette par terre, sur laquelle il y a « Sylar » d’écrit.

Isaac Mendez est entrain d’étaler de la peinture noire sur ses tableaux. Simone entre dans son appartement. Il semble un peu en panique. Il explique à la jeune femme qu’il ne se rappelle  même pas avoir peint ces tableaux, parce qu’il planait à cause de la drogue. Elle lui conseille une cure, mais il refuse. Puis il lui montre la peinture d’un bus en feu, lui disant qu’il la peint trois semaines auparavant, et il lui montre la photo du même bus en feu, paru dans le journal du matin. Il lui dit que quelque chose ne va pas chez lui. Simone lui propose son aide mais il la refuse aussi, alors elle lui dit qu’elle l’aime. Il lui crie dessus et lui demande de partir. Il regarde les informations à la télé. Ils sont entrain de parler de l’accident de train, et à coté de la télé se trouve un autre tableau représentant le même accident.

Peter arrive au bureau de Nathan, qui est encore entrain de travailler. Ils reparlent de l’incident avec Mme Petrelli, puis Nathan propose un travail à son frère, au sein de son équipe. Mais il répond qu’il a déjà un travail. Ils se disputent encore, et Peter s’en va. Dans la rue, il voit Simone qui attend un taxi. Puis il monte à son tour dans un taxi, conduit par Mohinder Suresh. Ils discutent de l’éclipse à qui a lieu l’après-midi, puis du fait d’être spécial, de la destinée.

Claire marche le long d’une voie de chemin de fer, Zach la rattrape.

Hiro est avec d’autres personnes, il fait des exercices, mais ne semble pas très concentré.

Niki arrive chez elle, sa maison est complètement dévastée.

Mohinder est dans son taxi, et Peter regarde l’éclipse par la vitre.

Ils regardent tous l’éclipse.

Isaac est dans son appartement, il regarde une seringue posée devant lui.

Niki regarde l’éclipse par la boite qu’a fabriqué Micah, quand elle s’aperçoit qu’il y a un homme dans sa cuisine. Elle tente de s’enfuir sans faire de bruit, mais un deuxième homme l’attrape. Ils l’emmènent dans son garage, là où elle tourne ses vidéos de strip-tease. Ils parlent des dettes qu’elle a avec Linderman. Il lui propose de lui faire un strip-tease et en échange il lui laisse plus de temps pour trouver l’argent. Niki commence à se déshabiller, mais elle voit son reflet dans le miroir et elle s’arrête. L’homme perd patience, et il la frappe. Niki perd conscience.

Ando ne veut pas croire ce que lui dit Hiro à propos de son pouvoir d’arrêter le temps. Il lui propose d’aller boire un verre.
Hiro insiste, et son ami le met au défi de se téléporter dans les toilettes pour femmes. Puis il part chercher deux autres bières. Pendant ce temps, Hiro se concentre.

Niki est allongée sur le lit, dans le garage. Le répondeur du téléphone se déclenche. C’est Micah, qui veut savoir quand sa mère va venir le rechercher. Elle se réveille, et découvre que tout est couvert de sang dans la pièce. Les deux hommes sont morts. Elle prend la caméra, et voit son reflet dans le miroir, couvert de sang alors qu’elle-même n’a aucune tâches, qui lui dit de ne pas faire de bruit.

Peter est toujours dans le taxi de Mohinder. Il reçoit un appel de Simone qui lui demande de l’aide. Il sort du taxi, et un autre homme monte à sa place. L’inconnu commence alors à parler du professeur Suresh (père ou fils?), il semble en savoir beaucoup sur Mohinder. Celui-ci stoppe alors le taxi et s’en va en courant. L’homme sort à son tour et le regarde s’enfuir. C’est le même homme qui était dans l’appartement de Chandra en Indes.

Claire, son frère et sa mère sont entrain de manger.Elle dit à sa mère qu’elle a traversé un feu sans être brûlé. Sa mère croit qu’elle parle en métaphore.

Ando voit Hiro se faire jeter hors des toilettes des femmes par les videurs du bar. Il crie qu’il est parvenu à se téléporter, mais son ami ne le croit toujours pas. Hiro lui dit qu’il veut être spécial, et ils se disputent.

Peter arrive à l’appartement du père de Simone. Elle est entrain de chercher des médicaments, et elle demande à Peter de venir avec elle aider un ami.

Claire discute avec sa mère en faisant la vaisselle. Elle a l’air un peu mélancolique. Elle retire sa bague qui tombe dans le broyeur. Claire y plonge la main pour la récupérer, et ses doigts en ressortent tous broyés, sa main est ensanglantée. Elle la cache dans son dos pour que sa mère ne la voie pas. Puis elle lui dit qu’elle voudrait lui demander quelque chose, et qu’elle n’a jamais osé parce qu’elle ne voulait pas mettre ses parents en colère. Claire lui demande des renseignements sur ses parents biologiques. Son père rentre à ce moment. C’est l’homme qui a fait peur à Mohinder, dans le taxi.

Hiro est dans le métro. Il est rêveur. Son regard tombe sur une affiche de la statue de la liberté. Il ferme les yeux, se concentre, et on voit l’horloge derrière lui défiler à toute allure. Il  se retrouve à New York.

Peter et Simone arrivent à l’appartement d’Isaac. Elle lui a parlé du don d’Isaac, celui de prédire l’avenir, et Peter trouve que c’est difficile à croire. Il n’y a pas de lumière dans l’appartement. Peter marche sur une seringue. Avec une lampe torche, il regarde les tableaux qu’a peints Isaac, dont celui qui représente Peter, sautant du haut d’un immeuble. Isaac est étendu sur le sol, inconscient mais vivant. Simone appelle une ambulance. Isaac se réveille et montre ce qu’il a dessiné par terre en disant qu’ils doivent l’arrêter. Il s’agit d’une explosion nucléaire au centre de New York.

Peter est sur le toit d’un immeuble. Un taxi s’arrête juste en bas. Nathan en descend, il est au téléphone avec Peter. Peter lâche son téléphone qui vient s’écraser aux pieds de son frère. Il se jette dans le vide. Nathan se met alors à voler et le rattrape. Ils restent suspendu en l’air quelques instants, mais Peter lâche prise et tombe.

1x01 : HORS DU COMMUN

  

(Fond noir, le texte défile en blanc de bas en haut) 


Récemment, des individus, sans aucun liens entre eux ont manifesté des dons pour le moins « particuliers ».

Même si ils n’en ont pas encore conscience, ces individus vont sauver le monde et le changer à jamais.

Ce passage de l’ordinaire à l’extraordinaire ne se fera pas du jour au lendemain.

Toute histoire a un début.

La première partie de leur épopée commence ici.

 

(Générique : Heroes)

 

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[Ext. Sur le toit d’un immeuble. Jour]


 (Peter est sur le toit d’un immeuble, la transition avec le générique se fait par ses yeux) 


VOIX OFF
 : D’où vient ce questionnement, cette quête. Ce besoin de résoudre les mystères de la vie alors que les questions les plus simple reste sans réponses.

Pourquoi existons-nous ? Qu’est-ce que l’âme ?Pourquoi rêvons-nous ? Peut-être vaudrait-il mieux ne pas chercher du tout, ne pas creuser la question, ne pas s’obstiner, mais ce n’est pas dans la nature humaine

 

(Peter lève les bras et regarde le ciel)

 

VOIX OFF : L’homme n’a pas été conçu ainsi, nous ne sommes pas sur cette terre pour reculer.


(Peter se penche et tombe lentement du toit de l’immeuble) (La caméra l’accompagne puis semble voler dans les rues de New-York)

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[Int. La résidence Deveaux. Jour]


(Peter se réveille brusquement lorsque Simone entre dans la pièce) 


SIMONE
 : Comment il va ?


{Sous-titre : New-York} 


SIMONE
: Excuses-moi, je t’ai fait peur.

PETER: Non, ça va. Mais j’arrête pas de faire des rêves bizarres chaque fois que je ferme les yeux. Laisse tomber. Il aime bien que je lui lise les cotations de la bourse.


(Il se lève et se dirige près du lit de Charles Deveaux, Simone est à l’opposé) 


SIMONE
 : Est-ce qu’il s’est réveillé ?

PETER : Non. Une semaine qu’il est comme ça, je crois que c’est la fin.


(Simone hoche la tête) 


PETER
 : Deux ou trois jours peut-être…


(Il fait le tour du lit et vient auprès de Simone) 


PETER
 : Excuses-moi.

SIMONE : Je ne sais pas comment il ferait sans toi, tu es un vrai don du ciel.

PETER : Je ne fais que mon travail.

SIMONE : Non, tu es comme un fils pour lui.

PETER : Du coup on se retrouverait frères et sœurs et ça deviendrait hyper gênant si je te demandais de sortir avec moi.


(Simone se retourne vers lui pendant que Peter vérifie l’état de santé de Charles Deveaux) 


PETER
 : Excuses-moi j’ai été nul. Non, c’est vrai, c’est pas vraiment le moment.

SIMONE : (gênée) Non, tu me touches, mais j’ai quelqu’un dans ma vie et…

PETER : Oui, j’comprend, ça fait rien…. Je dois changer sa perf.


(Il accompagne le geste à la parole) 

SIMONE
 : Oh, pardon, j’te gène

PETER: Non…

SIMONE: Si vas-y.


(Peter change la perf et Simone sort de la pièce) 

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[Int. Salle de classe en Inde, Madras. Jour]


(Mohinder est devant une dizaine d’étudiants et donne son cours) 


MOHINDER 
: L’espèce humaine est très narcissique par nature. Nous avons colonisé les quatre coins de notre petite planète, mais nous ne coiffons pas la pyramide de la soi-disant évolution.

Cet honneur revient au modeste cafard. Capable de vivre des mois sans nourriture, de rester en vie pendant des semaines sans tête, et de résister aux radiations.

Si Dieu à réussit à créer lui-même les êtres à son image, alors on peut en déduire que Dieu … est un cafard.


(Certains élèves rigolent, d’autres semble offusqués et chuchotent) 


MOHINDER
 : On dit que l’être humain n’utilise que le dixième de sa capacité cérébrale. Un centième de plus et nous pourrions être enfin digne de l’image de Dieu. A moins bien sur que ce jour ne soit déjà arrivé… Le séquençage du génome humain à déjà révélé que de légères variations s’opèrent dans le code génétique et se mettent en place à une allure extrêmement rapide. La téléportation, la lévitation, la régénération cellulaire, sont elles vraiment impossible ? Ou est-ce que l’homme est en train de rentrer dans une toute nouvelle étape de son évolution ?


(Il se déplace dans la salle de classe au fur et à mesure qu’il parle. Nirad entre dans la pièce) 


MOHINDER 
:  Vas t’il enfin accéder aux étonnante ressources de son potentiel ?

 

(Il aperçoit Narad qui attend sur le pas de la porte)

 

MOHINDER : Excusez-moi, je n’avais pas vu l’heure…


(Les élèves rangent leurs affaires et s’en vont en passant devant Nirad, avec qui Mohinder commence à parler) 


MOHINDER
 : Je sais, je sais, je commence à parler comme mon père, désolé mais j’y peut rien. Tu sais, il peuvent me virer moi aussi si ils veulent, mais j’te l’dit il se passe quelque chose Nirad. Même si ma théorie peut paraître folle. (Voyant l’air renfrogné de son ami) Qui a t’il ?

 

NIRAD : C’est ton père, … il est mort….

MOHINDER: (choqué) Quand ?

 

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[Ext. Rue de Madras, Inde. Jour / faible luminosité]


(Mohinder et Nirad marchent dans la rue, il pleut et les deux hommes portent des parapluies) 


NIRAD 
: Etre chauffeur de taxi à New-York peut s’avérer très dangereux. Le mauvais client au mauvais moment … On ne saura peut-être jamais se qui s’est passé…

MOHINDER : Non, non, je lui ai parlé il y a à peine 2 jours, il était convaincu que quelqu’un le suivait pour lui voler ses travaux, il est mort à cause de ses théories.

NIRAD : Ca n’a pas de sens !

MOHINDER : Ah oui ? 


(Ils s’arrêtent au milieu de la rue et se dévisagent, puis repartent à vive allure, Nirad suivant Mohinder de près)

 

NIRAD : Ton père a abandonné sa famille, ruiner sa carrière pour suivre des théories délirantes à l’autre bout du monde. Où tu vas ?!

MOHINDER : Dans son appartement, pour chercher ses notes et ses travaux, il était sur le point de mettre la main sur son premier cas ;  son patient zéro, il l’avait repéré dans le Queen’s.

 

(Ils montent un petit escalier et ferment leur parapluie car l’endroit est baché)

 

NIRAD : Mohinder, écoutes moi (Mohinder s’arrête et se retourne).Ton père était mon collègue et mon ami. Un remarquable professeur, un brillant généticien, mais il avait perdu le sens des réalités.

MOHINDER : J’ai suivit ces traces, et j’ai fait comme lui, ma thèse est basée sur ses recherches.

NIRAD : Oui, tu as toujours voulu qu’il t’approuve.

MOHINDER : Et aujourd’hui tu viens me dire que tout son travail est sans intérêt ?!!!

NIRAD : Je ne te dis pas ça du tout ; je te dis de laisser tomber.

MOHINDER : Je veux connaître les raisons de sa mort Nirad, et je veux surtout pas que ça ait servi à rien. (Pause) J’ai l’intention de finir ce qu’il a commencé.

 

(Il tourne le dos à Nirad et s’en vas).


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[Int. Appartement de Chandra Suresh, Madras, Inde. Jour / faible luminosité]


(Mohinder entre dans l’appartement et regarde autours de lui. Il pose son sac sur une chaise et aperçoit des lunettes posées sur un livre, sur la table. Il les prend, les observe et les repose.Puis il fouille dans un dossier nommé « Genesis » où divers onglets sont marqués par des couleurs et des titres. On peut notamment apercevoir en vert « Lévitation », en jaune « régénération cellulaire ». Ensuite, il porte son intérêt sur une boite remplie de casettes audio avec des noms tels que « téléportation », puis prend une photo de lui et son père, prise le jour de la remise du diplôme de Mohinder et la regarde un moment.Il se dirige ensuite vers la mappemonde accrochée au mur et décroche des papiers) (La caméra recule progressivement, et on distingue un autre homme de l’autre coté de ce mur, lisant un carnet de Chandra Suresh. Soudain, le téléphone de cet homme sonne et l’homme, Mr Bennet, décroche. De l’autre côté du mur, Mohinder entend du bruit et recule) 


MR BENNET
(au téléphone) : Allô ? Oui. Oui j’suis chez lui. Non non non non non, tout est là, à part son ordinateur. Les dossiers sont là, la carte…. Oui envoie une équipe pour tout récupérer…

 

(Mohinder se hâte et rassemble quelques affaires de son père, sort son appareil photo et prend des clichés de ses travaux, de la carte. Le flash de l’appareil est aperçu par Mr Bennet, qui se dirige vers la pièce où est Mohinder)

 

MR BENNET (au téléphone) : J’te rappelle.

 

(Mohinder enlève l’épingle indiquant New-York de la carte et parle discretement de l’appartement, au moment où Bennet entre dans la pièce, celui-ci ne le voit pas. Il prend les lunettes qui étaient posées sur le livre au début, et les met sur son nez)

 

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[Int. Garage des Sanders. Jour / lumière tamisée]

 

(Niki Sanders fait un strip-tease dans son garage sur la chanson « Mustang Sally ». Le strip-tease est retransmis sur Internet grâce à une caméra, posée sur un pied devant le lit.)


{Sous-titre : Las Vegas, Nevada}


(Elle enlève son tee-shirt et une sonnerie retentit. Elle se lève, se cache de la caméra et va enfiler un peignoir. Puis, elle se dirige vers son ordinateur) 

                 XXXNikki4U :

                        Terminé

                 Hugerz69 :

                        Encore un peu STP

 

NIKI (lisant le message) : T’en veut encore ? Ben va falloir que tu rack 39 dollars mon chéri…

 

(Elle écrit le message)

           

            Huggerz69 :

                        Salope !

 

NIKI (parlant devant son ordinateur) : Pervers

 

(Elle ferme la fenêtre de conversation et on aperçoit son site web, où elle propose ses strip-teases. Puis elle éteint l’ordinateur. En sortant de la pièce elle passe devant un miroir, puis fait quelques pas en arrière et regarde son reflet avec un visage inquiet. Elle finit par s’en aller)

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(Elle entre dans la maison) 

NIKI :
C’est l’heure de se lever Micah. 


(Elle ferme la porte à double tour et cherche son fils dans la maison)

 
NIKI : Micah, Micah ! 


(Elle regarde dans toutes les pièces et commence à paniquer. Lorsqu’elle rentre dans la chambre de Micah, celle-ci est vide. Au moment où elle en sort, on voit son reflet dans le miroir, qui bouge, mais plusieurs seconde après elle.)


NIKI : Micah, Micah ! 


(Elle entre dans le salon et y trouve son fils, réparant un ordinateur)


MICAH : Quoi ?!
NIKI : Non Micah tu ne me refait plus jamais ça !
MICAH : Faire quoi ? 


(Elle s’accroupit auprès de lui)


NIKI : Il faut que tu sois très prudent. D’accord ?
MICAH : Oh mais j’répare mon ordinateur. La carte mémoire était morte alors j’en fabrique une nouvelle.
NIKI : Une nouvelle ? On t’as jamais dit que t’étais le garçon le plus malin de la planète ?
MICAH : Si, toi, tout le temps.
NIKI : C’est quoi ça ? 


(Elle montre un objet sur la table avec sa tête)


MICAH : Un sténopé. Pour l’éclipse…. Aujourd’hui la lune va masquer le soleil.
NIKI : Oui d’ailleurs dépêches toi. Faut te préparer mon cœur, pas question d’être en retard, surtout pas aujourd’hui.
MICAH : Maman, je suis déjà habillé et j’ai emballé mon déjeuner. Ouais c’est ça que je faisais ce matin, et toi pendant ce temps ?
NIKI : Non, tu m’parles pas comme ça. J’ai travaillé pour payer nos factures.
MICAH : Ouais, c’est pour ça qu’on nous a encore coupé le gaz. 


(Quelqu’un sonne à la porte)


NIKI : Aller, prends vite tes affaires et vas m’attendre sur la térasse.
MICAH : Pourquoi ?
NIKI : Dépêches toi ! 


(Elle se penche discrètement par a fenêtre et aperçoit deux gansters devant la porte)

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[Ext. Arrière-cour des Sanders. Jour]

 

MICAH : Qu’est-ce qui se passe ?

NIKI : Chut, tais toi et tu me lâches pas la main !

 

(Pendant que Niki et Micah s’enfuit par derrière, on voit les deux gansters défoncer la porte et rentrer dans le salon, vide).

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[Ext. Texas, Odessa, Structure métallique. Jour]

 

{Sous-titre : Odessa, Texas}

 

(On voit une image provenant d’une vidéo amateur, montrant Claire Bennet grimpant les escalier d’une grande structure métallique. On peut lire sur la vidéo que l’on est à 46 minutes de vidéo, qu’elle est en train d’enregistrer, et qu’il reste 96 minutes de batterie. Claire arrive au sommet de la structure)

 

CLAIRE : C’est bon t’es prêt ?

ZACH (qui filme) : Ouais presque attends. Ca fait au moins 20-25 mètres ce truc, c’est complètement dingue !

 

(Claire passe au dessus de la barrière et s’apprête à sauter)


CLAIRE
 : J’vais y aller.

ZACH : D’accord.

 

(Elle saute et crie)

 

ZACH : Oh merde, Claire ! Oh non pas ça! Claire !

 

(Il court vers elle en continuant de filmer. Claire est sur le sol, face contre terre. Elle se relève, son bras est démis. Elle se le remet en place manuellement. Puis, elle regarde fixement la caméra).

 

CLAIRE : C’était Claire Bennet, tentative numéro 6.

 

(La blessure sur sa joue se cicatrise d’elle-même).


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[Ext. New-York. Jour] 

(Peter est comme au début sur le toit d ‘un immeuble, il tombe. La caméra le suit puis semble voler au dessus de New-York. Lorsque Peter arrive près du sol, quelqu’un lève la tête et le regarde, c’est son frère Nathan. Peter se réveille alors brusquement, il est dans un taxi. Le long de sa vitre, un bus passe avec sur le côté une affiche de campagne pour Nathan Petrelli, le frère de Peter « Pour des lendemains meilleurs, Nathan Petrelli ». Par derrière, on entend des klaxons et divers bruits de rue.)

 

CHAUFFEUR DE TAXI : On est arrivé M’sieur.

 

(Peter sort du taxi et entre dans le QG de campagne de Nathan)

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[Int. QG de campagne de Nathan Petrelli, NY. Jour]

 

NATHAN (au téléphone) :  Mr Linderman je vous rappelle dans 5 minutes d’accord ? Merci.

 (Il voit son frère arriver. En effet Peter arrive devant son bureau.) 

NATHAN : J’suis en retard, j’ai un cocktail de bienfaisance à 1h30….

PETER  (il le coupe) : Ca m’ait arrivé encore deux fois : J’ai l’impression de tomber et après je vole. Et même des fois je te voie.

NATHAN : J’ai pas le temps maintenant.

 

(Nathan ramasse ses affaires en vitesse et part, Peter le suit de près)

 

PETER : Ce ne sont pas que des rêves Nathan.

NATHAN : Tiens moi ça.

 

(Il lui tend son attaché-case, Peter le prend et ils repartent)

 

PETER : J’croyais que ça s’arrêterais mais c’est pas le cas.

 

(Nathan va voir un de ses employés)

 

NATHAN : Je récupère ce dossier à 6h, c’est urgent.

 

(Il repart, et Peter insiste)

 

PETER : Ce matin quand je me suis levé, mes pieds en flottés, un peu avant de toucher le sol, j’étais en lévitation l’espace d’une seconde, comme si, comme si je flottait.

 

(Nathan continue la traversée de son QG et s’avance vers le bureau d’une employée, qui lui tend un dossier, Nathan le lit)

 

PETER : Je te promet, je sens que je peux voler.

 

(Nathan sourit et regarde l’employée, qui a tout entendue, gêné)

 

NATHAN : Ce sont tous les indécis ?

EMPLOYEE : Um-Um. (Elle acquiesce et reprend le dossier)

 

(Nathan et Peter repartent vers la sortie)

 

NATHAN (ironique) : Si tu crois que tu peux voler, pourquoi tu sautes pas du pont de Brooklyn ? tu verras bien ce qui se passe.

PETER : Mais peut-être que je devrais d’abord commencer  d’un peu plus bas. Pour m’entraîner.

 

(Ils sortent du bâtiment).


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[Ext. Rue de NY. Jour]

 

NATHAN : T’es sérieux ?

PETER : Ouais super sérieux.

NATHAN : Tu dois te ressaisir un peu Peter ! fais toi soigner, va voir un médecin. Ais je t’en supplie, ne vas pas bousiller ma campagne, j’ai baisser de 8 points dans les sondages…

PETER : Arrêtes de ramener tout à toi. Je te parles d’un truc qui m’obsède. J’ai cru que y’avais que toi qui pouvait comprendre ce que je ressentais ces derniers temps.

NATHAN : Comment peux tu penser que je vais comprendre ton histoire de félé !

 

(Le téléphone portable de Nathan sonne)

 

PETER : Parce que toi t’es mon frère.

NATHAN (au téléphone) : Maman j’ai pas le temps…

PETER : De quoi qu’est-ce qu’il y a ?

NATHAN : d’accord j’suis là dans 10 minutes.

 

(Il raccroche)

 

PETER : Qu’est-ce qu’elle a fait encore ?

NATHAN : Elle a été arrêté.

PETER : Arrêté pour quoi ?

NATHAN : Vol à l’étalage.

 

(Ils montent dans une voiture)

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[Ext. Odessa, Texas, chemin dans la campagne. Jour]

 

(Claire et Zach rentrent chez eux et discutent. Zach est en train de re-visionner la vidéo de Claire tombant à 25 mètres de hauteur)

 

CLAIRE : Bonjour la déprime !

ZACH : Quoi ? Comment ça ? Pourquoi ? Franchement c’était énorme. Bon d’accord j’tavoue j’ai flipper comme un malade, mais c’est le truc le plus cool qui se soit passé dans cette ville ces cent dernières année, non ?

CLAIRE : sauf que personne va l’apprendre.

ZACH : Bah pourquoi tu m’as demandé de filmer alors ?

CLAIRE : J’ai mes raisons.

ZACH : c’est nul, ta côte devrait monter en flèche après tout ça.

 

(Ils arrivent devant le vélo de Zach, adossé à un arbre, sur le bord du chemin. Ils s’arrêtent.)

 

CLAIRE : Ma côte ?! Non mais attends j’men tape pas mal d’avoir la côte moi ! Ma vie est foutue, c’est mort pour moi ok ? Tournoi d’échec dans même pas une semaine, test d’évaluation en Octobre, début des vacances dans trois semaines, et j’suis une bête de foire !

ZACH : Attends, tu noircit pas un peu le tableau là ?

CLAIRE : Non, je noircie rien du tout ! c’est du concret ça ! J’me suis pété la moitié des os, j’me suis poignardé le ventre, je me suis enfoncé une énorme barre de fer en plein dans les cervicales et j’ai même pas une égratignure !

 

(Zach montre le ventre de Claire avec son doigt)

 

ZACH : C’est quoi ce truc qui dépasse là ?

 

(Claire regarde. Elle a 2 côtes de cassées, qui sont ressorties de sa peau.)

 

CLAIRE : Oh merde !

 

(Elle est remet à l’intérieur de son corps avec ses doigts. Zach est assez dégoûté. La peau de Claire se referme et elle remet son tee-shirt).

 

CLAIRE : Files-moi la cassette s’il te plait.


(Elle lui tend la main pour qu’il lui donne). 


ZACH
 : Ouais.

 

(Elle claque des doigts impatiemment. Zach sort la cassette de la caméra et lui donne. Claire le contourne et part.)

 

ZACH : Hey, attends t’en vas pas, je te ramène sur mon guidon si tu veux.

 

(Il désigne son vélo avec sa main. Claire se  retourne, l’air gênée).

 

CLAIRE : Zach, on va arrêter les frais, c’est bon. T’inquiète, je t’adresserai quand même la parole demain au lycée, je te le promet.

 

(Elle part).


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[Int. Tokyo, bureau de travail. Jour]

 

{Sous-titre : Tokyo, Japon}


(Hiro Nakamura est assis devant son bureau, il regarde fixement l’horloge posée sur celui-ci, en face de lui. Sur l’ordinateur, on peut voir l’image appelée Uluru, d’après un comic 9th Wonders. Il est 13h50) 

(Hiro regarde fixement l’horloge, et se concentre dessus, de plus en plus intensément. L’horloge continue de tourner pendant un bon moment, puis elle s’arrête et revient une seconde en arrière.)

 

HIRO : Yataaa ! (sous-titée : J’ai réussi !)

 

(Hiro sort en courant de son box, et court à travers les allées du bureau en parlant Japonnais. I arrive devant le box de son ami Ando, en train de s’occuper avec son ordinateur)

 

ANDO (sous-titré) : Qu’est-ce qui te prend ?

HIRO (sous-titré) : J‘ai brisé le continuum espace-temps !

ANDO (sous-titré) : Content pour toi.

HIRO (sous-titré) : J’ai fait reculer ma pendule d’une seconde, juste en me concentrant !

ANDO (sous-titré) : Dommage que tu ne soit pas payé à l’heure…

HIRO (sous-titré) : Je suis sérieux. Ca explique le métro ce matin….

ANDO (sous-titré) : Il avait 14 secondes de retard, et alors ?

HIRO (sous-titré) : Le train n’est jamais en retard !!

ANDO (sous-titré) : C‘est toi qui l’a retardé par la force de ton esprit….

HIRO (sous-titré) : J’ai découvert que j’avais des pouvoirs que le commun des mortels n’a pas.

ANDO (sous-titré) : c’est ça ! T’es comme Spock. Oui, comme Spock, exactement !

 

(A ce moment là, son patron l’attrape par le col et le traîne dans l’allée pour le faire comprendre de retourner au travail. Ando sort la t^te de son box et regarde Hiro s’éloigner, amusé).

 

ANDO (sous-titré) : Fais lui la « prise vulcaine » Spock ! La « prise vulcaine » !

 

(Il se re-concentre sur son ordinateur et on découvre qu’il était en train de regarder le strip-tease que Niki faisait dans son garage).


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[Int. Las Vegas, école de Micah, couloir puis bureau du directeur. Jour)

 

(Micah est assis sur un fauteuil dans la salle d’attente, il lit un comic 9th Wonders avec Uluru dessus. Il lève la tête et regarde sa mère qui parle avec le directeur, dans le bureau de celui-ci).

 

DIRECTEUR : Votre fils est un garçon très intelligent, très doué vraiment. Non le problème ne se situe pas là.

NIKI : Vous savez, son père n’est plus là et il manque une présence masculine à la maison pour le recadrer. Je travaille de nuit, mais euh… on peut faire plus d’effort tout les 2.

 

(Elle lui fait clairement du charme, mais cela ne marche vraisemblablement pas).

 

DIRECTEUR : Il ne s’agit pas de son travail. Je ne suis pas certain que cet établissement convienne à votre fils…

NIKI : Mais il s’est fait pleins de copains ici….

DIRECTEUR : Je regrette, je ne peux pas le garder.

NIKI : Et il est très heureux dans l’équipe de foot.

DIRECTEUR : JE ne peux pas le garder.

NIKI : Je vous ai fais un chèque. J’ai versé 25 000 dollars pour qu’il soit admis dans votre école de fils à papa. On m’a dit que c’était en plus des frais de scolarité, qu’il fallait en passer par là pour l’inscrire.

DIRECTEUR : A propos des frais de scolarité, vos 3 derniers chèques étaient sans provisions.

NIKI : Et bien déduisez les des 25 000 dollars que je vous ai donné.

DIRECTEUR : C’était une donation. Et nous vous en sommes très reconnaissants.

NIKI : Je veux récupérer mon argent. Je vous demandes de me rembourser. Tout de suite.

DIRECTEUR : Cet argent à servit à l’aménagement de l’aile Ouest, il a déjà été dépensé.

NIKI : Curms, rendez moi ce fric !

DIRECTEUR : Impossible. On peut peut-être discuter d’un échelonnement de votre dette mais je…

 

(Niki se lève et l’attrape par la cravate)

 

NIKI : Je veux récupérer mon argent.

DIRECTEUR : Je regrette… ce n’est pas possible.

 

(Niki le relache et s’en va).

 

NIKI (en passant devant son fils) : Aller viens Micah on s’en va. T’es trop bien pour euw mon chéri.

 (Elle passe devant un miroir et voit sa réflexion qui la regarde et lui fait un petit signe de tête) 

NIKI : Laisses-moi tranquille.

 

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[Int. NY, poste de police. Jour]

 

(Angela Petrelli attend dans une salle d’interrogatoire en regardant son alliance. Ses fils entrent dans la pièce).

 

NATHAN : Oh non, je peux pas le croire !

 

(Il passe devant elle. Peter s’accroupie et lui dit bonjour).

 

PETER : Ca va ?

ANGELA : Ils ont abandonné les charges. Je n’ai qu’à remplir un formulaire c’est pas grave…

NATHAN : Pas grave ?!! Je me présente au Congrès, t’imagines les répercussions si ça se sait, avec le passé de la famille ! Mais qu’est-ce que tu voulais tant pour être obligé de le voler ? Oh puis laisses tomber je veux pas savoir !

ANGELA : Des chaussettes.

NATHAN : Des chaussettes ?! Uh. Papa t’as laissé une fortune et toi qu’est-ce que tu fais ? Tu enchaînes conneries sur conneries depuis 6 mois. Papa est mort, il est temps de l’accepter.

PETER : Ca va laisses la tranquille. Elle va bien c’est tou ce qui compte.

NATHAN : Il faut surtout pas que la presse soit au courant.

 

(Il sort son téléphone portable).

 

PETER : Allez c’est bon. Tires-toi d’ici, j vais régler ça.

 

(Il se lève, ouvre la porte et montre la sortie à Nathan).

 

NATHAN : Merci, je vais m’assurer que l’affaire ne s’ébruite pas. J’te remercie maman.

ANGELA : Um-um

 (Elle lui fait un petit signe de la main en le regardant s’éloigner. Peter ferme la porte et s’accroupie à coté d’elle). 

PETER : Mais qu’est-ce qui t’a prit, hein ?

ANGELA : Je voulais voir comment ça faisait d’être vivante.

 

(Ils sortent de la pièce).

 

PETER : Nathan ne s’intéresse qu’à sa petite personne.

ANGELA : Ton père était aussi comme ça, des chefs de meutes

 

(Elle tend son manteau à µPeter, qui l’aide à le mettre).

 

ANGELA : toi, tu passes ton temps à prendre soin des autres, tu restes au chevet de gens en fin de vie… au fait, tu pourras prendre ta retraite avec ce que tu gagnes ?

PETER (ironique): Faudra peut-être que je vole mes chaussettes.

ANGELA : Fais pas le malin ! Tu fais passer tout le monde avant, t’es à la dernière place. Tu as toujours fait passé Nathan avant, il en a profité.

PETER : attends c’est pas toujours toi qui le faisait passer en premier ?

 

(Ils appellent l’ascenseur)

 

ANGELA : Il prenait plus de place que toi, demandait plus d’attention. Discutes pas c’est ta faute, tu l’as laissé faire.

PETER : C’est normal, c’est mon frère je l’aime.

 

(Voyant que l’ascenseur n’arrive pas, ils se dirigent vers les escaliers.)

 

ANGELA : L’amour, c’est surfait.

PETER : Il m’aime aussi, je le sais. On a toujours été proches.

ANGELA : Achètes toi des lunettes mon cœur.

PETER : Oh arrêtes là, t’es pas sympa.

 

(Ils descendent les escaliers).

 

PETER : Je sais que t’a tendance à dire ce que tu penses depuis que papa est mort, mais ce serait bien que tu gardes aussi certains trucs pour toi quelques fois.

ANGELA : Il n’y a que la vérité qui blesse. Je sais que tu idolâtres ton frère comme un héros. Et en définitive, ça n’a jamais été réciproque.

 

(Ils s‘arrêtent au milieu des escaliers)

 

PETER : Tu te trompes. C’est biologique je t’assures, c’est comme ça, on est… on est connectés. Je ne te l’avais jamais dis mais quand Nathan a eu son accident, je le savais.

ANGELA : On a tous été appelé…

PETER : Non je veux dire avant le coup de fil. Comme si il avait réussit à me le dire à 500 km de là. Je me suis levé d’un bond, et là j’ai suis qu’il été blessé.

 

(Sa mère le regarde, lui donne une petite tape sur la joue, et continue de descendre les escaliers)


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[Ext. Quartier de Las Vegas, devant la maison de Tina. Jour]

 

(Micah descend de la voiture, suivi de sa mère. Ils se dirigent vers l’entrée de la maison.)

 

MICAH : J’aime pas venir ici, c’est nul chez elle, y’a jamais rien à lire.

NIKI : Mais je reviens vite ne t’en fais pas, faut juste que j’aille prendre quelques affaires.

MICAH : On devrait aller voir papa.

NIKI : Ca servirait à quoi ?

MICAH : euh… il nous aiderait sûrement. Il faut qu’il sache qu’on veux nous faire du mal.

NIKI : Ton père ne peux pas nous aider pour le moment. Ecoutes, j’ai fait des bétises, je l’admet.

 

(Elle sonne à la porte).

 

MICAH : Qu’est-ce que t’as fait ?

NIKI : Micah, jamais je ne laisserais qui que ce soit s’en prendre à toi. Je te le promet.

MICAH : Pourquoi tu t’es regardé comme ça dans l’aquarium tout à l’heure ?

 

(A ce moment, Tina ouvre la porte)

 

TINA : Il reste longtemps ?

NIKI : Une heure ou deux maximum.

TINA (parlant à Micah) : Y’a pleins de glaces dans mon congélo.

 

(Micah interroge sa mère du regard)

 

NIKI : Vas-y.

 

(Il rentre dans la maison, laissant les deux femmes discuter.)

 

TINA : Qu’est-ce qu’il t’arrives ?

NIKI : J’suis passé voir Linderman.

TINA : Combien ?

NIKI : 30 000.

TINA : Tu t’es remise à jouer ?

NIKI : Non, c’est juste pour les factures. J’ai utilisé le reste pour inscrire Micah dans un école privé car dans une école publique ça n’aller pas.

 

(Elles rentre dans la maison, et Tina ferme la porte derrière)

 

NIKI : J’voulais leur montrer qu’on avait du fric.

TINA : Mais c’est le fric de la mafia ! Tu déconnes Niki ! tu peux pas te servir de tes neurones !

NIKI : J’ai que 2 semaines d’arriéré c’est tout. Je pensais que j’arriverais à gérer le truc tu vois… Si tu savais comme je suis stressé en ce moment…

TINA : Ah oui, on se demande pourquoi !

NIKI : J’crois que j’suis en train de devenir barge. J’arrête pas de voir des choses Tina.

TINA : Quel genre ?

NIKI : J’ai l’impression qu’on m’espionne constamment..

TINA : Ouais, Linderman veut récupérer son fric et il t’envoie ses sbires pour qu’ils t’expédie tout droit à l’hôpital.

NIKI : Non, j’te parle de quelqu’un d’autre, que je peux pas réussir à voir. Tu comprend quelque chose toi ?

TINA : Non.

NIKI : Excuses-moi Tina… Je sais pas pourquoi je te racontes ça…

TINA : Non, laisses-moi te dire ce que je comprend : soit tu te magnes de trouver les 30 000 dollars maintenant plus les intérêts, soit tu disparais.

NIKI : Prends soin de Micah, d’accord ?

TINA : Oui.

 

(Niki sort de la maison).

 

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[Ext. Texas, Odessa, accident de train. Jour]

 

(Des pompiers sont en train d’éteindre le feu dans les débris d’un train qui a déraillé. Claire et Zach arrivent sur les lieux et regarde la scène derrière les barrières. Claire à l’air triste alors que Zach semble apprécier ce qu’il voit).


ZACH : C’est cool, hein ?

CLAIRE: Combien tu crois qu’il fait là-dedans?

 

(Il y a plusieurs explosions, et Claire tend la cassette à Zach).

 

CLAIRE : Fais tourner la caméra.

 

(Il y a de nouvelles explosions, mais Claire franchit la barrière et se précipite vers les flemmes, que les pompiers essayent toujours d’éteindre. Zach filme. Elle tousse à cause de la fumée, mais une fois à l’intérieur du train, elle voit un homme étendu sur le sol, mais conscient. Elle le soulève et l’aide à sortir du train. Elle est aperçue par un pompier.)


POMPIER : Scotty, Scotty, amènes-toi ! 


(Ils se précipitent vers Claire et la victime et un des pompiers prend Claire en charge en éteingnant les flammes sur ses vètements pendant que l’autre s’occupe de l’homme)

 

POMPIER : Doucement…

CLAIRE : Ca va !

POMPIER : Quoi ?! Restez tranquille !

CLAIRE : Je vais bien !


(Le pompier déchire son uniforme là où le feu était et s’aperçoit qu’elle n’a aucune brûlure). 


POMPIER
 : Y’a aucune brûlure….

POMPIER 2 : Venez vite !

 

(Les pompiers se précipitent pour soigner l’homme et Claire en profite pour partir en vitesse).

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[Int. NY, Apartement de Chandra Suresh. Jour]

 

PROPRIETAIRE : J’ai été triste d’apprendre pour votre père, il avait l’air gentil…

 

(Il entre dans la pièce, suivi par Mohinder).

 

PROPRIETAIRE : Merde ! Moi qui croyait être bordélique !


{Sous-titre : Brooklyn, New-York}
 

(Ils voyent que l’apartement est sans dessus-dessous)

 

MOHINDER : Ils sont passé là aussi.

PROPRIETAIRE : Quoi ?!

MOHINDER : Rien

PROPRIETAIRE : Pour 100 dollars, j’ai un type qui peut vous remettre l’apart’ à neuf.

MOHINDER : Non, non ça fait rien, je le prend comme ça.

 

(Il s’avance vers la carte accroché au mur)

 

PROPRIETAIRE : Chez nous on loue à la semaine, j’ai besoin de savoir si c’est dans vos moyens…

MOHINDER : Oui j’ai un travail.

PROPRIETAIRE : Vous faites quoi ?

MOHINDER : Chauffeur de taxi.

PROPRIETAIRE : Je vais chercher le formulaire…

 

(Il sort. Mohinder voit un cafard sur le sol et l’écrase avec son pied, puis se ré-intéresse à la carte. Puis, il ouvre un dossier nommé « Genesis » puis consulte les fichier. « empoisonnement radioactif, 15 ans d’exposition ». Puis il pointe certaines villes ur la carte avec des épingles et ramasse quelque chose par terre. Il se baisse et remarque une cassette sur le sol, elle est titrée « Sylar ».)


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[Int. NY, loft de Isaac. Jour] 


(Isaac s’agite, il prend de la peinture et en étale sur une de ses toiles représentant une chope de bière. En fond sonore, une publicité de la campagne de Nathan Petrelli est diffusée à la télévision. Simone entre dans le loft et Isaac s’arrête de mettre de la peinture sur sa toile.)


SIMONE : Salut ! D’accord, bonjour le comité d’accueil ! Bon très bien…. 


(Elle s’approche de lui et le voit vider des pots de peintures noires sur ces toiles).


SIMONE
 : Isaac ? Tu fais quoi là ? Mais ça va pas qu’est-ce qu’il te prend ? 


(Isaac déambule dans l’appartement, elle le suit. Il prend une nouvelle toile, représentant une éclipse et s’apprête à verser un pot de peinture noire dessus. Simone se met entre lui et le tableau)


SIMONE : Non, arrête. T’as péter un plomb ou quoi ?
ISAAC : Je te le confirme. Je ne me rappelle pas avoir peint ces trucs. J’étais défoncé tu vois, ouais je t’ai menti. J’suis paumé depuis un mois.
SIMONE : Bon, alors retournes en désintox et suit bien le traitement en entier cette fois. Ces tableaux sont magnifiques !
ISAAC : Non, ils sont diaboliques !
SIMONE : Je comprend rien, de quoi tu parles ?
ISAAC : Tu veux vraiment savoir ? tu veux vraiment savoir de quoi je parle ? 


(Il fais le tour de la pièce, prend un tableau et le pose sur la table après avoir fait tomber tout ce qu’il y avait dessus. La peinture représente un bus en flamme).


ISAAC : Tu vois ça ? Attentat à la bombe en Israël. J’ai peint ça il y a trois semaines.
SIMONE : Et alors ?
ISAAC : Et alors ? Ca c’est le journal de ce matin. 


(Il va chercher le journal en question et le tend à Simone).


ISAAC : Regardes le numéro du bus. 


(Elle compare, les deux numéro sont 009).


ISAAC : C’est arrivé hier…. Hier. Il y a vraiment un truc qui déconne chez moi.
SIMONE : T’as besoin de te faire aider Isaac.
ISAAC : J’ai déjà essayer deux fois, y’a qu’un seul moyen d’y arriver et tu le sais très bien.
SIMONE : Tu peux pas décroché tout seul. Je t’en pris laisses moi t’aider !ISAAC : Non !
SIMONE : Je t’aime, je….
ISAAC : Je vais t’entraîner avec moi et ça je veux pas. 


(Il s’assoit et Simone s’accroupie à ses côtés)


ISAAC : Lâches moi je te dis ! Tires toi de là ! Dégages ! 


(Simone s’en va. A la télé, une journaliste relate l’incendie du train au Texas).

 
JOURNALISTE : D’après les témoins, une adolescente s’est précipité au cœur de l’incendie et à sauver des flammes un lieutenant de la brigade des pompiers. Le train est enregistré auprès de a commission de régulations nucléaires et il n’y a eu aucune déclarations……. 


(La caméra passe de la télévision où l’on voit les pompiers en train d’essayer d’éteindre le feu, au tableau d’Isaac posé sur un chevalet, représentant exactement la même scène.)


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[Int. QG de campagne de Nathan, NY. Jour]


(Nathan parle au téléphone avec un dénommé Tom, Peter arrive, et Nathan lui fait signe de venir). 

TOM
 (au téléphone) : Ca n’a pas été facile mais j’ai quand même réussit.
NATHAN (au téléphone) : Super, je te revaudrais ça Tom. Comptes sur moi.
TOM (au téléphone)  : Je ne manquerais pas de te le rappeler.
NATHAN (au téléphone) : Merci.
TOM (au téléphone)  : Salut.


(Il raccroche. Peter s’assoit à côté de lui).


NATHAN : Ca y est, maman n’a officiellement plus de casier. J’ai perdu la moitié de ma crédibilité politique pour y arriver. Pourquoi elle ne se trouve pas un défouloir normal comme tout le monde ?
PETER : Ils ont été mariés pendant 41 ans. Elle … elle fait ça pour attirer l’attention, elle est seule. Laisses lui un peu de temps tu veux.
NATHAN : Moi j’ai pas de temps. J’ai 8 jours pour remonter de 10 points. J’ai besoin d’aide, c’est pour ça que je t’ai demandé de passer. Je veux t’offrir un job.
PETER : A moi ?
NATHAN : Oui. J’ai confiance en toi. T’es doué avec les gens et j’ai besoin de quelqu’un qui s’occupe de diriger les bénévoles. T’as de bonnes vibrations avec les gens ça peut m’être utile. Moi je suis un requin Peter. Tout le monde le sais ; les derniers sondages le montrent. Si tu bosses avec moi, ça se répercutera forcément sur moi.
PETER : Ouais alors j’améliorerais ton image, ça c’est nouveau !
NATHAN : Et ça montrera au gens que ma famille passe avant tout. Ouais c’est vrai je sais que ça à l’air égoïste, mais c’est aussi pour toi ! tu dois penser à ton avenir. 


(Il se lève et part. Peter le suit.)


PETER : T’es incroyable toi !
NATHAN : Pourquoi ?
PETER : J’en reviens pas. T’hésites pas à vouloir me faire croire que c’est aussi pour mon bien. J’veux dire. T’as rien écouté de ce que je t’ai dit tout à l’heure, hein Nathan ?
NATHAN : Oh, que tu peux réussir à voler ? Si, et pour notre bien justement je vais faire comme si tu n’avais rien dit. C’est pour t ‘aider que je fais ça.
PETER : J’ai déjà un boulot.
NATHAN : Ouais, regarder des petits vieux mourir, ça c’est l’avenir. Non, il faut que tu arrêtes de te prendre pour un gamin. Le gamin rêveur assis tout près du radiateur qui regarde par la fenêtre… Il faut grandir un peu ! Ecoutes, je sais que je prend beaucoup de place, c’est vrai, la vie n’est pas juste, c’est comme ça je n’y peux rien. Mais moi au moins j’essaye de t’aider en te prenant avec moi.
PETER : Ouais, je veux pas de ta pitié. 


(Il part et Nathan le regarde s’éloigner.)


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 [Ext. Rues de NY. Jour] 


(Peter sort du QG et se retrouve dans la rue. Il voit Simone attendre un taxi sur le trottoir d’en face et il la regarde monter dans celui-ci. Puis il appelle un taxi lui aussi et monte à l’intérieur.)


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[Int. Taxi. Jour] 


(Peter s’installe sur le siège arrière).


PETER : Bonjour, à l’angle de Center et Canal s’il vous plait. 


(On s’aperçoit que le chauffeur est en fait Mohinder, qui acquiesce et démarre. Peter regarde l’éclipse à travers la fenêtre.)


PETER : Waouh !
MOHINDER : C’est pour l’éclipse ?
PETER : Oui, je me demande si elle va être totale.
MOHINDER : Pas ici, non. Dans d’autres parties du monde oui. C’est un phénomène mondial. C’est dans des moments comme celui-là qu’on se rend compte que notre planète est toute petite. D’ailleurs petit, on l’est tous vous croyez pas ?
PETER :  Vous vous appelez comment ?
MOHINDER : Mohinder.
PETER : Moi c’est Peter. J’aimerais vous demander… Vous avez déjà eu l’impression d’être destiné à accomplir un truc…. Je sais pas…. Extraordinaire.
MOHINDER : Je suis chauffeur de taxi comme vous pouvez le constater.
PETER : Non je ne parle pas de ce que vous faites, je parle de …. qui vous êtes. Je veux parler… du fait d’être spécial.
MOHINDER : Ouais, on est tous différents, non ?
PETER : C’est pas ce que j’ai voulu dire. 


(Peter s’affale sur le siège arrière, déçu. Mohinder le regarde dans son rétro).


MOHINDER : Certaines personnes je vous l’accorde sont vraiment différentes. C’est la sélection naturelle. Ca commence par un individu qui nait ou éclot comme tout autre membre de son espèce, anonyme, d’apparence ordinaire, sauf qu’il l’est pas du tout. Il porte en lui le code génétique qui amènera son espèce à la prochaine étape de l’évolution. C’est la destiné. 


(Peter écoute attentivement et regarde Mohinder, pensif.)


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[Ext. Odessa, Texas, chemin dans la campagne. Jour] 


(Claire marche sur un chemin de fer, Zach lui court après).


ZACH : Claire ! Arrêtes ! J’hallucine ! J’y crois pas que t’es fait ce que t’as fait !CLAIRE : Je sais et pourtant je l’ai fait.
ZACH : tu te rend compte, t’as sauver la vie de ce type c’est trop bien. 


(Il y a plusieurs passages sur la musique « Eyes » de Rogue Wave : Hiro, sur le toit d’un immeuble, en train de faire du sport avec ses collègues, en rang. Il s’arrête et regarde l’éclipse. Puis Niki rentre chez elle et voit son salon dévasté. Peter est toujours dans le taxi de Mohinder et regarde le ciel, tout comme Claire, puis Hiro. Isaac est dans son appartement, et contemple son kit de drogue, puis on voit Niki qui regarde elle aussi l’éclipse grâce au sténopé de Micah, mais les 2 gangsters sont encore dans la maison.)


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[Int. Maison des Sanders, Las Vegas. Jour/Faible luminosité]


(Niki s’aperçoit de la présence des deux gangsters de Linderman et essaye de s’enfuir mais l’un d’eux l’attrape par derrière).


GANSTER 1 : On va causer un peu toi et moi. 


(Il l’entraine dans le garage, son coéquipier les suit).


GANSTER  : Aller, mets-toi là. 


(Il l’a fait monter sur le lit).


GANSTER  : Ca fait beaucoup de fric 50 000.
NIKI : 50 ? C’était 30, et avec les intérêts ça fait…
GANSTER 1: Mr Linderman n’est pas du genre à prendre en traître, il fallait lire tout le contrat avant de signer.
NIKI : J’ai un fils, il n’a que moi. Je vous en prie, j’aurais l’argent dans peu de temps.
GANSTER 1 : J’crois que t’as pas bien percuté, mais je vais te la jouer grand seigneur, je vais te proposer un deal. Combien tu te fais, 40 dollars pour 20 minutes de strip-tease ? Je vais te donner l’occasion de diminuer un peu ta dette. Et après, on avisera. En piste. 

(L’autre ganster, tient la caméra et filme Niki qui commence à se déshabiller).
 

GANSTER 1
: Vas-y, montres-moi ce que tu sais faire. Aller, enlèves le haut. Ah, ce qu’il est joli ton petit ventre, et maintenant je veux un petit sourire.NIKI : C’est ça que vous voulez ?
GANGSTER : Ouais. 


(Niki capte son reflet dans le miroir et se stoppe).

 

GANSTER 1
: Bah quoi continue, ça commencer à être intéressant. Qu’est-ce que tu me fais là poupée ? Tu répond quand je te parles. 


(Il la frappe)


NIKI : Je t’emmerde.
GANSTER 1: Tu m’emmerdes? 


(Il la frappe une nouvelle fois et l’écran devient noir).

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[Int. Gare de Tokyo, Japon. Nuit] 


(Hiro et Ando discutent dans la gare)


HIRO (sous-titré) : Les yogis en Inde et les aborigènes en Australie peuvent courber l’espace et le temps.
ANDO (sous-titré) : D’accord, si tu veux. Admettons que tu aies réellement ce pouvoir, qu’est-ce que tu en ferais ? Un numéro de cirque ? Arrêter le temps ne te permettra pas de coucher avec une fille.
HIRO (sous-titré) : En développant mes pouvoirs, j’apprendrai à courber l’espace et je pourrais me téléporter n’importe où sur la planète.
ANDO (sous-titré) : Comme dans Star Trek.
HIRO (sous-titré) : Ouais, comme dans Star Trek. Tout héros doit connaître son but. Il sera ensuite mis à l’épreuve pour accomplir de grandes choses.
ANDO (sous-titré) : J’ai besoin d’un petit remontant. Vite, téléportation, Scotty ! 

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[Int. Bar de tokyo, Japon. Nuit] 


(En karaoké, des jeunes chantent « I want it that way » des Backstreet boys. Ando et Hiro sont à une table et continuent leur discussion)

 
HIRO (sous-titré) : Les gens voient le temps comme une ligne droite. 


(Il trace un trait avec une baguette)


HIRO
(sous-titré) : Mais le temps ressemble plutôt à ça. 

(Il trace un cercle autours du trait). 

ANDO (sous-titré) : Où as-tu appris tout ça ?
HIRO (sous-titré) : Dans le numéro 143 des X-men, quand Kitty Pride voyage dans le temps.
ANDO (sous-titré) : Dans une BD ?
HIRO (sous-titré) : Tous les gamins rêvent d’avoir des super-pouvoirs. Et moi j’en ai ! Moi ! Le dernier de la classe, dernier en sport… je suis un nul !ANDO (sous-titré) : Sérieusement, à quoi peut te servir ce pouvoir ? A gagner de l’argent ?
HIRO (sous-titré) : Un super-héros n’utilise pas ses pouvoirs à des fins personnelles.
ANDO (sous-titré) : Alors à quoi ça sert ? tu peux te téléporter ans les toilettes des femmes ? Ca ce serait utile. Ca ne t’apprendra pas ton but, mais ça t’apprendrait les choses de la vie.
HIRO (sous-titré) : Si je devais y aller, je le ferais. Je pourrais me téléporter dans les toilettes des femmes.
ANDO (sous-titré) : Très bien, alors fais le ! Je vais nous ravitailler. 


(Il monter sa bouteille vide et part).


HIRO (sous-titré) : Et moi, je vais me téléporter ! 


(Il regarde fixement les toilettes des femmes).

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[Int. Garage des Sanders. Jour/Lumière tamisée] 

(Niki est allongé sur le lit, inconsciente, le téléphone sonne et le répondeur se met en marche).


NIKI (sur le répondeur) : Salut c’est Niki, laissez-moi un message.
MICAH (sur le répondeur) : Maman, t’es là ? Tu viens me chercher quand ? J’aime pas être ici, t’avais dit que tu reviendrais vite. Viens me chercher d’accord ? 

(Il raccroche tandis que Niki se réveille. Elle regarde autours d’elle. Les corps des deux hommes sont découpés et dispersé un peu partout dans la pièce, il y a du sang partout. Niki prend la caméra et voit sa réflexion dans le miroir qui a de sang sur son tee-shirt contrairement à Niki et qui met son doigt devant sa bouche pour faire signe à Niki de ne rien dire. Niki la regarde, effrayée).

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[Int. Taxi de Monhinder, NY. Jour] 

(Peter est toujours à l’arrière du taxi, et son téléphone sonne. Mohinder le regarde dans le rétro.)
 

PETER
(au téléphone) : Allô ?
SIMONE (au téléphone) : Peter, c’est moi.
PETER (au téléphone) : Ah, Simone.
SIMONE (au téléphone) : Oui, je te dérange ?
PETER (au téléphone) : ?Non, pas du tout, je rentre chez moi.
SIMONE (au téléphone) :Tu peux me retrouver chez moi père ?
PETER (au téléphone) :Ok d’accord, je peux y être dans 10 minutes.
SIMONE (au téléphone) :Dépêches toi s’il te plait.
PETER (au téléphone) Ouais j’arrive, à tout de suite, bye. (A Mohinder) Vous pouvez me laisser ici s’il vous plait ? Merci. 


(Le taxi s’arrête et Peter descend après avoir payer Mohinder, qui le ragarde s’en aller. Au même moment, Mr Bennet rentre dans le taxi).


MOHINDER : Où vas t’on mon ami ?
MR BENNET : Kennedy airport s’il vous plait. 


(Mohinder démarre).


MR BENNET : C’est bon de rentrer voir sa famille, ces voyages d’affaires m’épuisent. Suresh ?
MOHINDER : Je vous demande pardon ?
MR BENNET : Votre nom, sur votre licence. C’est indien n’est-ce pas ? Il y avait un professeur Suresh à l’université de Madras. Un généticien avec des théories intéressantes. Je crois qu’il n’enseigne plus. Mais tout ça ne vous dit rien bien sûr. J’imagines qu’il y a beaucoup de Suresh par chez vous, comme Smith chez nous ou Anderson…. 


(A ce moment, Mohinder tourne brusquement dans une petite allée, manque de renverser un piéton, arrête le taxi et s’enfuit en courant. Mr Bennet sort calmement de la voiture et le regarde partir).


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[Int. Maison des Bennet. Jour/Soirée] 


(Lyle et Sandra Bennet sont à table, Mr Muggles, le chine de la famille est sur les genous de cette dernière).


SANDRA : Et Carla à eu le culot ensuite de me dire que la semaine n’avait pas d’intérêt. Comme si il n’avait pas gagner 5 concours prestigieux dont 2 régionaux, qu’est-ce qui faut pas entendre je te jure. Mais non Mr Muggles, des racontars tout ça, t’es un gentil toutou à sa maman plein de vigueur, t’es un super étalon. 


(Claire arrive à table avec les autres)


LYLE : Ca craint, il se frotte à ma jambe quand je suis devant la télé.
SANDRA : Bon, assez parlé de Mr Muggles, qu’est-ce que vous avez fait aujourd’hui ?
LYLE : Avec Doug on a croisé un SDF. Un mexicain, sur le chemin de l’école. On croyait qu’il était mort, on a eu les jetons, mais en fait il l’était pas. Et papa il rentre quand ?
SANDRA : Justement je voulais vous faire la surprise. Il a finit plus tôt il sera à la maison ce soir. C’est pas trop cool ça ?
LYLE : Génial, juste à temps pour voir mon bulletin….
SANDRA : Tu ne parles pas beaucoup Claire, qu’est-ce que tu as fais de beau aujourd’hui ?
CLAIRE : J’ai traversé un incendie sans me brûler. 


(Sandra et Lyle la dévisage).


LYLE : C’est quoi ton délire là ? T’es trop bizarre des fois !
SANDRA : Lyle ! Moi je vois tout à fait de quoi tu parles. Je suis là à vous parler de mes histoires de chiens, alors que toi tu dis des choses tellement profondes. Nous rencontrons toutes sortes d’incendies dans notre vie, si l’on repousse nos limites et que l’on affronte nos peurs, on les traverse sans se brûler. Tu es d’une grande sagesse ma chérie. Peu importe ce que tu as fais, je suis fière de toi. Ainsi que Mr Muggles, il est très fier de Claire, n’est-ce pas qu’on est fiers de Claire ?On est très fiers de Claire. 


(Claire la regarde, déçue).


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[Int. Bar de Tokyo, Japon. Nuit] 

(Ando est en train de prendre les bières qu’il a commander pour lui et Hiro lorsqu’il voit celui-ci se faire sortir des toilettes des femmes par deux videurs).


HIRO (sous-titré) : Arrêtez ! Je ne suis pas un voyeur ! 


(Il se fait sortir du bar, Ando le suit)


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[Ext. Rue de tokyo. Nuit] 


(Hiro se relève et marche avec Ando)


HIRO (sous-titré) : T’as vu ? J’ai réussit, j’étais dans les toilettes des femmes !ANDO (sous-titré) : Bravo ! Maintenant, t’es un pervers !
HIRO (sous-titré) : Je me suis téléporté !
ANDO (sous-titré) : Arrête, Hiro ! Tu ne peux pas briser le continuum espace-temps !
HIRO (sous-titré) : Très bien, ne me crois pas.
ANDO (sous-titré) : Il y a douze millions et demi d’habitants dans cette ville. Personne ne peut courber l’espace-temps. Pourquoi tu veux être différent ?
HIRO (sous-titré) : Pourquoi tu veux être comme les autres ?
ANDO (sous-titré) : Parce que je le suis. Comme les autres. On est tous pareils.
HIRO (sous-titré) : Homogènes, comme du yaourt.
ANDO (sous-titré) : Du yaourt ?
HIRO (sous-titré) : tu ne comprend pas. Je veux être spécial.
ANDO (sous-titré) : On est pas spéciaux. On est Japonais.
HIRO (sous-titré) : Parfait. T’s qu’à rester ici ! Et faire comme tout le monde ! Je veux agir au mépris du danger et faire reculer l’impossible.
ANDO : Hiro ! (sous-titré) : T’as raison, tu es spécial. Tu es un « super-hiro » ! 

(Les deux hommes s’en vont dans des directions opposés).


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[Int. Appartement de Charles Deveaux, NY. Jour/Faible luminosité] 


(Simone est en train de fouiller partout dans la chambre de son père, Peter arrive.)

 
PETER : Qu’est-ce que tu cherches ?
SIMONE : De la morphine !
PETER : Pourquoi faire ?
SIMONE : J’ai besoin que tu viennes avec moi !
PETER : Où ça ?
SIMONE : tu verras.
PETER : Non, attends deux minutes. J’ai un truc à te dire.
SIMONE : Désolée on verra ça plus tard.
PETER : Ca peut pas attendre, c’est important pour moi. Il faut que j’arrête de vivre pour les autres comme ça…. Toute ma vie j’ai du….. Je sais pas ce qu’il faut que je sois, que je fasse ou pas, est-ce que j’ai vraiment un destin exceptionnel…SIMONE : si tu veux bien, on va reparler de tout ça un peu plus tard. 


(Elle tient dans sa main, une aiguille et un flacon de morphine).

 
SIMONE : Pour l’instant, il faut que tu m’accompagnes. C’est une urgence, tu sais faire les piqûres toi. Allons-y, tu vas m’aider.
PETER : La piqûre, c’est pour qui ? 

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(Int. Maison des Bennet. Jour/Faible luminosité] 


(Sandra Bennet débarrasse la table pendant que Claire fait la vaisselle.)

 
SANDRA : On pourrait aller voir un film ? Samedi. Et après… on irait faire les boutiques à Garden Dale, on trouverait peut-être des chaussures.
CLAIRE : D’accord. Je t’aime maman.
SANDRA : Mais ?
CLAIRE : Y’a pas de mais, j’avais juste envie de te le dire.
SANDRA : J’suis sûre que tu penses que je fais tout ça pour être ta bonne copine et rester à ton contact.
CLAIRE : Non. Non, on peut aller au cinéma ensemble. Y’a pas de soucis.
SANDRA : Pour être franche, tu me manques chérie, c’est aussi simple que ça. Je veux être ta mère, ton amie, je veux… je veux te donner des conseils, mais je ne veux pas t’envahir.
CLAIRE : J’ai besoin de tes conseils. Et je te promet tu ne m’envahis pas. 

(Claire enlève sa bague, qui lui glisse des doigts et tombe dans l’évier, où le broyeur est en route. Claire met sa main dedans pour récupérer sa bague, et retire sa main, déchiquetée.)


SANDRA : Tu ne devrais pas te préoccuper autant des autres. Chercher sans arrêt à te faire accepter, à te faire aimer des autres. 


(Claire regarde sa main ensanglantée, et voit ses os se remettre en forme peu à peu, lorsqu’elle voit sa mère revenir dans la cuisine, elle cache sa main derrière son dos).


SANDRA : Je ne voudrais pas que tu reproduise les erreurs que j’ai faite. Toute ma vie j’ai cherché à être quelqu’un de plus intéressant que ce que je suis au départ.
CLAIRE : tu es intéressante, tu élèves des chiens de race, peu de mère font ça.
SANDRA : Non, je voulais faire le tour de l’Europe en stop, étudier l’art, tomber amoureuse d’un beau français fan de poésie…. Ce n’est pas que ton père n’est pas merveilleux… Ce que je veux dire c’est que tu dois savoir qui tu es et arriver à t’en satisfaire. Nous avons tous nos particularités.
CLAIRE : Puisque tu en parles, j’aimerais te dire quelque chose. J’ai jamais osé vous le dire parce que je pensais que vous le prendriez mal.
SANDRA : Oh voyons, tu peux tout nous dire chérie, on peux tout entendre.
CLAIRE : Je crois que maintenant je suis en âge de savoir qui sont mes vrais parents.
SANDRA : Oui, je le crois aussi. 

(Elle prend Claire dans ses bras, et Claire voit que sa main est entièrement guérie. Quelqu’un entre dans la maison). 

MR BENNET : Chérie ? C’est moi
SANDRA : Ton père est rentré. Bonsoir chéri. 

(Claire voit Mr Muggles en train de lécher les gouttes de sang tombées sur le sol.)


CLAIRE : Pousses-toi de là le chien, non ! Allez vas t’en ! 


(Elle voit le reportage sur l’accident du train à la télé, et va rejoindre son père).


SANDRA : Je suis contente que tu soit là.
MR BENNET : Moi aussi, j’ai le cerveau en compote, je me suis cogner la tête en sortant du taxi…
CLAIRE : Salut papa !
MR BENNET : Hey ! Bonsoir mon ange! 


(Il prend Claire dans ses bras).


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[Int. Métro de tokyo, Japon. Nuit] 


(Hiro est dans le métro, il semble endormi. Une horloge derrière lui indique qu’il est 11h43. Hiro regarde une affiche pour accroître le tourisme à New-york. Il ferme les yeux et se concentre, derrière lui, l’horloge s’accélère, puis se stoppe et Hiro ouvre les yeux. L’horloge montre qu’il est 1h00, puis, quelques instants plus tard, Hiro se retrouve dans les rues de New-York.)


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[Ext. Rues de NY. Jour] 


(Hiro regarde autours de lui, ébahi, puis lève les bras vers le ciel et crie.)


HIRO : Yataa, salut New-York ! 

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[Int. Appartement de Isaac, Manhattan, NY. Nuit] 

PETER : Non c’est impossible. Personne ne peut prédire l’avenir.
SIMONE : Je l’ai vu de mes yeux. Isaac, j’ai emmené quelqu’un pour t’aider, un infirmier. Isaac ? Isaac ? Isaac ? Isaac ? 


(Ils rentrent dans l’appartement et cherche Isaac, Peter marche sur une seringue.)


PETER : Simone ! 


(Il voit Isaac, allongé sur le sol, inconscient. Peter et Simone s’accroupissent à ses côtés.)


SIMONE : Oh mon dieu. Isaac…
PETER : Il respire, appelles les urgences. Il a fait un overdose. 


(Peter voit un tableuax qui l’intrigue et se lève pour le voir. Pendant ce temps, Simone appelle les urgences.)


SIMONE (au téléphone) : Oui, allô ? Je vous en prie. Venez vite ! 215 Reed Street, appartement 7. Non, non, mon copain, il a fait une overdose. Oui, oui. Je sais, envoyez moi quelqu’un. Faites vite je vous en prie ! 


(Elle raccroche et parle à Isaac. Peter quadn à lui observe un tableau le représenatnt en train de voler. Isaac pointe du doigt une peinture sur le sol, montrant New-York en train d’exploser.)


ISAAC : Nous devons empêcher ça…. Nous devons empêcher ça…. 

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[Ext. Vision aérienne de NY, puis toit de l’immeuble du début. Jour/Matinée] 


(Vue du ciel de New-York, puis en fusion, Peter qui lève ses bras vers le ciel)

 
VOIX OFF : Cette quête. Ce besoin de résoudre les mystère de la vie. A quoi cela sert-il de chercher ? Puisque l’home ne peut comprendre que les moments les plus éphémères de la vie. Ils sont ici, parmis nous, dans les ombres, la lumière, partout. En ont-ils seulement conscience ?

(Un taxi arrive et Nathan, au téléphone en descend).


NATHAN (au téléphone) : Voilà, j’y suis. Qu’est ce que tu veux ? Peter ?
 

(Un téléphone portable tombe du haut de l’immeuble et atterrit au pieds de Nathan. Celui-ci raccroche et regarde en haut du toit. Peter se tient au bord de l’immeuble, prêt à sauter.)


PETER : J’ai passé la nuit ici, à réfléchir. A réfléchir sur mon destin.
NATHAN : Qu’est-ce que tu fais Peter.
PETER : C’est à mon tour de devenir quelqu’un Nathan.
NATHAN : Ca suffit maintenant, arrêtes tes conneries ! 


(Mais Peter lève ses bras vers le ciel, ferme les yeux et saute. Il est rattrapé par Nathan, qui vole et l’attrape par le bas.)


NATHAN : Peter !
PETER : Tu voles Nathan ! Tu voles ! Comment tu fais ?
NATHAN : Ca je l’ignore !  


(Mais le bras de Peter glisse et celui-ci tombe…)


NATHAN : Non ! Non !  

A suivre…


Ce texte est la propriété de HypnoSeries, si vous voulez le prendre, merci de demander l'autorisation à cette adresse: [email protected].
On ne mord pas et on préfère savoir où se retrouve nos textes plutôt que de tomber dessus par hasard....

Il se peut qu’il y ait des fautes d’orthographe ou de grammaire, si vous en voyez, merci de m’envoyez un message à [email protected] ou par HypnoSMS en précisant bien le nom de la série, le script de quel épisode et à quel endroit se trouve la faute. NE PAS CORRIGER SANS ENVOYER DE MESSAGE, LES CORRECTIONS SERONT AUTOMATIQUEMENT REFUSEES.


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This text is HypnoSeries property so please ask at this adress if you want to take it: [email protected]

                                     +++Script original de Tim Kring+++

                                                                  1x01 : GENESIS

(Black screen. The text appears from the bottom and ravel to the top) 

In recent days, a seemingly random group of individuals has emerged with what can only be described as "special" abilities.
Although unaware of it now, these individuals will not only save the world, but change it forever. This transformation from ordinary to extraordinary will not occur overnight. Every story has a beginning.
Volume one of their epic tales begins here...

(Heroes Title)


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[Ext. On the roof of a building. Day] 

(Peter is on the roof of a building ; the transition with the title is through the eyes.)


VO
 : Where does it come from? This quest? This need to solve life's mysteries, when the simplest of questions can never be answered. Why are we here? What is the soul? Why do we dream? Perhaps we'd be better off not looking at all. 

(Peter spreads his arms out and looks at the sky.)

VO: Not delving, not yearning. That's not human nature. Not the human heart. That is not why we are here.

(Peter falls from the top of the building.The camera falls with him and then, flies in the New-York sky.) 

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[Int. Charles Deveaux’s building.Day] 

(Peter suddenly wakes up when Simone comes in the room.)


SIMONE : How is he doing?

{Undertitle : New-York} 

SIMONE
: I'm sorry. Did I scare you?
PETER: No. No, I just, uh, I keep having these amazing dreams every time I close my eyes, and ... never mind. He likes me to read him the stock page.
 
(He gets up and goes near Charles Deveaux’s bed. Simone is at the opposite side.)

SIMONE:
Has he been conscious at all?
PETER: No. Its’ been a week now. I think he's close.  

(Simone nods). 

PETER
 : A couple more days, maybe. 

(He walks to the opposite side of the bed, and goes near Simone.)

 
PETER : Excuse me.
SIMONE: You know, I don't know what he'd do without you. You have a real gift.
PETER: Just doing my job.
SIMONE: No. You're like a son to him.
PETER: Well, then, that would make us like brother and sister. Might be a little awkward if I ever wanted to ask you out.

(Simone looks at him as he check Charles’ health.)

PETER:
I'm sorry. That was... that was inappropriate.
SIMONE: No, it … it's sweet. It's … I'm dating somebody, and...
PETER: Yeah, no, really. It's ... ok. I need to change his IV.

(He does it.) 

SIMONE:
I'm sorry. No. Of course. 

(Simone walks away.)


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[Int. Madras, India - 3 days ago. Day]

(Mohinder Suresh stands at a map.)

MOHINDER: Man is a narcissistic species by nature. We have colonized the four corners of our tiny planet, but we are not the pinnacle of so-called evolution. That honor belongs to the lowly cockroach, capable of living for months without food. Remaining alive headless for weeks at a time. Resistant to radiation. If God has indeed created himself in his own image, then I submit to you that God is a cockroach. They say that man uses only a tenth of his brain power. Another percent, and we might, actually, be worthy of God's image. Unless, of course, that day has already arrived. The human genome project has discovered that tiny variations in man's genetic code are taking place at increasingly rapid rates. Teleportation, levitation, tissue regeneration. Is this outside the realm of possibility or is man entering a new gateway to evolution?

(Nirad enters and stands in the back.)

MOHINDER: Is he finally standing at the threshold to true human potential? I'm sorry, I'm out of time.

(The students leave.)

MOHINDER: I know, I know. I'm beginning to sound like my father. I can't help it. You know, they can fire me too, if they like. But there is something to it, Nirad. As crazy as it sounds.

(Nirad doesn't respond.)

MOHINDER: What is it?
NIRAD: It's...your father. He's dead.
MOHINDER: How?

(They are now outside in the rain.)

NIRAD: Driving a taxi in New York City is a very dangerous job. The wrong fare, the wrong time. We may never know what really happened.
MOHINDER: No, I spoke to him two days ago. He was convinced someone was following him, trying to steal his research. He died because of his theories.
NIRAD: That's crazy.
MOHINDER: Is it?
NIRAD: The man left his family, discredited his career to chase wild theories halfway around the world! Where are you going?
MOHINDER: To his apartment, to get his papers, his research. He was this close to finding the first of them...his patient zero. He tracked him to Queens, New York.
NIRAD: Mohinder, listen to me. Your father was my colleague and my friend, a respected professor, a brilliant geneticist but he had clearly lost touch with reality.
MOHINDER: I followed in his footsteps. My thesis is based on his research!
NIRAD: Yes, you always wanted his approval!
MOHINDER: And now you are telling me that it was all for nothing.
NIRAD: I'm telling you to let go.
MOHINDER: I need to know why he died. I need to know that it wasn't all for nothing. And then I need to finish what he started.

(Mohinder enters his father’s darkened apartment in India.)

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[Int. Mohinder’s father’s apartment. Day.]

 

(He picks up a folder labeled "Genesis." He also flips through other folders nearby "Human Flight Potential," "Rapid Cellular Regeneration." He picks up a tape labeled Teleportation. He is taking papers from a tack board when he hears a cellphone ring.)

 

MR. BENNET: Hello? Yeah. Yeah I'm at his place now. No, no, no. He left everything behind but his computer.

(Mohinder is gathering his father's things and preparing to leave.)

MR. BENNET: Research, the map. Yeah, let's get a team in here to bag and tag everything.

(Mohinder takes a picture of the map and the flash alerts Bennet that someone else is there.)

MR. BENNET: I gotta call you right back.

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[Int. Las Vegas, Nevada. Niki’s Garage. Day]

 

(Niki is lying on a bed in skimpy clothing. She is being filmed by a unmanned video camera. There is a laptop on the desk which is webcasting her video. An alarm on the computer starts beeping just as she takes off her bra. She quickly slips into a robe and goes to the pc's instant messenger. Message from XXXNikki4U-Time's up. / Message from Huggerz69-Little more. Please. / Message from XXXNikki4U-It'll cost you another 39 bucks. / Message from Huggerz69-BITCH!)

NIKI: Pervert!

(She heads out of the room but as she does she passes a mirror and hears voices. She turns back to look into the mirror. She enters the house.)

NIKI: Time to get up, Micah. Micah.

(She enters his empty bedroom and becomes more frantic.)

NIKI: Micah! Micah! Micah!

(Micah is sitting on the floor, working with some electronics)

MICAH: What?
NIKI: Damn it, Micah. Don't do that to me.
MICAH: Do what?
NIKI: Just...you need to be careful. All right?
MICAH: I'm just working on my computer. The logic board was bad. So I had to build a new one.
NIKI: A new one. Anyone ever tell you you're the smartest little man on the planet?
MICAH: You do. All the time.

(She picks up something from the table.)

NIKI: What's this?
MICAH: It's a pinhole camera. It's for the eclipse. The moon's gonna cover up the sun today. We're supposed to look at it at school.
NIKI: Speaking of which, you need to go get ready. We can't be late. Not today.
MICAH: Mom, I'm already dressed, and I've packed my own lunch. That's what I've been doing this morning. What about you?
NIKI: Hey, don't get smart with me. All right, I've been working to pay our bills.
MICAH: Yeah, that's why they turned off our gas again?

(Doorbell rings)

NIKI: Go grab your stuff and wait by the back door, ok?
MICAH: Why?
NIKI: Just do it.

(Niki looks out the window to see 2 men standing at the door.)


MICAH: Mom, what's going on?

(Niki and Micah are sneaking out the back.)

NIKI: Never mind, just keep your voice down and stay close to me.

(As they get into their car and speed away the men break down the front door and enter the house.)

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[Ext. Odessa, Texas. Day]


(A cheerleader, Claire Bennet, and her friend Zach are filming her atop an abandoned structure.)

CLAIRE: Camera ready?
ZACH: Yeah, almost, hold on. This looks like 70, 80 feet. This is so unreal.
CLAIRE: Ok, I'm good!

(Claire jumps.)


ZACH: Oh, my...

(She screams as she falls.)


ZACH: Oh, my God.

(She lands with a thud.)


ZACH: Oh, my God! Oh, my God. Claire!

(He runs over to her.)


ZACH: Oh, my God. Claire!

(She stands up and relocates her shoulder.)

CLAIRE: This is Claire Bennet. And that was attempt number six.

(The cut on her face heals as the camera films.)


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[Ext. On the roof of a building. Day] 

(Peter is on the roof of a building. Peter is flying through NYC and we see the bridges and buildings. It then appears that he is flying. We see his brother’s face and then wakes up in a taxi. He sees his brother’s face again through the window, and he smiles.)


CAB DRIVER: You get out here, yes?

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[Int. Nathan Petrelli's office. Day]


NATHAN: (On the phone) Mr. Linderman, I'm gonna have to call you back in 5 minutes, okay? Thank you. (To Peter) I'm late. I've got a fundraiser and a drinks meeting
PETER: It happened two more times. Sometimes I'm falling, sometimes I'm flying. Sometimes you're in 'em.
NATHAN: I don't have time for this now.
PETER: They aren't just dreams, Nathan.
NATHAN: Hold this.
PETER: I thought they'd go away but they're not.
NATHAN: I'm gonna need this back by 6, please. Thanks.
PETER: This morning when I got out of bed, my foot hovered before it touched the ground. Hovered for a split second like I was floating. I'm telling you, I think I can fly.
NATHAN: Is Owen decided? I'll tell you what, you think you can fly, why don't you just off the Brooklyn Bridge? See what happens.
PETER: Maybe I oughta start with something a little lower first. It's like learning to walk.
NATHAN: You're serious?
PETER: Oh, I'm serious.
NATHAN: You need to snap out of it, Peter. Go see a doctor. Get some drugs. Do not pull a Roger Clinton on me, man. I'm 8 points down in the polls.
PETER: This is not about you, all right? Something is happening to me. And I have this feeling that you're the only person that's gonna understand.
NATHAN: Why the hell would I understand that you think you can fly?
PETER: Because you're my brother.

(Nathan's phone rings.)


NATHAN: Mom, look, I can't talk right now, I've got...
PETER: What?
NATHAN: I'll be there in ten minutes.
PETER: What did she do now?
NATHAN: She got arrested.
PETER: Arrested for what?
NATHAN: Shoplifting.


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[Ext. Odessa, Texas. Day]


(Claire and Zach are walking home. Zach is watching the video tape.)

CLAIRE: I'm so depressed.
ZACH: What? What are you talking about? Why?
CLAIRE: (On camera) Camera ready?
ZACH: (On camera) Yeah.
ZACH: Besides the fact that it was so gross, I almost fudge myself, this is the single coolest thing that happened in this town in like a 100 years.
CLAIRE: Not if nobody finds out, it's not.
ZACH: Why did you want me to tape you?
CLAIRE: I have my reasons.
ZACH: It's not like you're not gonna be popular anymore
CLAIRE: Popular? Who said anything about being popular? My life as I know it is over, okay? I've got the Bishop game next week, SATs in October, homecoming is 3 weeks from today and I'm a freak show!
ZACH: You're being a little dramatic, don't you think?
CLAIRE: No, I don't think. I have busted like every bone in my body, stabbed myself in the chest, I've shoved a two foot steel rod through my neck and I don't have a scratch on me.
ZACH: What do you call that thing, sticking out?

(She looks at the blood on her shirt where a stick is poking out. She pushes it into her skin and the wound heals up.)

CLAIRE: Great! Just give me the tape, okay?

ZACH: I can give you a ride on my handlebars. If you want.

CLAIRE: Look...thanks, okay? I'll talk to you in front of people at school tomorrow. Promise.

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[Int. Hiro’s Job. Tokyo, Japan. Day]


(Hiro is sitting at his desk, trying to make time stop. He continues to concentrate really hard and for a brief second the clock stops ticking and then moves backwards. Hiro jumps up and runs around the office shouting in Japanese.)

HIRO: I did it. I did it.

(He goes to Ando's desk.)


ANDO: What now?
HIRO: I've broken the space/time continuum.
ANDO: Good for you.
HIRO: My clock. I made it go back one second using only my mind, my thoughts.
ANDO: Too bad you're not paid by the hour.
HIRO: I'm serious. This explains the subway this morning.
ANDO: It was fourteen seconds late. Big deal.
HIRO: The train is never late.
ANDO: Until you made it late...using only your mind.
HIRO: Yes, I have discovered powers beyond any mere mortal.
ANDO: Right, you and Spock.
HIRO: Yes. Like Spock. Exactly.

(Hiro's boss walks by and drags him back to his cubicle.)

ANDO: Use your death grip, Spock. The death grip.

(Ando goes back to his computer where he is watching Niki on her webcam.)

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[Int. Micah’s Shool. Day]


(Niki is at Micah's school speaking with the principal.)

PRINCIPAL: Your son is a very intelligent boy. Gifted, actually. That's not the issue.
NIKI: His father is not around and sometimes I think he could use a bit of a stronger hand, you know. I work nights a lot but uh...we can both work harder.
PRINCIPAL: It's not about the work. The truth is I just don't know if this school is the right fit for him.
NIKI: But he's made friends.
PRINCIPAL: I'm sorry.
NIKI: He's on the soccer team.
PRINCIPAL: I'm sorry.
NIKI: I wrote a check for $25,000 to get him into this snob fest. I was told that's what it took. That's on top of the tuition.
PRINCIPAL: About the tuition, your last 3 checks have bounced.
NIKI: Fine, take it out of the 25 grand that I gave you.
PRINCIPAL: That was a donation and it was very appreciated.
NIKI: Well, I want my money back. I want my money back now.
PRINCIPAL: That money went to capital campaign for the new wing. It's already been spent.
NIKI: Then unspend it.
PRINCIPAL: I'm sorry. We can maybe discuss an extension of the money you owe but I...

(Niki jumps up and grabs the principal's collar.)

NIKI: I want my money back.
PRINCIPAL: That's not possible.

(She leaves the office.)

NIKI: Come on, baby. Let's get out of here. You're too good for this lousy school.

(She stops when she sees a reflection in the mirror that's not quite her own.)

MICAH: Mom?
NIKI: Leave me alone!

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[Int. Police Station. Day]


(Nathan enters the police station.)

NATHAN: For god's sakes, ma.
PETER: Are you okay?
ANGELA PETRELLI: They dropped the charges. I had to fill out a form. No big deal.
NATHAN: No big deal? I'm running for Congress. Do you have any idea what this will do to me if it gets out with our family's past? What could you possibly need so bad that you had to steal it? Nevermind, I don't wanna know.
ANGELA: Socks?
NATHAN: Socks. Dad left you a fortune. What are you thinking? You know, it's been one ridiculous stunt after another with you for the last 6 months. Dad's gone. Just get over it.
PETER: You know what? Leave her alone. She's okay. That's all that matters.
NATHAN: I gotta keep this out of the press.
PETER: You know what? Just get out of here. Go worry about you, I'll handle this.
NATHAN: Yeah, good, I gotta make sure this stays buried. Thanks a lot, ma'!

(Nathan leaves.)


PETER: What were you thinking?
ANGELA: I just wanted to feel alive again.

PETER: Nathan only cares about himself.

ANGELA: Your father was the same way. Alpha dogs, both of them. You, in the meantime, for all your selflessness and sitting with dying people... What? You're gonna retire on what you make?
PETER: Maybe I'll shoplift my socks.
ANGELA: Don't get smart. When you put everyone else first, you end up last. You always put Nathan first, he took advantage.
PETER: It wasn't you that was just pushing him right out in front of me?
ANGELA: He takes up more space than you. Demanded more attention. And besides it's not my fault, you allowed it.
PETER: He's my brother, I love him.
ANGELA: Love is overrrated.
PETER: He loves me too. You know it. We've always been close.
ANGELA: Rose colored glasses
PETER: That's cruel, mom. Since dad died I know you've been feeling free to speak your mind but it wouldn't hurt to edit yourself every once in a while.
ANGELA: I'm sorry if the truth hurts. I'm just saying you hero worshiped him. And those feelings will never returned.
PETER: You're wrong. It's biological. I can't help it. We're...we're connected. I never told you this but when Nathan had his accident, I knew it.
ANGELA: We all got the same call.
PETER: No, I'm saying before the call. Like he was telling me. 300 miles away. I woke up and I knew that he'd been hurt.

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[Ext. Int. Tina’s House. Day]


(Niki and Micah are at Tina's house.)

MICAH: I hate it here. She doesn't even have any books to read.
NIKI: Baby, I'll be right back. I'm just gonna go and pack up a few things, okay?
MICAH: We should really go see dad.
NIKI: What good would that do?
MICAH: He could help. He should know that someone is trying to hurt us.
NIKI: Your dad is in no position to help us right now. Look, I made some mistakes. I admit it.
MICAH: Mom, what did you do?
NIKI: Hey. I need you to know that I would never let anything happen to you. I promise.
MICAH: Mom, why did you look at yourself like that in the fish tank?

(Tina answers the door.)

TINA: How long?
NIKI: A couple hours tops.
TINA: There's some ice cream in the fridge.
NIKI: Go ahead.
TINA: What happened?
NIKI: I went to see Linderman.
TINA: How much?
NIKI: 30.
TINA: You're gambling again?
NIKI: No, it's just bills. I used the rest to get Micah into private school. I don't know what to do with him in public and... It’s just I needed them to think that we had money.
TINA: From the mob? Hell, Nicky. Y ou weren't born yesterday.
NIKI: It's just 2 weeks overdue. I thought that I could handle it, okay? I'm under a lot of stress, okay?
TINA: Gee, I wonder why!
NIKI: I feel like I'm kinda losing it a little bit. I'm seeing things.
TINA: Like?
NIKI: Like I keep feeling like someone is watching me.
TINA: Yeah, Linderman wants his money back so he sent some mouth-breather that's gonna put you in the hospital.
NIKI: No, it is someone else. It's someone that I can't see. Does this make any sense to you?
TINA: No.
NIKI: I'm sorry. You know what...
TINA: But I'll tell you what does.
NIKI: I shouldn't be telling you this.
TINA: No, let me tell you what does make sense. You need to come up with that 30 grand plus interest now. Or you gotta run.
NIKI: Watch him.
TINA: All right.

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[Ext. Odessa, Texas. Day.]


(Zach and Claire pass a fire.)

ZACH: Cool, huh?
CLAIRE: How hot do you think it is in there? Turn on the camera.

(Claire runs into the fire.)

FIREFIGHTER: Scotty! Scotty! Come on! Take it easy.

(She goes deep into the fire and drags out a man. When she comes out she is on fire and the fire-fighters rush over to her.)

CLAIRE: I'm okay.
FIREFIGHTER: You're all right.
CLAIRE: I'm fine.
FIREFIGHTER: There's no burns.

(While the fire-fighters are taking care of the rescued man, Claire runs off)

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[Int. Mohinder’s Father’s apartment. Day]


(The superintendent lets Mohinder into his father's apartment.)


SUPERINTENDENT: I was real sorry to hear about your father. Seemed like a good guy. Man!I thought I was a slob!
MOHINDER: They were here too.
SUPERINTENDENT: What?
MOHINDER: Nothing.
SUPERINTENDENT: I got a guy who can clean this up for a 100 bucks.
MOHINDER: No, it's all right. I'll take it as it is.
SUPERINTENDENT: We rent by the week. I'm gonna need to know you can afford it.
MOHINDER: I have a job.
SUPERINTENDENT: Doing what?
MOHINDER: Driving a taxi.
SUPERINTENDENT: I'll get you an application.

(The superintendent leaves Mohinder alone in the room. He looks through the files and at some of the other information in his father's apartment.)

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[Int. Isaac’s Apartment. Day]


(Isaac is painting.)

SIMONE: Hey. Oh, god, what? The silent treatment? Oh, boy. Isaac...what are you doing? What the hell is wrong with you? Isaac...Okay, stop What are you, crazy?
ISAAC: Clearly. I don't even remember painting these. I was high, okay? I lied to you.
SIMONE: Damn it.
ISAAC: I've been chasing for a month.
SIMONE: Well, then get yourself back into a program and make it stick this time. What are you talking out?
ISAAC: Want to know what I'm talking about? You see this? (He shows her a painting) Suicide bombing in Israel. I painted it three weeks ago.
SIMONE: Yeah, and so?
ISAAC: So...that's this morning's paper. Look at the number on the bus. This happened yesterday. Yesterday. Something's wrong with me.
SIMONE: Well I'll get you help, Isaac.
ISAAC: I've tried that twice and there's only one way left, and you know it.
SIMONE: You can't go cold turkey. Not alone. I mean, let me help you, please.
ISAAC: No.
SIMONE: I love you.
ISAAC: I'll drag you down with me. I swear I will. Just leave me alone. Get out of here! Now!

(She leaves. The newscaster in the background and the tape is rolling of Claire rescuing the man from the fire.)

NEWSCASTER: An unidentified Samaritan witnesses describe as a young teenage girl ran into the flames and rescued the young lieutenant. Now, the train is registered to the nuclear regulatory commission, and there has been no official statement yet on what was the cause.

(Isaac looks at the news, and then, he remembers the painting. He looks at it and notices this is the same event.)

 

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[Int. Nathan Petrelli’s Office. Day]


TOM: (On the phone) It wasn't easy, Nathan, but consider it gone.
NATHAN: I know, I owe you big on this one, Tom. I'm not gonna forget it.
TOM: I won't let you forget it.
NATHAN: Thanks.
TOM: Sure thing.
NATHAN: (To Peter) Mom's wrap sheet is now officially buried. It only took half of my political capital to pull her off. Why can't she get herself a hobby? Like a normal person?
PETER: They were married 41 years. It's a plea for attention. She's lonely. Give her some time, will you?
NATHAN: I don't have time. I've got eight days to make up 10 points, I need all the help I can get, which is what I want to talk to you about. I wanna offer you a job.
PETER: A job?
NATHAN: Yeah, I trust you. You're good with people. I need a coordinator to help organize the volunteers. You're good with people, you've got nice guy instincts. I could use that. You've got nice guy instincts. I'm a shark, Peter. Everybody knows it. It's starting to show up in the polls. I bring you on, it kinda reflects well on me. You know what I mean?
PETER: All right, so I'm making you look good? That's a new one.
NATHAN: Makes me look like I put family first. I mean I know that sounds self-serving but this is for you too, right? You gotta think of your future.
PETER: How do you do that?
NATHAN: Do what?
PETER: Even try to make it look like this has something to do with me. You didn't hear anything that I said earlier today, did you?
NATHAN: You mean about how you can fly? Yeah, I did. I'm gonna pretend for both our sakes you didn't say anything like that. I'm trying to do the right thing here.
PETER: I already have a job.
NATHAN: Yeah, watching old people die, now there's a career. It's not cute anymore, man. The dreamy kid sitting in the back of the classroom, staring at the window. It's time for you to grow up. Look, I cast a big shadow, Pete. I get it. Life isn't fair. But there's nothing I can do about that. I'm trying to do the right thing by you here, okay?
PETER: I don't want your pity.

(Peter leaves the office as Nathan looks at him.)

 

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[Ext. In the Street. Day]

 

(Peter walks out to the street where he sees Simone getting into a cab. He then hails his own cab.)

PETER: Hey. Corner of Center and Canal, please.

(Mohinder is the cab driver.)

PETER: Wow.
MOHINDER: Solar eclipse.
PETER: Yeah. Yeah, I wonder if it's gonna be a total.
MOHINDER: Not here, no. In some other part of the world, yes. A global event. Makes one appreciate just how small our planet really is.
PETER: What's your name?
MOHINDER: Mohinder.
PETER: I'm Peter. May I ask you something, Mohinder? Do you ever get the feeling like you were meant to do something extraordinary?
MOHINDER: I'm driving a cab, you may have noticed.
PETER: I'm not talking about what you do. I'm talking about... who you are. I'm talking about... being special.
MOHINDER: Yes, we are all special.
PETER: It's not what I meant.
MOHINDER: Some individuals, it is true, are more special. This is natural selection. It begins as a single individual. Born or hatched like every other member of their species. Anonymous, seemingly ordinary. Except they're not. They carry inside them the genetic code that will take their species to the next evolutionary round. It's destiny.

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[Ext. On the Railroad Tracks. Odessa, Texas. Day]


(Zach and Claire are walking down the railroad tracks toward home.)

ZACH: Hey, I can't believe you left like that.
CLAIRE: I know, I was there.
ZACH: You saved that dude's life.

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[Ext. Japan. Day]

 

(Hiro and Ando are doing mid-day exercises.)

 

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[Ext. Int. Las Vegas, Nevada. Day]

 

(Niki is entering her house. She sees that the two guys disarranged all the rooms.)

 

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[Ext. In the Street. New York. Day]

 

(Mohinder is watching the eclipse. Peter is watching too through the back window.)

 

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[Ext. Odessa, Texas. Day]

 

(Claire is watching the eclipse, with Zach behind her.)

 

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[Ext. Japan. Day]

 

(Hiro is watching the eclipse while the others continue the exercises.)

 

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[Int. Isaac’s Apartment. Day]

 

(Isaac is considering the drugs that are sitting on the table.)

 

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[Int. Niki’s House. Las Vegas, Nevada. Day]

 

(Niki picks up Micah's pinhole camera and uses it to look at the eclipse. She turns around and the thugs are still there.)

THUG 1: Welcome home.

(They take her out to the garage.)

THUG 1: Get over there. 50 grand is a lot of money.
NIKI: 50? It was 30. Even with interest...
THUG 1: Mr. Linderman wants to be nice about this. You should have read the fine print.
NIKI: Look, I have a son. I'm all he's got. Please, I can get you the money.
THUG 1: I'll tell you what I'm gonna do. I'm gonna make you a little business proposition. You make what? 40 bucks for every 20 minutes you take off your clothes? I'm gonna give you a chance to lower your debt a little. And see where it goes from there. Come on. Come on. Show me what you got. Lift up your shirt, baby. Ooh, look at that belly. Smile for me.
NIKI: Is that what you want?
THUG 1: Ah, yes.

(She sees her reflection in the mirror.)


THUG 1: What's the matter, baby? You just gotta getting good here. What's the problem, baby? I said what's the matter?

(He hits her.)

NIKI: Screw you!
THUG 1: Screw me?

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[Int. Subway. Japan. Day]


(Ando and Hiro are in the subway after work speaking in Japanese.)

HIRO: The Yogis in India and the Aborigines in Australia, both can bend time and space.
ANDO: Fine, I'll humor you. Let's say you really do have this power. What do you do with it? Join the circus? No one ever got laid by stopping the second hand of a clock.
HIRO: As I develop my powers, I'll learn to bend space, too. Then I can tele-port myself anywhere on the planet.
ANDO: Like Star Trek.
HIRO: Yeah like Star Trek. Every hero must learn his purpose. Then he'll be tested and called to greatness.
ANDO: I think I need a stiff drink. "Beam us up, Scotty."

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[Int. Karaoke bar. Japan. Day]


(Hiro and Ando are at a karaoke bar.)


HIRO: People think of time as a straight line...but time is actually more like this...
ANDO: Where did you learn all this?
HIRO: X-men number 143, when Kitty Pryde time travels...
ANDO: A comic book?
HIRO: Every ten year old wishes he had super powers. And I got them. Me of all people. Last in my class, last on the sports field. I'm not a loser anymore.
ANDO: Tell me one useful thing you could do with this power. Can you make money?
HIRO: A super hero doesn't use his power for personal gain.
ANDO: Then what good is it? Can you teleport yourself into the women's bathroom? Now, there's something useful. You won't learn your "purpose" in there but you might learn something about life.
HIRO: Fine. If I had to, yes. I could teleport myself into the women's bathroom.
ANDO: Great, then do it. I'll grab two more beers.
HIRO: I'm going to teleport.

(Ando gets up to get the beers and Hiro concentrates very hard.)

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[Int. Niki’s Garage. Las Vegas, Nevada. Day]


(Niki is on the bed in the garage when the phone rings. It's Micah. She looks around and the two thugs are dead and there is blood everywhere.)

NIKI: (On phone) Hi, this is Niki. Leave me a message.
MICAH: (On phone) Mom, are you there? When are you coming to get me? I hate it here. You said you'd be back soon just come and pick me up okay?

(Niki grabs the camera and as she does she sees her reflection in the mirror. The reflection holds a finger to her lips and shushes her)

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[Ext. New York. Day]


(Peter is in the cab with Mohinder as the driver.)

PETER: Hello.
SIMONE: Peter, it's me.
PETER: Hi, Hey, Simone.
SIMONE: Are you busy?
PETER: I was...just at home.
SIMONE: Listen I need you to meet me at my dad's.
PETER: You know...I can be there in 10 minutes.
SIMONE: Ok just hurry, okay?
PETER: Okay, I'll see you there bye. (To Mohinder) You know, I'll just get out here, please. Thanks.

(Peter exits and a man with horn-rimmed (HRG) glasses gets into the cab.)

MOHINDER: Where to my friend?
HRG: Going home to my family. These business trips are wearing me out. Suresh, huh?
MOHINDER: I'm sorry.
HRG: Your name...on your license there. That's Indian, yes? There was a professor Suresh in the university of Madras. Geneticist. Interesting theories. Don't think he's teaching anymore. But you wouldn't know anything about that, would you? Probably a lot of Suresh's where you're from. Like Smith... or Anderson.

(Mohinder stops the car suddenly and runs off. HR G goes out the taxi and looks at him, running.)

 

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[Int. Bennett’s House. Odessa, Texas. Night]


(Lyle and Sandra Bennett are at the dinner table.)

SANDRA: And then Carla had the nerve to tell me he's not breed worthy. Like he didn't win 5 all breed rallies, two regional's. Can you believe it? It's just not true, Mr. Muggles.

(Claire enters.)

SANDRA: It's not true, He's a little stud muffin. That's what he is.
LYLE: He still humps my leg when I watch TV.
SANDRA: All right, enough about, Mr. Muggles. What did everybody else do today?
LYLE: Doug and I saw this Mexican guy. A homeless dude, on the way to school. We thought he was dead. But he wasn't. I thought dad was coming home today.
SANDRA: Well, I was gonna surprise you...He finished up early, he's coming home tonight. Ain't that great?
LYLE: Just in time to read my report card.
SANDRA: So what about you Claire? Do anything special today?
CLAIRE: I walked through fire and I didn't get burned.
LYLE: What the hell is that supposed to mean? God! You're so crazy sometimes.
SANDRA: Lyle! I think I know exactly what you mean. Here I am talking dogs again and you go and say something really profound! We come up against all kinds of fires in our lives and when we test ourselves and face our fears, we usually don't get burned.You are very wise, sweetheart. Whatever it is you did, I'm proud of you. And so is Mr. Muggles. He's just so proud of Claire. Aren't we? We're proud of Claire. Yes, we're so proud of Claire, aren't we?

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[Int. Karaoke Bar. Japan. Night]


(Ando heads back to the table with the beers just as Hiro is getting thrown at the women's bathroom.)

HIRO: Hold on! I'm not a peeping tom! Yahooo!

(He gets thrown out of the bar by the bouncer.)


HIRO: Did you see me? I did it. I was in the women's bathroom.
ANDO: Now you're a pervert.
HIRO: I teleported myself.
ANDO: Enough! You can't break the space/time continuum.
HIRO: Fine, don't believe me.
ANDO: Hiro, there are twelve and a half million people in this city. Not one of them can bend space and time. Why do you want to be different?
HIRO: Why do you want to be the same?
ANDO: Because that's what I am. The same.
HIRO: It's what we all are. Homogenous. Yogurt.
ANDO: Yogurt?
HIRO: You don't understand, I want to be special.
ANDO: We are not special. We are Japanese.
HIRO: Fine, stay here. Be just like everyone else. I wanna boldly go where no man has gone before.
ANDO: Hiro, that's right, you're special. You're "Super Hiro!"

(Hiro walks off.)

 

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[Int. Simone’s Father’s Appartment. Night]


(Simone and Peter are at her father's apartment.)


PETER: What are you looking for?
SIMONE: Morphine.
PETER: What for?
SIMONE: I need you to come with me some place.
PETER: Where?
SIMONE: You'll see.
PETER: Look, there's something I need to tell you.
SIMONE: That is gonna have to wait.
PETER: No, look, I need to tell you about this, okay? I need to stop living for other people. My whole life, I've... I've no idea what I'm supposed to do, what I'm supposed to be if I'm gonna have a destiny of my own...
SIMONE: I promise you we will talk about this later, okay? But right, now I really need you to come with me. You're a nurse. You can give out a shot. You can help him.
PETER: Help who?

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[Int. Bennett’s House. Night]


(Sandra and Claire are cleaning up from dinner.)

SANDRA: I thought we could go to the movies. It's Saturday. Maybe...try on some shoes at the new mall in Garden Dale.
CLAIRE: Sure. I love you, mom.
SANDRA: But?
CLAIRE: No buts, I just...wanted to tell you that.
SANDRA: No, you think I'm trying to be your best friend again, admit it.

CLAIRE: No, it's...it's all right. We can go to the movies together. It's no big deal.
SANDRA: I just miss you. That's all. I wanna be your mom. I wanna...give you advice but I don't wanna push you away.
CLAIRE: I want advice, I do. I...I won't push you away I promise.

 

(Claire drops her ring purposefully down the garbage disposal and then reaches in to get it, while it is still running. Her hand comes out all mangled. Her mom comes into the room and Claire hides her hand.)

SANDRA: I just don't think you should be so worried about... fitting in all the time. About being so popular. I don't wanna see you make mistakes like I did. I wanted to be someone more interesting than I am.
CLAIRE: You are interesting. You breed show dogs. Whose mom does that?
SANDRA: No, I wanted to hitchhike across Europe, study art, fall in love with some... poetry quoting French man. Not that your dad isn't wonderful but my point is... You should know who you are and know that it's enough. Cause who you are is special.
CLAIRE: About that. There's something I need to say. Something I never talked about 'cause I thought it would upset you and dad.
SANDRA: Sweetheart, you can say anything to us, you know that.
CLAIRE: I think I'm old enough for you to tell me who my real parents are.
SANDRA: Of course, you are.

(Claire's dad comes home. It is HRG.)

HRG: Honey! I'm home!
SANDRA: Your father...Hey, honey.

(Mr. Muggles is licking the blood from the floor.)

CLAIRE: Bad Mr. Muggles! No!

(Sandra and HRG are in the other room and Claire sees her heroic rescue on the news.)

SANDRA: I'm glad you're home.
HRG: Oh, me too. I've such a headache. I slammed my head getting out of a taxicab.

(Claire enters the room.)

CLAIRE: Hi, daddy!
HRG: Hey, baby!

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[Int. Subway. Japan. Night]


(Hiro is on the subway. The clock reads 11: 43. He is deeply concentrating. The clock quickly begins to change and suddenly the subway stops at 1:00. Hiro is suddenly standing in Times Square in NYC.)

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[Ext. Times Square. New York City. Day]


HIRO: Hello, New York.

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[Int. Isaac’s Apartment. Day]


(Peter and Simone enter Isaac's apartment.)

PETER: I'm just saying it's impossible, okay? Nobody can predict the future.
SIMONE: I saw it with my own eyes, Peter. Isaac! I brought someone here to help. He's a nurse. Isaac! Isaac! Isaac! Isaac.
PETER: Simone.


(Isaac is laying on the floor.)

SIMONE: Oh God! Okay. Oh my God! Isaac?
PETER: He's alive. Call 911.
SIMONE: Yes. What have you done? God, he's overdosed. (On the phone) Yeah, I'm at 215 Reed Street. Number 7. I need an ambulance here immediately. He's OD. No, no, he's conscious. Just barely. I know. Listen, could you just come and get here soon, please. (To Isaac) Okay, baby, it's okay. They're sending an ambulance right away, okay? You just hang in there, okay? You're gonna be okay, I swear.

(Peter is looking at the paintings and sees one of himself flying.)

ISAAC: We have to stop it. We have to stop it.

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[Ext. New York City. Day]


VO: This quest, this need to solve life's mysteries…


(Peter is on the roof.)

VO: In the end what does it matter when the human heart can only find a meaning the smallest of moments. They're here. Among us. In the shadows, in the light. Everywhere. Do they even know yet?

(Nathan shows up at the building where Peter is. He is on the phone with Peter.)

NATHAN: All right, I'm here. Now what do you want? Peter?

(Peter drops his phone from the roof.)

PETER: I've been up here all night. Thinking about this. Thinking about my destiny.
NATHAN: What are you doing, Pete?
PETER: It's my turn to be somebody now, Nathan.
NATHAN: Come on, Peter. Quit screwing around. (Peter steps off of the roof and begins falling. Suddenly Nathan flies up and catches him) Peter!
PETER: You're flying Nathan… You're flying… How did you…

NATHAN: I don't know.

(Peter struggles to break free of Nathan's grasp.)


NATHAN: No, don't.

(Peter falls.)

 

End 

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